Le travailleur est en évolution dans ses droits dans l’entreprise bien que le syndicalisme est devenu comme délit dans certains pays de dictateurs comme le nôtre. Il ne peut y avoir une justice sociale ni une répartition équitable des richesses du pays dans une société ou son travailleur n’arrive pas à subvenir à ses besoins les plus élémentaires.
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2024, une escale d’évaluation dans la longue marche du travailleur algérien.
18 mai, par Moussi Nassim -
Le procès d’un revenant de Guantanmo en Algérie et l’article 87-bis.
13 mai, par Rebel KazimirExtrait d’un rapport des services des droits de l’homme de l’ONU : « ... Gouvernement de votre Excellence sur des informations que nous avons reçues concernant les allégations de détention arbitraire, de torture et de mauvais traitements à l’égard de M. Saeed Bakhouche, dont la libération a été autorisée et qui a été transféré du centre de détention de la station navale américaine de Guantánamo Bay vers l’Algérie, le 20 avril 2023, et le risque qu’il puisse être victime de violations de droits humains, y compris d’une disparition forcée. »
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Ferme laitière du Qatar impose son infect lait en poudre en Algérie.
5 mai, par Djamel Damien BoucherefLes préconisations sont optimistes à propos du projet exploitant 117 000 ha et plus de 10 000 vaches laitières au cœur du Sahara algérien. Une fois construit, la réalisation permettra de produire localement 50 % des besoins en lait en poudre du pays, d’approvisionner le marché local en viande rouge et de contribuer à l’augmentation du cheptel bovin national.
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Faute d’espaces bien aménagés, l’Algérie se confie à la résilience.
1er mai, par N.E. TatemLa Délégation nationale des risques majeurs (DNRM), en partenariat avec des institutions internationales, compte apporter de la résilience, comme consommer fatalement les catastrophes. Mais le public est plus exigeant et connait la prévention. Il est aussi dépendant de la gestion des espaces du territoire national qui est sous la responsabilité des bureaucrates à la compétence douteuse.
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2 terroristes bien armés, éliminés en avril 2024, au centre d’Algérie.
29 avril, par Djamel Damien BoucherefL’illusion de pouvoir terminer avec le terrorisme en Algérie ressemble au songe de pour limiter la "harga" des jeunes qui quittent le pays au risque de leurs vies. La malédiction qui fait usage de la religion, un programme politique, d’ailleurs adopté par les faux nationalistes, de la prédation de rente accaparée de ses titulaires que sont les citoyens, est plus ancrée en 2024 que lors de la "décennie noire". Le déclic pour le glissement à une violence à grande échelle, est souvent dans les discours des bureaucrates qui créent la menace obscurantiste.
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Tebboune à Tunis, rappel du rêve des peuples du grand Maghreb.
28 avril, par Moussi NassimLes habitants du nord du continent africain ont toujours dans leur tête un rêve d’un Maghreb uni. Ils attendent un songe, telle une chimère inaccessible.
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Ordre d’en haut : un journaliste refoulé au retour à son pays, l’Algérie.
16 avril, par Djamel Damien BoucherefÀ la veille d’une élection qui s’est déjà annoncée par un pseudo-avancement de son rendez-vous, cet épisode, du refoulement d’un citoyen revenant à son pays, est le dernier exemple des décisions d’une présidence algérienne aux abois. Le système politique du vaste pays d’Afrique du Nord, replonge dans sa paranoïa, alors que les vrais responsables, de ces cabales antidémocratiques, accumulent encore plus de dégâts et de bourdes inacceptables par la plus basique logique pour et de l’intérêt national !
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Les détenus d’opinion en Algérie : atteinte aux libertés & recul de démocratie.
7 avril, par populiscoopCette autre demande de libération des détenus d’opinion en Algérie est suivie de l’ouverture des espaces d’expression. Les droits sont bafoués alors que les médias induisent un travail d’une piètre qualité, offrant aux publics local et mondial des productions et contenus confus, médiocres, inintelligibles et sans moindre esthétique. Les appels de ce genre sont nombreux, pour impulser les libertés. Mais les bureaucrates qui dirigent, avec le soutien de l’armée, brandissent le prétexte de menace de déstabilisation...
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2è partie : essentiel de l’interview de Tebboune, point par point.
2 avril, par Djamel Damien BoucherefL’emprise de la bureaucratie des énarques en Algérie s’est érigée en héritage du pouvoir absolu des nationalistes de l’indépendance. Aussi bien les premiers mis au service des seconds n’ont pas, les deux générations, mis en érection la "nation en formation". Le pays plongé dans une malédiction maladive, que de prétentieux présidents se placent en conscience des humains, donnant aux citoyens des retards économiques, des fanatismes religieux, des psychologies collectives ringardes et criminelles... La fabrique qui a engendré Tebboune persiste dans une culture ténébreuse.
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Tebboune interviewé sur bilan et convoitise du second mandat.
1er avril, par Djamel Damien BoucherefLa dernière interview, du président Tebboune, avec deux représentants de la presse algérienne, peut-être qualifiée, à la fois en bilan du premier mandat et de déclaration d’une éventuelle candidature aspirant à briguer une nouvelle volonté d’être au prochain scrutin. L’apparence d’un épilogue du parcours réalisé depuis 12/12/2019 s’émulsionne avec ambivalence avec un programme électoral, ce qui est le propre des indécis et des embarras que couvent les hautes sphères du pouvoir.
Seconde partie : Les sujets des clients systémiques et le mépris de la citoyenneté.