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Twitter et Facebook dans les rudiments de l’obsession du coup-d’état au Venezuela

La censure frappe les partisans de Maduro et les faveurs faites aux opposants, tout est vérifiable.

samedi 2 février 2019, par Hugo Mastréo

L’Amérique est considérée comme une chasse gardée pour l’influence des Etats-Unis. Les coups d’états ont été à leur belle époque monnaie courante. Les insurrections comme celles de Cuba et de Che Guevara resteront d’indélébiles actes mémoriels dans les luttes. Avec les réseaux sociaux d’Internet, les Américains n’hésitent pas d’utiliser ces outils pour s’attaquer à des pays comme le Venezuela. En 2017 dans cet article de Reuters ICI, un exemple. Mais actuellement aussi...

Pour camoufler son travail malveillant Twitter a parallèlement, à la suppression des comptes liés au Venezuela, supprimé ceux liés à l’Iran, à la Russie et au Bangladesh. L’argument est qu’il considérait ces activités néfastes, irrégulières par rapport à ses règlements. Simultanément, Facebook a annoncé une purge sur un « comportement inauthentique » lié à l’Iran, histoire de satisfaire l’establishment.

Bien sûr les sociétés évoluent selon ses nouveaux outils, avec ça les réseaux sociaux d’Internet jouent un rôle inégalé dans la confection du fait politique. Nous avons publié dernièrement un sujet sur l’intrusion des données et des réseaux sociaux dans la politique. Et nous nous sommes bien demandé, si c’est bien ou mauvais pour la démocratie ? Cependant quand cette démocratie est refourguée par les occidentaux, la Libye, l’Irak et la Syrie en deviennent les pires exemples.

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Les événements du Venezuela ne peuvent échapper à cette tendance. Internet est soumis à la loyauté envers les néo-conservateurs en général, qui sont basé en occident. Ceux qui tentent de renverser le gouvernement du Venezuela, dateraient de plusieurs décennies. Voici un lien qui édifiera nos lecteurs, sur ce passé de Caracas avec Twitter, lire ICI. Sans donner d’explications, Twitter ou Facebook (lire ICI) supprime le contenu la gauche basé au Venezuela !

L’arrivée de Donald Trump, avec l’aide de la Russie, à la Maison Blanche, est à la fois un canular, mais une part de vérité de vérité pour impulser ce choix ne résume ainsi. Le milliardaire américain comptait déjà, avec une notoriété qui un critère non-négligeable, dans le panorama politique de son pays, ce qui lui était primordial pour gagner prement des votes primaires décisifs puis atteindre son rêve.

Sur le Web les prétendus défenseurs de libertés sont pléthoriques et n’ont des réseaux distinctifs. Twitter est plus utilisé par les journalistes et les politiciens, comme le démontrent quotidiennement les utilisateurs. Il a tout juste effacé 2 000 comptes qui, selon ses décideurs, étaient « engagés dans une campagne d’influence soutenue par l’État en visant une audience nationale. »

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Des réactions sont apparues pour dénoncer ces actions de la plate-forme Twitter. Le journaliste indépendant Ben Norton a accusé les entreprises de médias sociaux d’agir comme un « prolongement des intérêts du gouvernement américain ».

La purge de Twitter intervient plus d’une semaine après que le président américain Donald Trump ait reconnu le chef de l’opposition du Venezuela, Juan Guaido, au poste de président par intérim. Dans sa provocation contre le gouvernement élu de Nicolas Maduro. Guaido, le président de l’Assemblée nationale, a prêté serment dans les rues de Caracas en se déclarant président par intérim le 23 janvier.

Les soutiens lui parviennent via les réseaux sociaux du Net. Facebook et Internet y participent ouvertement. La censure des partisans du gouvernement est la démarche visible, la consigne est trop donnée pour défendre les commanditaires du coup-d’état. Les Vénézuéliens et les exilés de droite, qui sont favorables au coup d’Etat dominent la sphère des médias, trouvent le champ libre et impose leur domination.

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Voir en ligne : Notre dossier VENEZUELA

     
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