Accueil > Humanité > Monde, actualité internationale, politique, relations, diplomatie, (...) > Politique, France, francophonie, Algérie, Maroc, Tunisie, Afrique, monde (...) > nationale, fait politique, une et première page, médias, actualité, pays, (...) > En Algérie, des citoyens emprisonnés pour post sur Internet.
Qui est responsable de cette répression des libertés fondamentales ?
vendredi 8 avril 2022, par
En Algérie, l’opinion locale se questionne sur la responsabilité de ceux qui ont brisé des vies, en leur collant des casiers judiciaires souillés de peines illégales ? Quand est-ce que les énarques qui dirigent, auront à répondre de leur corruption ? Et si un jour ils seront devant la vérité des persécutions qu’ils ont mené à l’encontre de jeunes militants du Hirak, afin de sauver leur emprise sur les institutions ?
Ces administrés n’ayant pas perpétrés de crimes avérés se retrouvent dans l’impossibilité de participer aux activités sociales et politiques, en conséquence d’arbitraires condamnations. Après leur emprisonnement, ils perdent aussi leurs seules sources de revenus, leur travail. Rares les employeurs gardent des repris de justice.
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Pourtant leur seul délit est d’avoir exprimé des opinions sur la chose publique, comme a le droit et le devoir de la faire tout citoyen attaché à la synergie de la collectivité humain. Leurs avis sont qualifiés par une justice, obéissant à la baguette du pervers prince, en actes délictuels. Et ils paient lourdement...
Les détentions d’activistes du Hirak en Algérie, s’expliquent que par leur finalité. Elles sont pratiquées pour le maintien au pouvoir des prédateurs de la corrompue bureaucratie. Celle qui a servi les incompétents nationalistes de la vieille garde de la libération, en écartant les universitaires qui déjà pendant la guerre de libération n’était acceptés et perçus en odeur de sainteté.
Ce qui rajoutent une couche au désarroi que vit la jeunesse qui recherchent à s’extirper de l’arriération, les abominables arrestations, les perquisitions effectués dans des domiciles où rien n’est trouvé et tout l’amalgame de qualifier de terroristes des militants. Même la première loi du pays est continuellement bafouée, alors que les médias publics martèlent des « fake news ».
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Emprisonnés pour d’affabulatoires accusations et aux termes de lois liberticides, des militants ont cru être en démocratie. Les relaxations ordonnées le 30 mars, jour est de la présence du secrétaire d’Etat américain Antony Blenkin sur le territoire national, sont inexplicables. Elles dénotent une même finalité d’endiguer les aspirations à l’émancipation et le progrès que recèlent les révoltes des jeunes.
Le diplomate américain arrive du Maroc, après qu’il ait organisé un conclave en Israël avec les ministres des affaires étrangères d’Egypte, des EAU et de Dubaï. Si aucune réaction officielle n’a été dite pour cette réunion et son show médiatique, centrés sur l’Etat hébreu, en Algérie, ce n’est que 3 jours plus tard que des paraphrases ont été données pour ces fins d’internement.
Aussi aucun critère n’a été défini pour ces remises en liberté de citoyens condamnés pour souvent des écrits sur Internet. Elles ont été portées contre les forces politico-sociales qui surgirent dans l’action qui a provoqué la chute du pire despote, chassé en 2019 et décédé depuis. Le dernier des présidents est l’illustre des caciques des moudjahidine. Il est parti comme un vulgaire despote !
Ces jeunes du Hirak, de leur côté, sont restés sur leur soif. Aucun changement n’est venu étayer une évolution pour le renouvellement des élites. L’Algérie sous Tebboune est même devenue pire que sous Bouteflika. Quand les mêmes chapelles de prédation restent, avec la connivence des militaires avec lesquels ils partagent la prise des richesses, dans le diktat pratiquant une violente répression.
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20 mars 2022
Livrée aux aventuriers, opportunistes et démagogues, l’opposition politique en Algérie est partagée entre ralliés aux cercles du pouvoir des énarques et une catégorie qui se gargarise d’être derrière le « Hirak ». La première détient une moitié de l’influence sur la population. L’autre moitié revient aux protestataires qui se sont hasardés en leur mouvement social animé par l’idée de sortir le pays du marasme.
Alors que continue la traque des manifestants, avec un cynisme traitant ceux qui contestent la poursuite des fausses réformes, en terroristes, le changement n’a pas l’allure de se réaliser. Aucun programme n’est dument fixé ou conventionné par les prétendus détenteurs des centres de décision qui tablent sur la prédation. Alors que persiste encore la sourde colère.
A l’instant du ramadan, la liste des détenus d’opinion remis en liberté provisoire s’élève à 70 sur un total d’emprisonnés qui dépasse largement les 300. Ces grâces politiques sont associées à plus 1000 repris de justice de droit commun. Ces « provisoires » libérations, en l’occasion du mois de jeûne signale un communiqué de la présidence, disent que la même source d’arrestation les prononce.
Après Bouteflika l’alliance sacrée des réactionnaires de la bigoterie religieuse, des énarques de la corporation de Tebboune (Ouyahia et Sellal en prison pour crimes économiques graves) et des militaires, banalisent la prédation en s’accaparant la rente nationale !
Les Algériens ressentent une vraie régression de la démocratie qu’ils ont cru l’avoir acquise en octobre 1988. Mais l’islamo-terrorisme est passé. Puis le despotisme s’est enraciné. Maintenant les injustices et la répression des jeunes pour des "post" sur les réseaux sociaux du Net, sont devenues pesante sur la vie citoyenne.
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