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Les Etats-Unis ne cessent de s’en prendre aux citoyens chinois et russes qu’ils accusent de toutes les sortes possibles d’espionnage ou de crimes. Nous en sommes désormais avec une république bananière, des paroles même de Poutine, qui ne contrôle et ne surveille plus ses affaires. Donc frappe aveuglement ce qui est perçu par sa population et ses alliés des ennemis.

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Une récente déclaration du secrétaire américain à la Défense, Mark Esper, a révélé un accord liant les États-Unis et l’Inde. Il a appelé cette convention, conjointement discutée par Pompéo et son homologue indien Dr. S. Jaishankar, mardi 27 octobre 2020, en une coopération militaire pour freiner l’agression chinoise.

En juillet, par exemple, le ministère américain de la Justice a accusé des pirates informatiques, travaillant avec le gouvernement de Pékin d’avoir ciblé des entreprises développant des vaccins contre le coronavirus. Le but est déterminé comme un vol de centaines de millions de dollars de propriété intellectuelle et de secrets commerciaux à des entreprises du monde entier.

Mais le tout dernier fait concerne huit personnes d’avoir participé à un effort secret au nom du gouvernement chinois visant à localiser aux États-Unis des dissidents chinois et d’autres personnes recherchées par Pékin, y compris des délinquants, et à les contraindre à retourner en Chine. Cinq des huit ont été arrêtés mercredi 29 octobre. Selon les responsables de la justice, ils agissaient avec des intimidations, le harcèlement et des tactiques « très dérangeantes ». Les trois autres seraient en Chine.

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L’acte d’accusation des six Russes, tous considérés comme des officiers actuels et anciens de l’agence de renseignement militaire connue sous le nom de GRU, ont effectué des hacks selon les procureurs. Ils viseraient à promouvoir les intérêts géopolitiques du Kremlin et à déstabiliser ou punir les ennemis présumés.

Au total, les attaques ont causé des milliards de dollars de pertes et perturbé un large éventail de vies, y compris les soins de santé en Pennsylvanie, un réseau électrique desservant des centaines de milliers de clients en Ukraine et une élection française qui a vu la divulgation tardive de e-mails piratés. Même pour ces cas très peu de preuves sont données, alors que les discours sont plus politiciens.

C’est Internet qui fait ces dernières années la vulnérabilité des Etats-Unis, d’après nombreuses situations. Souvent des attaques contre des responsables russes et chinois sont émises en accusations. Alors que l’extrême-droite, qualifiée de terrorisme interne, est devant un vote explosif qui risque d’éclater aux visages de ceux qui ont bien supposés l’ingérence diabolique des hackers…

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