L’illusion de pouvoir terminer avec le terrorisme en Algérie ressemble au songe de pour limiter la "harga" des jeunes qui quittent le pays au risque de leurs vies. La malédiction qui fait usage de la religion, un programme politique, d’ailleurs adopté par les faux nationalistes, de la prédation de rente accaparée de ses titulaires que sont les citoyens, est plus ancrée en 2024 que lors de la "décennie noire". Le déclic pour le glissement à une violence à grande échelle, est souvent dans les discours des bureaucrates qui créent la menace obscurantiste.
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fait divers, société, fléau, délinquance, religion
Articles
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2 terroristes bien armés, éliminés en avril 2024, au centre d’Algérie.
29 avril, par Djamel Damien Boucheref -
Ordre d’en haut : un journaliste refoulé au retour à son pays, l’Algérie.
16 avril, par Djamel Damien BoucherefÀ la veille d’une élection qui s’est déjà annoncée par un pseudo-avancement de son rendez-vous, cet épisode, du refoulement d’un citoyen revenant à son pays, est le dernier exemple des décisions d’une présidence algérienne aux abois. Le système politique du vaste pays d’Afrique du Nord, replonge dans sa paranoïa, alors que les vrais responsables, de ces cabales antidémocratiques, accumulent encore plus de dégâts et de bourdes inacceptables par la plus basique logique pour et de l’intérêt national !
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Espionnage de Pegasus, impunies charges du justiciable qui nuit encore.
17 janvier 2023, par Rebel KazimirDevant la Cour suprême des États-Unis la défense d’ONS, l’entreprise israélienne qui vend toujours le système d’espionnage des téléphones nommé "Pegasus" cite le droit à l’immunité souveraine. Ce qui a été rejeté, mais le problème demeure car les communications sont encore surveillées. Et le moindre des post sur les réseaux sociaux du Web est décortiqué par des cellules sécuritaires qui suggèrent la lutte contre les tendances complotistes qui s’attaquent aux institutions.
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Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien BoucherefQuelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.
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2è partie : essentiel de l’interview de Tebboune, point par point.
2 avril, par Djamel Damien BoucherefL’emprise de la bureaucratie des énarques en Algérie s’est érigée en héritage du pouvoir absolu des nationalistes de l’indépendance. Aussi bien les premiers mis au service des seconds n’ont pas, les deux générations, mis en érection la "nation en formation". Le pays plongé dans une malédiction maladive, que de prétentieux présidents se placent en conscience des humains, donnant aux citoyens des retards économiques, des fanatismes religieux, des psychologies collectives ringardes et criminelles... La fabrique qui a engendré Tebboune persiste dans une culture ténébreuse.
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Terroriste ou pas, quand les médias improvisent des priorités aux crimes...
30 octobre 2018, par Gros EmileCe n’est guère un esprit de communication qui, utilisant les concepts, définit : qui est terroriste ou ne l’est pas ? Les méthodes langagières préfèrent "violence politique" quand il s’agit de groupes qui causent des tueries. Par allégeance à des nébuleuses indéchiffrables ou bien à de vraies organisations qui traduisent une action de confrontation politique, le mot "terrorisme" semble convenir précisément à certains criminels, plutôt qu’à d’autres...
Après que le tueur Robert Bowers, (...) -
Ali Charaf Damache condamné à 15 ans, préalablement arrêté et ses attentats évités
31 octobre 2018, par Djamel Damien BoucherefAli Charaf Damache est un islamiste algérien, qui s’est endoctriné comme des millions de jeunes détournés par la pseudo-idéologie du "patriotisme identitaire", en la théologie du "djihad", fortement imprégné d’islam politique. Enfant, il avait quitté son pays d’Afrique du nord et a grandi en France. En 2009, il a épousé en Irlande où il séjournait, une blonde originaire du Colorado (USA) appelée Jamie Paulin-Ramirez. Une américaine convertie à l’islam, qu’il a connu sur Internet... (...)
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Abou-Anas El-Libi décède à New-York
6 janvier 2015, par Azouz BenhocineAprès 15 années de traque à cause des attentats de 1998 qui ont visé les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie, Abou Anas al-Libi, a été arrêté en octobre 2013 en Libye. Il vient de décéder à l’àge de 50 ans, le vendredi 02 janvier, dans un hôpital à New-York, le « Metropolitan Correctional Center » (dépendant du ministère de la justice), alors qu’il devait passer devant un tribunal le 12 janvier prochain.
De son vrai Nazih Abdel Hamed al-Raghie, connu sous le pseudo de (...) -
La vérité sur les dérives des humanitaires islamistes
23 novembre 2014, par Hugo MastréoC’est le 14 janvier 2014, que le ministère de l’Economie a gelé le compte de Yasmine Znaïdi ainsi que celui de l’association « Perle d’espoir », dont elle est présidente. Une loi qui date du 21 décembre 2002, préconise ces stoppages d’une période 6 mois pouvant être renouvelable, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Ce texte donne prérogative de blocage des avoirs, au ministère de l’économie et non à celui de la justice. Depuis cette association était dans le collimateur de la (...)
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Fausse victime d’acte terroriste, du resto du cÅ“ur à Montreuil, jugée
11 mai 2017, par JacoIl serait fastidieux de citer les fausses agressions, en France, à la fois attribuées à l’islamisme et ayant pour motivation l’antisémitisme. Les autorités judiciaires optent pour la clémence et des soins psychiques, quand les enquêteurs concluent pour l’inexactitude des déclarations de ces fausses victimes. Alors que le code pénal prévoit 6 mois de prison et 7500 ‚¬ d’amende.
Au cours de la même période, pour ne pas s’étaler sur d’autres cas d’attaques fictives comme du Rabin Ferhi au (...)