Beaucoup d’Algériens sont naïfs au point de croire à ce que racontent les médias nationaux. Ils admettent que le train du développement a démarré, avec la "Nouvelle Algérie". Et que d’ici quelques années notre pays va conquérir les pays les plus développés.
Accueil > Mots-clés > Monde, international, relations entre pays > Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Articles
-
Le développement local en Algérie, entre promesses et réalité.
1er juin, par Moussi Nassim -
Algérie : il n’y a pas eu de coupure Internet pendant les contestations.
15 février 2011, par Gros EmileCoupure d’Internet, chose simple mais aussi compliquée car on peut la contourner et même banalement avec des connections VPN...
-
En Algérie, quand est ce qu’on va passer le flambeau aux jeunes ?
28 mai, par Moussi NassimLes jeunes en Algérie attendent avec impatience leur tour. Ils aspirent à exprimer et exécuter leur vision dans la vie politique du pays, alors que les vieux s’imposent encore, même après la fin de la génération de la libération. Et pourquoi pas, voir un jeune président de la République dans un pays de jeunesse ?
-
Les prédateurs, de la rente en Algérie, préfèrent Dubaï.
25 mai, par Djamel Damien BoucherefLes documents partagés avec bien des titres de presse, dans le cadre de cette enquête internationale appelée « Dubai Unlocked », montrent que SONATRACH est toujours la poule aux œufs d’or pour les castes rentières qui se cramponnent au pouvoir. Dubaï a déjà accueilli les rejetons, cousins et directement le nain raïs, l’exemplaire du despotisme du parti unique, dans un faste engrangé, par par kleptocrates, des richesses collectives...
-
Thajmaath, système ancestral d’organisation de la société kabyle.
12 mai, par Moussi NassimAprès la visite de Karl Marx en Kabylie en 1882, il s’est étonné de la façon avec laquelle cette société s’est organisée. Pour pouvoir avoir sa parole dans thajmaath, il faudra être caractérisé par plusieurs qualités telles que la sagesse, être beau parleur, respectueux, la pudeur.
-
2024, une escale d’évaluation dans la longue marche du travailleur algérien.
18 mai, par Moussi NassimLe travailleur est en évolution dans ses droits dans l’entreprise bien que le syndicalisme est devenu comme délit dans certains pays de dictateurs comme le nôtre. Il ne peut y avoir une justice sociale ni une répartition équitable des richesses du pays dans une société ou son travailleur n’arrive pas à subvenir à ses besoins les plus élémentaires.
-
Réforme du système éducatif en Algérie, réclamée par les syndicats et la société civile.
24 mai, par Moussi NassimBien que pour les spécialistes, du secteur éducatif en Algérie, indiquent que la qualité des cours est vraiment satisfaisante, en contrepartie, les syndicats revendiquent une réforme approfondie de l’enseignement, dans le but d’améliorer les résultats de leur labeur. Il faut reconnaitre aussi que les salariés de l’enseignement public aspirent à faire progresser leurs aptitudes.
-
Algérie, sous le règne de la médiocrité du personnel politique.
26 mai, par Moussi NassimCette intelligente emprise de la médiocrité marquera dans le temps notre époque moderne. On la voit s’exprimer hautement et largement dans l’architecture, abondamment dans la littérature. Et elle règne complètement dans la politique.
-
Le procès d’un revenant de Guantanmo en Algérie et l’article 87-bis.
13 mai, par Rebel KazimirExtrait d’un rapport des services des droits de l’homme de l’ONU : « ... Gouvernement de votre Excellence sur des informations que nous avons reçues concernant les allégations de détention arbitraire, de torture et de mauvais traitements à l’égard de M. Saeed Bakhouche, dont la libération a été autorisée et qui a été transféré du centre de détention de la station navale américaine de Guantánamo Bay vers l’Algérie, le 20 avril 2023, et le risque qu’il puisse être victime de violations de droits humains, y compris d’une disparition forcée. »
-
Les élections présidentielles en Algérie, un non-événement.
25 avril, par Moussi NassimA quelques mois des élections présidentielles en Algérie, silence total du peuple. Comment expliquer cette démission de toute la société ?