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Seuls 30% des Saoudiens se disent favorables à l’établissement de liens avec l’Etat hébreu, selon une enquête publiée mardi pour le compte de l’Institut de Washington pour la politique au Proche-Orient. Le Wall Street journal est catégorique, une rencontre a bien eu lieu, trois conseillers du gouvernement saoudien sont sa source officielle. Vous pouvez consulter en bas les autres titres qui en parlent.

BMS sait que même au sein de la famille royale, il ne lui pas pardonné de se rapprocher d’Israël. Alors que sa servilité aux Etats-Unis qui est grandement à son avantageuse et à celle de son pays, l’oblige à se plier à ce qui imprime vraiment la loyauté et le partenariat entre des pays qui se disent amis.

Les Etats-Unis ne relâchent guère leur pression pour élargir leur pression sur les pays arabes qui leur sont proches, afin qu’ils rejoignent le cercle des amis de l’Etat hébreu qui s’élargit avec une nouvelle orientation engagée dernièrement au Soudan.

Alors que la diplomatie qui va dans ce genre à des pays comme le Maroc, l’Irak et nombreux pays africains qui ont une lecture de l’islamo-terrorisme comme un effet d’atermoiements dans leurs rapports avec le Monde arabe et musulman.

Alors que les autorités saoudiennes et à leur tête MBS (Mohamed Ben Selman) tentent de démentir une rencontre entre ce dernier et le 1er-ministre israélien Netanyahou, des médias en ligne disent avec insistance qu’ils ont détecté la rencontre. Peu d’observateurs évitent ce sujet qui est l’un des plus scrutés et le point de se concrétiser.

Le responsable de l’Etat hébreu a commenté la question selon la bonifiée des interprétations d’un secret effondré. La presse israélienne est insistante, car l’étape Ryad/Tel-Aviv (ou Jérusalem) est attendue. Benyamin Netanyahu se serait rendu secrètement en Arabie saoudite dimanche, 22 novembre, pour y rencontrer le prince héritier Mohammed Ben Salmane.

L’incontournable dans la normalisation des relations entre Israël et les pays arabes est Riyad qui a démenti toute rencontre du genre. Des sources américaines aussi sont de la partie. Nombreux titres ont rapporté que Jared Kushner gendre de Trump et conseiller principal du président Donald Trump a effectué une visite éclair en Arabie saoudite et au Qatar.

Ce déplacement d’un tel niveau, alors la Maison Blanche est sur le point de changer de main, questionne plus d’un. Il serait lié à plusieurs dossiers dont l’élimination du responsable du nucléaire iranien. La réconciliation entre les voisins Qatar et Arabie Saoudite serait la cause de ce dérangement. Mais surtout la priorité est le rapprochement entre le réformiste prince et le responsable israélien.

Le prince héritier se serait ravisé, ne sachant sur quel pied danser. La prochaine administration américaine, sous la présidence de Joe Biden, est certainement celle de l’avenir. Et avec laquelle il sera plus judicieux de nouer, avant toute autre manœuvre, de bonnes relations.

Selon un conseiller saoudien et un haut responsable américain cités par le Wall Street journal, le Premier ministre israélien et le chef de la diplomatie américaine espéraient obtenir la promesse d’une normalisation des relations entre Israël et l’Etat du Golfe. Mais le trublion princier leur a, sans s’excuser, faussé compagnie au dernier moment.

Donc ce dimanche 22/11, M. Netanyahou s’est envolé pour la ville futuriste de Neom qui encore en projet balnéaire très attendu. Il était accompagné du directeur du Mossad afin de tenir une réunion tripartite avec le prince héritier Mohammed ben Salmane et le secrétaire d’État américain Mike Pompeo. Laquelle n’a pas de suite et est niée même si elle a été tenue.

Voici quelques médias qui en parlement avec véhémence.
– Les échos
– La Nation
– i24

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