Depuis quelques années, l’université algérienne est absente lors des événements qui décident le sort du pays.
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Afrique, Monde Arabe, islam, Maghreb, Proche-Orient,
Articles
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L’université algérienne et le rôle de locomotive des grands événements.
6 mai, par Moussi Nassim -
Ferme laitière du Qatar impose son infect lait en poudre en Algérie.
5 mai, par Djamel Damien BoucherefLes préconisations sont optimistes à propos du projet exploitant 117 000 ha et plus de 10 000 vaches laitières au cœur du Sahara algérien. Une fois construit, la réalisation permettra de produire localement 50 % des besoins en lait en poudre du pays, d’approvisionner le marché local en viande rouge et de contribuer à l’augmentation du cheptel bovin national.
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Les élections présidentielles en Algérie, un non-événement.
25 avril, par Moussi NassimA quelques mois des élections présidentielles en Algérie, silence total du peuple. Comment expliquer cette démission de toute la société ?
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2 terroristes bien armés, éliminés en avril 2024, au centre d’Algérie.
29 avril, par Djamel Damien BoucherefL’illusion de pouvoir terminer avec le terrorisme en Algérie ressemble au songe de pour limiter la "harga" des jeunes qui quittent le pays au risque de leurs vies. La malédiction qui fait usage de la religion, un programme politique, d’ailleurs adopté par les faux nationalistes, de la prédation de rente accaparée de ses titulaires que sont les citoyens, est plus ancrée en 2024 que lors de la "décennie noire". Le déclic pour le glissement à une violence à grande échelle, est souvent dans les discours des bureaucrates qui créent la menace obscurantiste.
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Tebboune à Tunis, rappel du rêve des peuples du grand Maghreb.
28 avril, par Moussi NassimLes habitants du nord du continent africain ont toujours dans leur tête un rêve d’un Maghreb uni. Ils attendent un songe, telle une chimère inaccessible.
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Ordre d’en haut : un journaliste refoulé au retour à son pays, l’Algérie.
16 avril, par Djamel Damien BoucherefÀ la veille d’une élection qui s’est déjà annoncée par un pseudo-avancement de son rendez-vous, cet épisode, du refoulement d’un citoyen revenant à son pays, est le dernier exemple des décisions d’une présidence algérienne aux abois. Le système politique du vaste pays d’Afrique du Nord, replonge dans sa paranoïa, alors que les vrais responsables, de ces cabales antidémocratiques, accumulent encore plus de dégâts et de bourdes inacceptables par la plus basique logique pour et de l’intérêt national !
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Disparition de la monnaie en Algérie : une gabegie économique ?
4 août 2020, par Djamel Damien BoucherefDiscrétement, l’Algérie autorise les premiers produits financiers islamiques des banques d’État. Parce qu’ils ne représentent pas les pans forts de l’économie. Mais s’occupent des secteurs informels qui restent incontrôlables par la fiscalité.
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Algérie : derrière la nomination de Sellal
6 septembre 2012, par Azouz BenhocineDepuis que l’Algérie a recouvert sa souveraineté nationale, l’analyse du pouvoir a alimenté des débats. Elle est relatée, entre abrégés tentant d’exposer sa sainteté et étendus diagnostiques disséquant les rapports de ses corpus, alliés ou en confrontation selon l’époque. Même après que la légitimité historique a été déverrouillée, un certain 5 octobre 1988, son anatomie qui s’est abàtardie de bureaucratie, n’a pas été détournée de ses mutations sournoises. A chaque ère, le régime (...)
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L’énergie renouvelable indicateur d’équilibre des pays en développement
25 mai 2015, par JacoUn nouveau monde est-il en train de naître ? Les pays qui se remarquent par leur poussée de développement s’intéressent davantage aux nouvelles énergies que ceux déjà industrialisés. Les grands investissements des nations qui vivent l’explosion des couches moyennes en offrant des millions d’emplois à leurs populations, se dirigent aux énergies propres. Quand l’humanité s’attend à une croissance de 594% des énergies renouvelables, dans le monde entre 2012 à 2030, le virage est pris. (...)
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Pour acter son soutien au 5ème mandat en Algérie, la vindicte d’Ennahar via Alg24
9 octobre 2018, par Djamel Damien BoucherefL’Algérie livrée à une mascarade de destruction des institutions, même les plus solides, se dégradent de jour en jour. Comme ce cas qui traduit la grande descente aux enfers des appareils les plus solvables. L’ex-DRS devenue "Direction des Affaires de Sécurité" et rattachée directement à la présidence qui détient aussi le ministère de la défense, est fonctionnel dans un pays en panne, sclérosé par une cynique maladie devenue collective et incurable...
Par le passé les journalistes (...)