Peu importe votre appréhension du métier d’informer la société, individus et entreprises, la disproportion de l’avènement de l’IA est une nouvelle révolution. L’apparition d’Internet a changé grandement le support et a aussi impacté les méthodes, comme l’immense et profond apport de WikiLeaks qui renouvela définitivement la manière de fuiter, par le journalisme aux sources infaillibles, les discrétions des sphères impénétrables.

Oui, quelle que soit votre opinion sur « genAI », l’importance de comprendre et de s’engager dans la nouvelle technologie, qui remodèle le journalisme, pour vous servir le mieux, il y a un qualitatif à l’innovation que seule l’ère numérique arrive à si bien digitaliser. Cela aidera donc "l’industrie des médias" à identifier les meilleures pratiques, les stratégies utiles et les voies vers l’efficacité et la perfection.

Startups devancées par les États pour l’IA (Intelligence Artificielle).

2023, année de ChatGPT enfanté par l’IA qui chatouille les doués.

Nous vous donnons lecture d’un rapport qui aborde la qualité et la durabilité du journalisme à la lumière de l’usage de l’IA. Le concept « JournalismAI » n’est pas familier, mais ses promoteurs y tiennent. C’est une initiative mondiale de Polis et est soutenue par la Google News Initiative. Ces enquêtes à grande échelle sont édifiantes. Ce qui donne à ces investigations les caractéristiques d’études, parce que très poussées.

Ce document avoue : la plupart des rédactions que nous avons interrogées ont déjà expérimenté des technologies d’IA générative comme ChatGPT, mais pas nécessairement pour créer du contenu. D’autres besoins intéressent la presse en ligne. La rédaction de code, résumés, amélioration des titres et référencement.

Une première recherche fut menée en 2019, depuis les choses ont évolué et ChatGPT a surgi dans l’expectative, scrutant la révolution. La seconde vient d’être clôturée et son exposé diffusé. Le précédent rapport de JournalismAI est basé sur une enquête menée auprès de 71 agences de presse dans 32 pays différents concernant l’IA (intelligence artificielle) et les technologies associées.

Ils ont contribué à l’élaboration de cette seconde recherche, effectuée en 2023, basée sur la pratique des questionnaires. Plus de 120 rédacteurs, journalistes, technologies et créateurs de médias de 105 petites et grandes salles de rédaction dans 46 pays, ont participé. Tous partagent leurs apprentissages sur l’utilisation de l’IA en général et de la genAI.

Les préoccupations et les utilisations positives, se chevauchent l’une suit l’autre. Elles révèlent que genAI est déjà en train de remodeler le paysage journalistique. Il inclut également un contexte sur la manière dont les agences de presse ont continué à développer l’IA « traditionnelle » et sur la manière dont elles abordent les nouveaux défis de la genAI.

Les personnes interrogées ont déclaré qu’elles espéraient automatiser les tâches banales et simplifier les flux de travail, afin de permettre aux journalistes de s’engager dans « un travail plus créatif, pertinent et innovant. Le paysage médiatique subit cette significative transformation en raison des progrès technologiques, qui sont adoptés à bras ouverts.

Des professions en voie d’extinction à cause de l’IA (Intelligence Artificielle)

11e analyse de la communication sociétale dans la région MENA.

Les prétextes pour endiguer les progrès sont une sale mémoire où nombreux dogmes néfastes et d’injustice prédominent. La mutation « IA » liée à l’informatique, qui a d’autres préceptes plus rationnels que les religions, a suscité des discussions. Encore cette fois les débats se font dépasser, sans changer de cap à la progression humaine, allant dans le cheminement des faits confectionnant l’Histoire.

Divers sujets de couverture médiatique tergiversent entre des avancées positives dans des domaines comme la médecine et des inquiétudes qui ont pour arguments l’exacerbation de la discrimination et les inégalités sociétales. Quant au potentiel de la genAI à générer une désinformation indétectable, réside dans la déontologie que recèlent les lignes éditoriales des médias, tous genres confondus.

Une cohérence explique le discours d’exploitation des moyens à portée de l’IA. Il consiste à définir où l’accès aux dispositions qui recèle des connaissances accumulées sous formes de datas par les réseaux et les centres de stockage. C’est là que l’IA générative trouve ses ressources. Elle utilise des algorithmes d’apprentissage profond, afin d’apprendre sur des modèles établis.

Elle en glane des caractéristiques dans les ensembles de données qui lui sont exposées. Puis génère, à son tour, de nouvelles données sur la base des acquis sous-jacents à la quête venant des autres flux ouvertement présents sur les plateformes, sites et bibliothèques dont la lecture est facilité par la quête des publics clients.