Accueil > Editoriaux / Opinion > Editorial, opinion, point de vue, déclaration, paix, pertinente, monde, (...) > Actualité, événement, opinion, intérêt général, information, scoop, primauté > Anticipation au post-COVID-19 : quelle dette à la libre entreprise ?
Après COVID-19, le capitalisme quête le visage humain qu’il ne respecte pas.
mercredi 21 juillet 2021, par
Quand la Chine communiste a adopté la libre entreprise, l’affectation idéologique de l’économie étatisée s’est contentée du critère de justice sociale. La puissance asiatique a multiplié ses salaires par au moins 5, lors des 3 ou 4 décennies. Pékin a démontré que le socialisme n’est pas un frein au développement humain. L’élargissement de la classe moyenne s’est faite au dépend de la pauvreté.
Après COVID-19, le capitalisme imagine sa reprise, comme il a fait en 1929, en 1945 et en 2008. Comme il a pour essence l’endettement de celui qui détient une idée fructueuse, c’est le rapport au crédit qu’on pense le plus. La question de relance, alors que la maladie n’est guère de s’estomper, l’anticipation songe aux habituelles facilités financières. Et comme d’habitude sans contrepartie.
4 modernisations en Chine que le capitalisme n’a pas créé avec le congé payé.
3 octobre 2019
Chantre de la survie dans les crises qui souvent lui sont génétiquement liées, le modèle économique révolutionnaire post-féodalité songe a pleinement bénéficié du passage de la pandémie sur l’humanité. Mais c’est hâtif, le mal est encore désespérant. Le capitalisme a multiplié ses bénéfices, comme les âmes gagnant des prouesses de la médecine, lors même de la crise sanitaire et alors…
Le capitalisme a plus trait à l’entreprise. Il a fait des artisans des industriels. Avec des boutiques il a lancé de vastes marchés transnationaux. Et pour des usuriers il les a chargés d’être banquiers chantres de la monnaie. Il reproduit son idéologie à travers surtout les ressors économiques. Le débat a vite été au diapason de la récente maladie soupçonnée d’être venue de Chine…
Ceux que Karl Marx n’a pas hésité de pénétrer et d’en décider de les révéler comme les moteurs des transformations sociale, les individus précurseurs des richesses ne se font pas toujours noyés dans la foule de la collectivité. Ils ripostent de leur création face aux crises et planifient leurs actions en vertu des financements qui leur sont du côté moins humain.
Avec la secousse financière des « subprimes » dont les effets s’attardent, continuent et ont encore des rebondissements, les économistes ont pris parti dans la bataille, les uns pour l’austérité et d’autres pour la relance. Cette fois-ci, encore sous l’effet dévastateur d’un terrifiant virus, ils ont prématurément convergé sur « tout ce qu’il faut » pour terminer avec la pandémie.
L’activité économique a ressenti principalement le blocage des populations dès les débuts, quand la pandémie a été perçue transfrontalière. Le consensus intellectuel, venu par la réponse politique qui a impacté l’entreprise a poussé au confinement et aux distanciations. Alors que certains produits d’hygiène concernant la maladie encouragèrent à la création de nouvelles manufactures.
Pour la 1ère fois, une majorité de la jeunesse américaine favorable au socialisme.
17 juillet 2019
Le défi immédiat maintenant, au lendemain de la pandémie, concerne la soutenabilité de l’énorme dette accumulée par tous les pays en l’espace d’un an. Le même débat revient sur le rallongement des échéances de recouvrement des finances d’investissement et la réduction des taux d’intérêts.
L’incertitude entourant le risque posé par le surendettement sont à prévoir pour des trajectoires d’équilibres multiples. Les déséquilibres sont conséquents des taux élevés et de l’instabilité financière. Encore une fois les capitalistes versent leur dévolu sur le gouvernement, l’accusant de la crise parce qu’il y eu relâchement. Mais la gravité de la chose est sanitaire et pas de gestion…
Avec l’expansion de la vaccination anti-COVID-19, prend place des projections économiques différentes. Car la masse humaine a changé et elle sort différente de cette expérience, celle d’une maladie causée par un virus transposé par la mondialisation.
Les sociologues perçoivent la transformation qui est la mise en place d’une sélection engendrée par la riposte unanimement faite par l’humanité contre la terreur sanitaire. Le problème est encore viral, car la 4ème vague qui répand la version "DELTA" du SRAS-COV-2 fait son dernier ravage, en exterminant les absents de l’inexorable marche vers demain.
Voir en ligne : COVID-19 & Capitalisme
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