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Les opportunistes, les islamistes et la menace ont bloqué le processus de démocratisation
dimanche 23 septembre 2018, par
Le 5 octobre 1988, quoique penseront les ignominieux de la mémoire du peuple qui a fait de cette date un symbole de la transformation en Algérie, est gravé comme le soulèvement des oubliés de l’indépendance. C’est pour cela que ceux qui vivaient dans les rouages, s’exprimaient librement et dominaient leurs prochains, sans se soucier des censurés, des exclus et les continuellement traqués par la terrible SM (ancêtre du DRS), ne croient pas au fait indéniablement historique...
Dans le contexte d’agitation mondiale de l’époque, la résolution de changer s’est emparée des esprits politisés qui étaient déçus de la gravité du virage ruineux du règne de Chadli. Alors que l’exclusion frappait aveuglement le dévouement et l’intelligence, le parti unique se gargarisait des acquis que ses "kasmas" faisaient, en surveillant la population, disparaître dans des comptes bancaires en Suisse.
– ALGERIE : De l’historicité du 5 Octobre 1988.
10 septembre 2008
– Ce repère du 5 octobre qui a mis fin à la version socialiste du mythe algérien.
20 juillet 2010
Il y a exactement 4 décennies, la révolte des jeunes algériens qui a transformé ce pays d’Afrique du Nord, était comprise en second souffle de l’indépendance advenu en 1962. Le couronnement de la glorieuse guerre de décolonisation qui inspira ailleurs d’autres insurgés en Afrique, en Asie et Amérique Latine, était incomplet quand des dramaturges étaient écartés des planches et des intellectuels prenaient le large pour vivre sous des cieux plus ouverts...
Alors que des divisions de bureaucrates usurpaient, d’ailleurs jusqu’à maintenant, le sigle « FLN » derrière des mouhafedhs (commissaires) et sous la houlette du duo Messa dia et Mehri, une dictature bête, analphabète et tordue, régnait… L’intenable atmosphère où le banditisme du "trabendo" (trafic économqiue) prenait impunément la maigre rente qui s’est effondrée avec la chute du prix du baril de pétrole, devait se brisait !
Une génération vaillante et résolue a finalement magnifié, en ce jour illustre, l’aspiration de vivre libre et dans la prospérité. Cette autre victoire des mes qui vénèrent le progrès, la paix et l’amour s’est inscrite par le sang et la douleur. Finalement, le sursaut opina d’acter une rupture avec la gestion approximative de Chadli.
– Algérie : l’automne qui devança le Printemps Arabe !
12 septembre 2013
<img692|left> Même après-coup, le 1er responsable du parti unique réfutait le pluralisme politique et préconisait des courants artificiels au sein de l’appareil que la jeunesse maudissait. Le parti FLN qui n’avait aucune trace de l’ADN de l’organisation qui a encadré la t che historique de libération qui a duré de 1954 à 1962, était gangréné de médiocrité et qui alignait les détrousseurs du denier public à tous les niveaux de ses hiérarchies.
Pour certains analystes, cet arrêt infligé au parcours politique à la sinuosité indéchiffrable était une intrigue sortie du palais présidentiel et de l’armée. Même l’actuel président Bouteflika commenta le 5 octobre, en manœuvre venue de certaines officines qu’il n’a pas nommées. La croyance en une insurrection populaire leur échappait, donc il faut saper l’esprit spontanée des insoupçonnés polissons dont la réaction était inattendue pour les tarés du système dit de la « hogra » !
À suivre la commémoration : 30 ans qu’un 5 octobre brisa la pensée unique en Algérie, quel héritage ? 1ère Partie
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Voir en ligne : GROUPE SUR FACEBOOK à propos du 5 octobre en Algérie