L’illusion de pouvoir terminer avec le terrorisme en Algérie ressemble au songe de pour limiter la "harga" des jeunes qui quittent le pays au risque de leurs vies. La malédiction qui fait usage de la religion, un programme politique, d’ailleurs adopté par les faux nationalistes, de la prédation de rente accaparée de ses titulaires que sont les citoyens, est plus ancrée en 2024 que lors de la "décennie noire". Le déclic pour le glissement à une violence à grande échelle, est souvent dans les discours des bureaucrates qui créent la menace obscurantiste.
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Articles
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2 terroristes bien armés, éliminés en avril 2024, au centre d’Algérie.
29 avril, par Djamel Damien Boucheref -
Les élections présidentielles en Algérie, un non-événement.
25 avril, par Moussi NassimA quelques mois des élections présidentielles en Algérie, silence total du peuple. Comment expliquer cette démission de toute la société ?
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Tebboune à Tunis, rappel du rêve des peuples du grand Maghreb.
28 avril, par Moussi NassimLes habitants du nord du continent africain ont toujours dans leur tête un rêve d’un Maghreb uni. Ils attendent un songe, telle une chimère inaccessible.
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Ordre d’en haut : un journaliste refoulé au retour à son pays, l’Algérie.
16 avril, par Djamel Damien BoucherefÀ la veille d’une élection qui s’est déjà annoncée par un pseudo-avancement de son rendez-vous, cet épisode, du refoulement d’un citoyen revenant à son pays, est le dernier exemple des décisions d’une présidence algérienne aux abois. Le système politique du vaste pays d’Afrique du Nord, replonge dans sa paranoïa, alors que les vrais responsables, de ces cabales antidémocratiques, accumulent encore plus de dégâts et de bourdes inacceptables par la plus basique logique pour et de l’intérêt national !
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Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien BoucherefQuelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.
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2è partie : essentiel de l’interview de Tebboune, point par point.
2 avril, par Djamel Damien BoucherefL’emprise de la bureaucratie des énarques en Algérie s’est érigée en héritage du pouvoir absolu des nationalistes de l’indépendance. Aussi bien les premiers mis au service des seconds n’ont pas, les deux générations, mis en érection la "nation en formation". Le pays plongé dans une malédiction maladive, que de prétentieux présidents se placent en conscience des humains, donnant aux citoyens des retards économiques, des fanatismes religieux, des psychologies collectives ringardes et criminelles... La fabrique qui a engendré Tebboune persiste dans une culture ténébreuse.
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Les détenus d’opinion en Algérie : atteinte aux libertés & recul de démocratie.
7 avril, par populiscoopCette autre demande de libération des détenus d’opinion en Algérie est suivie de l’ouverture des espaces d’expression. Les droits sont bafoués alors que les médias induisent un travail d’une piètre qualité, offrant aux publics local et mondial des productions et contenus confus, médiocres, inintelligibles et sans moindre esthétique. Les appels de ce genre sont nombreux, pour impulser les libertés. Mais les bureaucrates qui dirigent, avec le soutien de l’armée, brandissent le prétexte de menace de déstabilisation...
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Les manifestants algériens ne croient pas les autorités qui reculent sur le gaz de schiste.
22 janvier 2015, par Djamel Damien BoucherefAprès une volte-face du président Bouteflika, qui n’est pas pris au sérieux, le chef du gouvernement algérien, Abdelmalek Sellal a intensifié la propagation de la nouvelle orientation énergétique algérienne. Il déclare, mercredi 21 janvier, un large recul sur l’ouverture imminente des premières exploitations de gaz de schiste. Soit, aucun chantier ne sera ouvert avant 2022, a-t-il précisé. En soutenant que les études pour déterminer les capacités de la nouvelle ressource énergétique (...)
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2è CONTRIBUTION : La #RDN est une marche, sans répit ni conflit, du progrès
24 avril 2019, par N.E. TatemNous vous proposons à la fin de cet article, une bien importante analyse du "Hirak en Algérie". Elle ne s’alimente d’aucun complexe. Et mérite d’être consultée pour la valeur de son exposé, assez coordonné dans les éléments du contexte régional et mondial. Ni même celui de vouloir élargir, comme prendre les vessies pour des planètes géantes, le rayonnement de ce mouvement social sur les affaires du Monde, par le fait d’en parler, agrandit comme la loupe... Ce qui lui vaut "le pesant d’or" (...)
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Disparition de la monnaie en Algérie : une gabegie économique ?
4 août 2020, par Djamel Damien BoucherefDiscrétement, l’Algérie autorise les premiers produits financiers islamiques des banques d’État. Parce qu’ils ne représentent pas les pans forts de l’économie. Mais s’occupent des secteurs informels qui restent incontrôlables par la fiscalité.