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Les performances physiques et le rajeunissement, avec la NAD dans le sang

Le débit sanguin pour véhiculer les enzymes appropriées pour se maintenir en forme

mercredi 19 septembre 2018, par Hugo Mastréo

L’humain redoute, donc essaie de surmonter, les effets de la vieillesse. Parce que les problèmes de santé surgissent à cause d’une vulnérabilité induite par l’affaissement naturel du système immunitaire, connu par la fatigue du métabolisme global... Le diabète, les maladies cardiovasculaires, le cancer, la dégénérescence osseuse, les troubles inflammatoires et les maladies neurodégénératives, sont des risques auxquelles s’exposent...

Le rêve de l’immortalité auquel certains humains aspirent est bien loin et encore impossible à le prédire. Ainsi la forme de ralentissement, voire du report, du vieillissement est peut-être déjà faisable, chez les humains, quand on ne nie pas les vraisemblables recherches de la science. Il y moins d’un siècle l’espérance de vie ne dépassait pas les 60 ans. Alors l’humain est contenté par de bien l’atténuation de ces souffrances et est radieux de gagner bien des décennies de longévité ! Nonobstant, il croit son organisme perfectible...

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Dans une cellule en fonction, il y a la vie qui consomme des nutriments, en temps elle procède à la respiration permanente. Et à l’intérieur de cette unité primaire et fondamentale de tous êtres vivants, flotte la NAD (nicotinamide adénine dinucléotide), dans la zone cellulaire située entre noyau et couverture externe. NAD est une coenzyme qui diminue avec l’ ge, pour entraîner une altération du métabolisme et provoquer une sensibilité aux pathologies.

Au-delà de ses constitutifs élémentaires que sont membrane, plasma et noyau, la cellule renferme aussi des molécules. C’est bien au milieu, entre le cœur central qui contient l’information génétique et l’enveloppe superficielle qui sépare la cellule de ses alentours, une solution renferme une variété de matières moléculaires. Elles sont essentiellement faites de protéines baignées, avec la fameuse NAD, dans un acide visqueux.

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Une recherche qui propose des traitements qui, après leurs expérimentations, inversent l’impuissance de la force physique causée par l’ ge. Du moins, sur des souris, le rajeunissement est provoqué par une méthode éprouvée, auprès de la prestigieuse Harvard, l’université que nous avons évoquée dans un de nos récent article (lire ICI).

L’objectif de restaurer des taux de NAD (dans sa version positive = NAD+), chez les animaux gés souffrant de maladies, peut favoriser la guérison. Et en plus, son effet est la prolongation de la durée de vie. Ce résultat d’incitation des molécules qui renforcent la résilience de l’organisme, s’effectue non seulement contre la maladie. De nombreuses personnes ont bénéficié d’une telle réaction qui rallonge la durée de vie humaine, la rendant donc saine.

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Avec l’introduction artificielle de deux molécules déjà innées et présentes dans le corps, afin d’améliorer l’irrigation sanguine et épauler, en conséquence, la diminution de l’atrophie musculaire chez les petits mammifères. Même si les populations deviennent, en ce 3ème millénaire, de plus en plus gées, compliquant les travaux de la médecine, on se réjouit que les barrières tombent, afin que l’humain vive plus longtemps.

20 mois d’existence chez les cobayes équivalent à 70 années de vie humaine, pour les scientifiques. La nouvelle étude (Voir ICI) menée par des chercheurs de la Harvard Medical School, dont les résultats ont été publiés le 22 mars dans Cell, la bible des biologistes, identifie les principaux mécanismes cellulaires du vieillissement vasculaire. Ce qui a permis d’intervenir sur le processus de faiblesse musculaire, causé par le vieillissement, pour le modifier inversement chez les animaux.

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Le traitement proposé (ou identifié) rétablit la croissance des vaisseaux sanguins. Ce qui a pour conséquence de susciter la vitalité musculaire et renforce l’endurance à l’exercice d’un effort chez les animaux vieillissants. La diminution du débit sanguin avec l’ ge est due à la perte de endothéliale NAD+ qui favorise la "sirtuine 1", qui est désignée, depuis plus d’un siècle, comme réparateur de l’ADN.

L’exercice physique, très prisé et conseillé pour le maintien de la forme physique, devient moins efficace pour résister à l’affaiblissement musculaire, connu sous le nom de "sarcopénie". La bonne tenue du circuit d’irrigation sanguine est plus importante, elle permet d’acheminer en priorité et la présence du NAD+, donc derrière l’espoir de vie plus longue accompagnée de vigueur...

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