La bonne santé de l’humain a trait à sa longévité et à l’état dans lequel il se trouve. Si on se livre à des sports de maintien d’un bon physique, pour avoir des forces et prolonger sa vie. Une recherche scientifique accorde que les exercices des femmes leur sont plus bénéfiques que ceux de l’homme, c’est en partie l’intérêt de savoir cette autre cause de la fraicheur féminine et de sa durée de vie.

Santé et changement climatique, convergence des crises.

On savait que les femmes vivent plus longtemps que les hommes et aucune hypothèse n’est épargnée pour consolider cette vérité. On avait commencé par dire que l’exposition aux risques d’accidents sont moindres pour elles. Voilà qu’une étude confirme que les femmes tirent plus de bénéfices de l’exercice physique que les personnes de sexe différent.

Sur plus de 400 000 adultes américains que cette recherche a tablé, dans son travail d’observation sur la santé et l’exercice physique, sa finalité est claire. Elle indique comme résultat que les femmes tirent plus de bénéfices de l’exercice que les hommes sur leur santé. L’accent étant mis sur la réduction des risques de mortalité, avec des effets physiques probables sur les sujets suivis.

À l’issue de cette étude, les lignes directrices en matière d’activité physique pour les Américains, les scientifiques recommandent aux adultes de faire au moins 2,5 à 5 heures d’exercice d’intensité modérée ou de 1,25 à 2,5 heures d’exercice vigoureux chaque semaine, ou une combinaison des deux, et de participer à deux jours ou plus par semaine d’activités basées sur la force.

Nous avons publié dernièrement un article concernant l’effet des exercices physiques sur l’état et le volume du cerveau. Mais nous insistons aussi que c’est dans les sociétés où la pratique du sport pour l’entretien de la santé que de telle étude peuvent avoir impact favorable, celle qui se disent traditionnelles ne cherchent pas beaucoup vertus dans les sciences.

L’exercice physique maintient l’état du cerveau et de son volume.

Les bénéfices maximaux en termes de survie ont été atteints avec 300 minutes d’activité physique aérobie modérée à vigoureuse par semaine pour les deux sexes, ce qui est presque une généralité pour les populations qui s’adonnent à cette activité physique. Mais les femmes ont enregistré une réduction de mortalité nettement plus importante.

L’étude concerne les habitants des États-Unis, c’est donc un modèle global de population en mesure de servir à ce sujet. Pour expliquer les différences, les auteurs ont déclaré que plusieurs facteurs, notamment des variations anatomiques et physiologiques, peuvent expliquer les différences de résultats entre les sexes.

Les besoins et les objectifs d’une personne, en matière d’activité physique, peuvent changer en fonction de son âge, de son état de santé et de son emploi du temps, mais la valeur de tout type d’exercice est irréfutable. Les chercheurs ont pris des exemples, tels que les hommes ont souvent une capacité pulmonaire accrue, un cœur plus gros, une masse corporelle plus maigre et une plus grande proportion de fibres musculaires à contraction rapide que les femmes.

En conséquence, les femmes peuvent avoir recours à des exigences respiratoires, métaboliques et de force supplémentaires pour effectuer le même mouvement et, à leur tour, récolter de plus grandes récompenses pour leur santé.

«  Même une quantité limitée d’exercice régulier peut apporter un bénéfice majeur. Il s’avère que cela est particulièrement vrai pour les femmes  », a déclaré Cheng, un membre de l’équipe des scientifiques. Réserver du temps pour faire de l’exercice, même s’il ne s’agit que de 20 à 30 minutes d’exercice vigoureux plusieurs fois par semaine, peut offrir bien plus de gains qu’ils ne le pensent les individus qui pratiquent ces activités.

Différences entre les sexes dans l’association de l’activité physique avec la mortalité toutes causes confondues et cardiovasculaires.