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Les faussaires du dialogue en Libye mis en échec.

Les frères musulmans de Libye armés pour le terrorisme

mardi 24 février 2015, par Azouz Benhocine

Entre autres des divers échecs de solution de la crise libyenne, l’offre de dialogue entre belligérants or il n’y a qu’une partie de réfractaire. Celle qui refuse toutes concertations sans imposer son diktat de terrorisme islamiste et ayant sous son commandement les milices tribales. Elle a réussi à se faire entretenir et à obliger les libyens à subir la poursuite de la déstabilisation du pays.

Ce qui a poussé les représentants reconnus au niveau international, de se retirer des tractations entamées à l’ONU. Le Qatar, porteur d’une certaine vision du terrorisme islamiste, accueille une représentation des Talibans. Il est le seul pays sur Terre à adopter une telle démarche. C’est aussi le seul Etat à exprimer son désaveu de l’intervention égyptienne en Libyenne, après la décapitation spectaculaire des 21 coptes.

Cependant la région d’Afrique du Nord, comme l’Egypte et l’Europe, sont ouvertement citées dans les objectifs des terroristes qui ont pour sanctuaire la Libye. L’illusion d’une éventuelle solution politique n’a jamais été acceptée, par les civils miliciens qui portent illégalement des armes. Alors que la vision de retour à un fonctionnement normal de l’Etat s’était dessiné après les législatives de 2014.

Outre que ce qui est la communauté internationale prive l’armée du pays de renouveler son arsenal militaire pour préserver la sécurité intérieure. Elle prescrit cependant d’admettre les groupes coupables des troubles dans la direction des affaires libyennes. Même si des responsables expliquent et recommandent de prendre la réalité des hordes de criminels, ils ne sont pas écoutés.

Officiellement, la chambre des représentants a voté en début de la dernière semaine de février, en faveur de la suspension de sa participation dans le dialogue, a précisé Issa al-Aribi sur son mur Facebook.

Un autre parlementaire, s’exprimant sous couvert de l’anonymat, a aussi dit que la décision, de rejet de dialogue a été prise en raison des craintes que la communauté internationale exercera une pression pour inclure les islamistes dans un futur gouvernement d’union, selon l’AFP.

Les dernières attaques, sous forme de trois explosions distinctes, auraient fait au moins 45 morts et de nombreux blessés. Elles se sont produites dans la matinée du vendredi 20 février. Un kamikaze ayant fait sauter son véhicule près d’une station-service très fréquentée, tandis que deux autres faisaient exploser leurs voitures piégées près du domicile du Président du Parlement libyen, Aqila Saleh Kuweider, et l’autre près du siège des services de sécurité du Gouvernement.

Les médias d’Etat en Egypte ont rapporté que près de 15 000 des ressortissants de ce pays voisin de l’Est, ont désormais franchi la frontière de la Libye et rentrés chez eux, au lundi 23 février. Uniquement pour ce dernier jour 3018 Egyptiens ont regagné leurs, mais on ne sait pas combien sont chrétiens.

Aussi bien l’Algérie, que l’UE (Union Européenne) ou bien les Etats-Unis et même l’ONU, l’esprit conciliabule entre deux parties libyennes, ont choisi l’approximative solution politique qui n’existe pas avec les islamistes aussi bien armés que ceux dits modérés.

Les deux paries sont identifiées en tant que telles, l’une ayant eu sa légitimité par un vote et l’autre ayant choisi l’attitude d’imposer sa vision par les armes, le fiasco commence avec l’admission des hors-la-loi. Puisque la réalité offre que le refus de concertations incombe aux groupes défiant l’institution militaire du pays.

« Nous réitérons notre appel à toutes les parties prenantes libyennes à participer au dialogue politique mené par l’ONU » , a déclaré la porte-parole département d’Etat Jen Psaki. Les Etats-Unis ont demandé aux responsables de reconsidérer leur décision, avertissant des conséquences graves si les pourparlers ne sont pas mis en place.

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Voir en ligne : Notre dossier : LIBYE

   
   

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