Depuis quelques années, l’université algérienne est absente lors des événements qui décident le sort du pays.
Accueil > Mots-clés > Critique & débat > fait divers, société, fléau, délinquance, religion
fait divers, société, fléau, délinquance, religion
Articles
-
L’université algérienne et le rôle de locomotive des grands événements.
6 mai, par Moussi Nassim -
2 terroristes bien armés, éliminés en avril 2024, au centre d’Algérie.
29 avril, par Djamel Damien BoucherefL’illusion de pouvoir terminer avec le terrorisme en Algérie ressemble au songe de pour limiter la "harga" des jeunes qui quittent le pays au risque de leurs vies. La malédiction qui fait usage de la religion, un programme politique, d’ailleurs adopté par les faux nationalistes, de la prédation de rente accaparée de ses titulaires que sont les citoyens, est plus ancrée en 2024 que lors de la "décennie noire". Le déclic pour le glissement à une violence à grande échelle, est souvent dans les discours des bureaucrates qui créent la menace obscurantiste.
-
Ordre d’en haut : un journaliste refoulé au retour à son pays, l’Algérie.
16 avril, par Djamel Damien BoucherefÀ la veille d’une élection qui s’est déjà annoncée par un pseudo-avancement de son rendez-vous, cet épisode, du refoulement d’un citoyen revenant à son pays, est le dernier exemple des décisions d’une présidence algérienne aux abois. Le système politique du vaste pays d’Afrique du Nord, replonge dans sa paranoïa, alors que les vrais responsables, de ces cabales antidémocratiques, accumulent encore plus de dégâts et de bourdes inacceptables par la plus basique logique pour et de l’intérêt national !
-
Panama-Papers la lecture simplifiée aux 214 000 documents
10 mai 2016, par Djamel Damien BoucherefIl n’y a pas de crimes dans la création de sociétés offshores. De même, dans les plus de 11 millions de données qui ont divulgué 214 000 dossiers de compagnies dans le scandale Panama-Papers, il n’est guère établi que les détenteurs commettent des actes illégaux. C’est un même droit, comme les autres, d’ouvrir des entreprises tant en interne des Etats qu’à l’étranger €¦ Cependant la provenance et l’utilisation de ces gros capitaux est secrète. Parce qu’elle est généralement douteuse. Et (...)
-
MAROC : Ali Arras à l’ombre de la citoyenneté déclassée €¦
28 avril 2011, par Gros EmileAli Arrass, jugé au Maroc depuis le 29 avril 2001, est au cÅ“ur d’une affaire qui à elle seule reflète, toutes les discriminations institutionnelles dont sont victimes certains européens. Les Roms ou bien les beurs, les premiers sont européens depuis des siècles et les seconds descendants d’émigrants originaires d’origine africaine et maghrébine, sont totalement exclus des activités sociétales et moins couverts dans leurs droits...
En effet Ali Arrass est à l’image, de la situation (...) -
Espionnage de Pegasus, impunies charges du justiciable qui nuit encore.
17 janvier 2023, par Rebel KazimirDevant la Cour suprême des États-Unis la défense d’ONS, l’entreprise israélienne qui vend toujours le système d’espionnage des téléphones nommé "Pegasus" cite le droit à l’immunité souveraine. Ce qui a été rejeté, mais le problème demeure car les communications sont encore surveillées. Et le moindre des post sur les réseaux sociaux du Web est décortiqué par des cellules sécuritaires qui suggèrent la lutte contre les tendances complotistes qui s’attaquent aux institutions.
-
2è partie : essentiel de l’interview de Tebboune, point par point.
2 avril, par Djamel Damien BoucherefL’emprise de la bureaucratie des énarques en Algérie s’est érigée en héritage du pouvoir absolu des nationalistes de l’indépendance. Aussi bien les premiers mis au service des seconds n’ont pas, les deux générations, mis en érection la "nation en formation". Le pays plongé dans une malédiction maladive, que de prétentieux présidents se placent en conscience des humains, donnant aux citoyens des retards économiques, des fanatismes religieux, des psychologies collectives ringardes et criminelles... La fabrique qui a engendré Tebboune persiste dans une culture ténébreuse.
-
Deux journalistes tunisiens entre les mains des milices libyennes
30 octobre 2014, par N.E. TatemDeux journalistes tunisiens sont actuellement détenus par les milices islamo-terroristes en Libye, depuis plus de 10 semaines. Dans une certaine indifférence de leurs collègues locaux et le manque d’échange d’informations au Maghreb à leur sujet, leur sort devient inquiétant. Et avec les collusion-connivences de certains cercles arabes et des complicités ouvertes de certains régimes, partis et Etats présidés par des islamistes, avec le terrorisme, l’exigence de leur libération n’est pas (...)
-
Baisse du terrorisme, mais déplacement en Afrique et extrême-droite en occident
11 décembre 2018, par Rebel KazimirLe groupe de réflexion appelé « Institut d’économie et de paix » vient de publier, à la lumière du dernier bilan de l’action terroriste, son rapport 2018 (6ème édition) du classement des pays, au nombre de 163, du Monde. Le document dit que selon l’évolution des situations d’Irak et de Syrie, en 2017 le nombre total de décès a diminué de 27% par rapport à 2016. Respectivement, il arrondit à 5000 moins de victimes pour le 1er pays arabe du Moyen-Orient et à 1000 pour le second. C’est la (...)
-
Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien BoucherefQuelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.