L’illusion de pouvoir terminer avec le terrorisme en Algérie ressemble au songe de pour limiter la "harga" des jeunes qui quittent le pays au risque de leurs vies. La malédiction qui fait usage de la religion, un programme politique, d’ailleurs adopté par les faux nationalistes, de la prédation de rente accaparée de ses titulaires que sont les citoyens, est plus ancrée en 2024 que lors de la "décennie noire". Le déclic pour le glissement à une violence à grande échelle, est souvent dans les discours des bureaucrates qui créent la menace obscurantiste.
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fait divers, société, fléau, délinquance, religion
Articles
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2 terroristes bien armés, éliminés en avril 2024, au centre d’Algérie.
29 avril, par Djamel Damien Boucheref -
Ordre d’en haut : un journaliste refoulé au retour à son pays, l’Algérie.
16 avril, par Djamel Damien BoucherefÀ la veille d’une élection qui s’est déjà annoncée par un pseudo-avancement de son rendez-vous, cet épisode, du refoulement d’un citoyen revenant à son pays, est le dernier exemple des décisions d’une présidence algérienne aux abois. Le système politique du vaste pays d’Afrique du Nord, replonge dans sa paranoïa, alors que les vrais responsables, de ces cabales antidémocratiques, accumulent encore plus de dégâts et de bourdes inacceptables par la plus basique logique pour et de l’intérêt national !
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Les détenus d’opinion en Algérie : atteinte aux libertés & recul de démocratie.
7 avril, par populiscoopCette autre demande de libération des détenus d’opinion en Algérie est suivie de l’ouverture des espaces d’expression. Les droits sont bafoués alors que les médias induisent un travail d’une piètre qualité, offrant aux publics local et mondial des productions et contenus confus, médiocres, inintelligibles et sans moindre esthétique. Les appels de ce genre sont nombreux, pour impulser les libertés. Mais les bureaucrates qui dirigent, avec le soutien de l’armée, brandissent le prétexte de menace de déstabilisation...
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Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien BoucherefQuelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.
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MAROC : Ali Arras à l’ombre de la citoyenneté déclassée €¦
28 avril 2011, par Gros EmileAli Arrass, jugé au Maroc depuis le 29 avril 2001, est au cÅ“ur d’une affaire qui à elle seule reflète, toutes les discriminations institutionnelles dont sont victimes certains européens. Les Roms ou bien les beurs, les premiers sont européens depuis des siècles et les seconds descendants d’émigrants originaires d’origine africaine et maghrébine, sont totalement exclus des activités sociétales et moins couverts dans leurs droits...
En effet Ali Arrass est à l’image, de la situation (...) -
La guerre confessionnelle fait rage en Irak
13 juin 2014, par JacoBouleversé par un chaos sectaire, qui dépasse l’invasion des Américains d’il y a près d’une décennie, l’Irak est plongé dans une guerre civile qui met en échec l’armée du pays. Ancrée, du fait de la confrontation chiites contre sunnites, dans le sectarisme religieux, c’est la succursale locale d’Al-Qaïda qui marche pour la conquête de Baghdad la capitale.
Mossoul, une ville de deux millions d’habitants, est abandonnée par ses habitants. 500 000 ont préféré fuir avant que la tyrannie (...) -
ALGERIE : QUI SE SOUVIENT DES « MARSIENS » de 1962 ?
16 mars 2012, par N.E. TatemPour cette période, de 1954 à 62 et seulement du côté algérien, certains actes restent à élucider. Les 7 années présidées d’une mobilisation populaire, que de hauts faits d’armes jalonnent, ont sûrement aussi quelques péripéties confuses, inexplorées et stériles. Les déchirements irréversibles que toutes les guerres renferment, ont été honteusement commis et sont souvent cachés. La plus manifeste des grossièretés, pour l’Algérie, est le déferlement, COMME DES ENVAHISSEURS, des « marsiens (...)
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Viol d’une japonaise à Calcutta : l’émoi pour l’ampleur du fléau
4 janvier 2015, par Gros EmileIl y a deux années l’Inde, 2è pays du monde pour la densité de sa population, a été choqué par le viol d’une étudiante dans un bus. Ce fait a révélé qu’un vaste fléau traverse l’ensemble, ou du moins une partie non négligeable, du tissu social lié à une délinquance masculine, par le passé, masquée. Une vague d’indignation marquée des manifestations, de la société civile, est aussi incessante.
Au tollé national se jointes aussi des protestations internationales et même diplomatiques. Le (...) -
Chalghoumi vecteur de désolation pour les musulmans de France
12 mai 2016, par Hugo MastréoC’est avec un succinct message qu’une femme, apparemment musulmane d’après son acte, demande à un imam trop médiatisé en France, de cesser de ridiculiser les musulmans sur la place publique. Sa pétition créée depuis quelques semaines a atteint 38 127 signatures, sur la plateforme Change.org. Elle est adressée outre à l’intéressé, mais surtout aux médias et aux musulmans. Son texte en entier suit ci-après, il est écrit pour interpeller tous, telle une délivrance du grand silence collectif (...)
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Abou-Anas El-Libi décède à New-York
6 janvier 2015, par Azouz BenhocineAprès 15 années de traque à cause des attentats de 1998 qui ont visé les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie, Abou Anas al-Libi, a été arrêté en octobre 2013 en Libye. Il vient de décéder à l’àge de 50 ans, le vendredi 02 janvier, dans un hôpital à New-York, le « Metropolitan Correctional Center » (dépendant du ministère de la justice), alors qu’il devait passer devant un tribunal le 12 janvier prochain.
De son vrai Nazih Abdel Hamed al-Raghie, connu sous le pseudo de (...)