Nombreux Algériens et analystes percevaient une victoire partielle du départ, par démission et demande d’excuses, de Bouteflika. Le chef de l’armée, Ahmed Gaid Salah, nommé en 2004 a joué un rôle clé dans le départ du président. Il a été aussi décrié, sans clémence, par ceux mêmes qui attendaient qu’il ordonne une destitution militaire.
La succession à Bouteflika, telle que la dessine la constitution plusieurs fois piètrement piétinée, n’est pas acceptée par le mouvement social en (...)
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Déjà conspué, Bensalah président par intérim en Algérie, face-2 de la médaille
9 avril 2019, par Djamel Damien Boucheref -
Dans l’école algérienne, le théâtre et le cinéma se substituent aux matières civiques et religieuses
26 janvier 2019, par Djamel Damien BoucherefA l’occasion de la célébration de la 1ère édition de la Journée internationale de l’Education (24 janvier), instituée le 3 décembre 2018, Mme Benghabrit, ministre algérienne chargée de ce secteur, a demandé qu’on Å“uvre pour programmer des activités culturelles. L’éducation civique et religieuse qui avaient détruit l’esprit de la rigueur et de la critique, de presque 2 générations des élèves de ce pays d’Afrique du nord, sont deux matières tombées en désuétude. Après avoir été les pseudos (...)
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La caste, les fourbes et les oligarques : les 3 options présidentiables en Algérie
19 janvier 2019, par Djamel Damien BoucherefGrande lassitude des politiciens en Algérie. L’écho de la date fatidique du 18 avril, pour le vote présidentiel, est uniforme chez tous. Le régime est à bout de souffle. Alors que la médiocrité est plus vorace, avec les détrousseurs de la rente qui s’agglutinent derrière les appareils et castes ayant le monopole des centres de décision. C’est l’heure des islamistes qui ont fomenté les violences des années noires, de prétendre regagner la légitimité. Ils sont moins rassurants que les (...)
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Les drones , une nécessité sécuritaire urgente, pour l’immensité de l’Algérie
9 janvier 2019, par Azouz BenhocineLes experts croient que l’Algérie a considérablement élargi sa flotte d’engins aériens sans pilote (UAV = unmanned aerial vehicle signifiant : véhicule aérien sans humain) et tente de l’adapter ou la faire correspondre à sa propre sécurité. Elle exploite à présent plusieurs aéronefs acquis de divers horizons. Puisque la technologie est éparpillée selon des petites « Start-Ups » qui peuvent se trouver n’importe où, les fournisseurs sont petits et de partout. Des équipements viennent des (...)
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Etats-Unis et France : plus de visiteurs du sondage sur présidentielle 2019 en Algérie
3 janvier 2019, par Djamel Damien BoucherefNous sommes en 2019, année d’une élection présidentielle en Algérie. Après 20 ans de règne dont l’illégalité n’est plus à démontrer, Bouteflika s’en passe de respecter l’élite nationale. La dignité, de nombreuses composantes de la classe politique et de la société civile est abaissée, par ce qui se passe dans ce pays. Les exclusions continuent. Et le clan familial tenant la présidence, comme une proie aux griffes de prédateurs, oublie ceux qui se jettent à la mer pour fuir leur patrie. (...)
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En Algérie des pratiques nauséabondes de la justice envers les cadres dont les journalistes
27 novembre 2018, par Djamel Damien BoucherefDernièrement un prétentieux insultant la diaspora algérienne, s’est permis de distiller que cette dernière souhaite que sa patrie soit à feu et à sang. Le dernier fait dans le même sens, concerne l’arrestation de la journaliste Ager Oueslati, du "courrier de l’Atlas", un organe communautaire de France, à l’aéroport d’Alger, sans motif. Parce qu’elle est venue de l’extérieur. Ce qui reflète ce climat d’hostilité, voire de haine envers ceux qui vivent, souvent malgré eux, à l’étranger. Elle (...)
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L’aphasie de Bouteflika ne gêne pas son 5ème mandat, mais la constitution est tue !
30 octobre 2018, par Djamel Damien BoucherefDes journalistes jetés en prison en Algérie, au moment même où un blocage touche l’APN (Assemblée Populaire Nationale ou parlement). Et impossible d’établir un lien quelconque entre bien d’autres faits, que seule la circonstance temporelle regroupe. Mais la conjoncture générale est celle des préparatifs pour que Bouteflika brigue un 5ème mandat. Les opposants regardent passer le train. Ils ont exclu des émigrés et éloigné bien de farouches militants... Ce qui arrange Gaïd Salah et Saïd (...)
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Les clans se déchirent à l’assemblée algérienne où l’esprit de la voracité rentière
21 octobre 2018, par Djamel Damien BoucherefLes clans qui ont stoppé le travail de l’APN (Assemblée Populaire Nationale) en Algérie, à la veille du vote de la loi de finance 2019, cherchent à intensifier la collecte de la rente. Car originellement Bouhadja, le président est visé par une contestation des frais de ses soins à l’étranger. Et lui soulève la dévastation du parc automobile de l’instance par les élus. Les coteries initiées à la solution d’augmenter leurs numéraires à la veille du 5è mandat improbable et au temps (...)
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Pour acter son soutien au 5ème mandat en Algérie, la vindicte d’Ennahar via Alg24
9 octobre 2018, par Djamel Damien BoucherefL’Algérie livrée à une mascarade de destruction des institutions, même les plus solides, se dégradent de jour en jour. Comme ce cas qui traduit la grande descente aux enfers des appareils les plus solvables. L’ex-DRS devenue "Direction des Affaires de Sécurité" et rattachée directement à la présidence qui détient aussi le ministère de la défense, est fonctionnel dans un pays en panne, sclérosé par une cynique maladie devenue collective et incurable...
Par le passé les journalistes (...) -
Doute & affolement sur la loyauté des militaires pour le 5è mandat à Bouteflika
28 septembre 2018, par Djamel Damien BoucherefBouteflika a toujours cru que la loyauté, de l’armée et de la police, était essentielle pour maintenir son équipe corrompue au pouvoir. Depuis 2013 la fuite des fonds pris par le clan présidentiel sont apparus en Europe et même en Amérique (Canada et Etats-Unis), car des affaires comme celle de Saïdani ou Bedjaoui ont émergées. Puis 2 ans plus tard, en 2015, le général Aït-Ouarab a été arrêté et à la mi-septembre, on annonçait la retraite du général Mohammed Mediene, alias Tewfik. (...)