Cette autre demande de libération des détenus d’opinion en Algérie est suivie de l’ouverture des espaces d’expression. Les droits sont bafoués alors que les médias induisent un travail d’une piètre qualité, offrant aux publics local et mondial des productions et contenus confus, médiocres, inintelligibles et sans moindre esthétique. Les appels de ce genre sont nombreux, pour impulser les libertés. Mais les bureaucrates qui dirigent, avec le soutien de l’armée, brandissent le prétexte de menace de déstabilisation...
Accueil > Humanité > Monde, actualité internationale, politique, relations, diplomatie, (...) > Politique, France, francophonie, Algérie, Maroc, Tunisie, Afrique, monde (...) > nationale, fait politique, une et première page, médias, actualité, pays, (...)
nationale, fait politique, une et première page, médias, actualité, pays, france, afrique, maghreb
-
Les détenus d’opinion en Algérie : atteinte aux libertés & recul de démocratie.
7 avril, par populiscoop -
2è partie : essentiel de l’interview de Tebboune, point par point.
2 avril, par Djamel Damien BoucherefL’emprise de la bureaucratie des énarques en Algérie s’est érigée en héritage du pouvoir absolu des nationalistes de l’indépendance. Aussi bien les premiers mis au service des seconds n’ont pas, les deux générations, mis en érection la "nation en formation". Le pays plongé dans une malédiction maladive, que de prétentieux présidents se placent en conscience des humains, donnant aux citoyens des retards économiques, des fanatismes religieux, des psychologies collectives ringardes et criminelles... La fabrique qui a engendré Tebboune persiste dans une culture ténébreuse.
-
Tebboune interviewé sur bilan et convoitise du second mandat.
1er avril, par Djamel Damien BoucherefLa dernière interview, du président Tebboune, avec deux représentants de la presse algérienne, peut-être qualifiée, à la fois en bilan du premier mandat et de déclaration d’une éventuelle candidature aspirant à briguer une nouvelle volonté d’être au prochain scrutin. L’apparence d’un épilogue du parcours réalisé depuis 12/12/2019 s’émulsionne avec ambivalence avec un programme électoral, ce qui est le propre des indécis et des embarras que couvent les hautes sphères du pouvoir.
Seconde partie : Les sujets des clients systémiques et le mépris de la citoyenneté.
-
A Jijel en Algérie, les inondations révèlent le laisser-aller de la gouvernance.
19 mars, par Djamel Damien BoucherefLes autorités s’efforcent encore de dégager les routes bloquées et les infrastructures endommagées. Mais elles devaient aménager les voies et autres infrastructures pour qu’à l’avenir, elles restent opérationnelles et ne devaient mettre en blocage la vie et les activités de la population. Le pays a un lourd retard avec les bricolages des dirigeants qui montrent leurs travaux sans efficacité sur l’existence des citoyens.
-
Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien BoucherefQuelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.
-
7è sommet des producteurs de Gaz, excite les commandes reçues à Alger.
2 mars, par Djamel Damien BoucherefLes membres du GECF et sept autres pays qui leur sont associés au forum d’Alger, représentent 70% des réserves prouvées de gaz et 51% des exportations mondiales de gaz naturel liquéfié (GNL). Ce qui laisse une marge aux négociations sur les tarifs avec cette diversité de l’offre. Donc d’emblée, il faut reconnaitre la modestie de cette alliance. La prévision à 2050 indique que la demande devrait augmenter de 34%, la part dans le mix énergétique mondial, passerait de 23% actuellement à 26%, ce qui n’est pas sûr au regard des conquêtes scientifiques qui traquent de nouvelles sources.
-
Causes de la dérobade de l’Algérie à la CIJ avec l’Afrique du Sud.
22 février, par Djamel Damien BoucherefL’Afrique du Sud a défié les États-Unis ou les nombreux Occidentaux, en portant la question palestinienne devant la Cour internationale de Justice « CIJ ». Principalement parce que c’est un pays crédible et démocratique. Incontestablement, il est en conformité à son histoire et ses moult avancées dont les brillantes universités et sa médecine avancée, sans tenir compte de ses luttes humaines auxquelles est menée une loyauté.
-
Lors de fuite des capitaux, le prix du dinar algérien s’effondre.
17 février, par Azouz BenhocineVoici l’image réelle de ce qui passe avec la détérioration du prix du dinar en échange avec l’euro. Le taux de change officiel permettait de vendre un euro pour 145 dinars algériens, ce qui se passe chez les services bancaires. Alors que le même jour, les cambistes vendaient un euro pour près de 241 dinars sur le marché noir, soit 66 % de plus que le taux de change officiel. À ce sujet, nous vous proposons lecture de cette situation qui se répète bien souvent, avec des cycles improbables.
-
Professeur en Algérie, Mira Moknache harcelée par la justice du téléphone.
16 février, par Djamel Damien BoucherefUne nouvelle insulte politisée est en vogue en Algérie. Elle est généralement proférée, par les partisans du régime "militaro-bureaucratique", exprimée à l’égard des opposants qui ne voient pas de perspectives à leur patrie. Espèces de "normalisateur", sous-entendu avec Israël. Ou bien "vendu de soutien à Amira Bouraoui". Elle résonne comme serviteur, anciennement harki, de la "main étrangère", exprimée en traîtrise. Mais elle sert seulement aux adeptes et clients du pouvoir de Tebboune, pour accabler les citoyens qui rejettent le monopole des successeurs des nationalistes. Que sont les issus de l’ENA, chevronnés en bureaucratie et ayant déjà été larbins des corrompus faux-moudjahidine de la libération.
-
Mocro-mafia, terreur des truands du cannabis du Maroc en Europe.
14 février, par Rebel KazimirProfitant de la proximité avec l’Espagne dont la diplomatie du chantage aux migrants, les trafiquants marocains, de stupéfiants variés, disposent d’une solide infrastructure portuaire dans la monarchie dont ils sont des citoyens enrichis. Des moyens personnels, maritimes et commerciaux sont mis en action avec leur présence principalement à Malaga, Barcelone, Melilla ou Marbella ainsi qu’auprès de nombreux pays d’Europe.