Quelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.
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Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Articles
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Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien Boucheref -
Etats-Unis et France : plus de visiteurs du sondage sur présidentielle 2019 en Algérie
3 janvier 2019, par Djamel Damien BoucherefNous sommes en 2019, année d’une élection présidentielle en Algérie. Après 20 ans de règne dont l’illégalité n’est plus à démontrer, Bouteflika s’en passe de respecter l’élite nationale. La dignité, de nombreuses composantes de la classe politique et de la société civile est abaissée, par ce qui se passe dans ce pays. Les exclusions continuent. Et le clan familial tenant la présidence, comme une proie aux griffes de prédateurs, oublie ceux qui se jettent à la mer pour fuir leur patrie. (...)
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A quoi a servi la soi-disant révolution en Tunisie ?
18 août 2014Il serait long de parler des effets de « la révolution ». Etablir un bilan déterminant serait aussi une gageure. On est presque tétanisé devant la situation générale née suite à cette soi-disant « révolution ». Que ce soit sur le plan politique, social ou économique, la calamité est sans conteste indéfinissable !
- I- A discréditer les institutions.
Aussi paradoxal que cela puisse paraitre, une des fameuse réalisation de notre « révolution » c’est d’avoir jeté à tour de bras le (...) -
MAROC : Ali Arras à l’ombre de la citoyenneté déclassée €¦
28 avril 2011, par Gros EmileAli Arrass, jugé au Maroc depuis le 29 avril 2001, est au cÅ“ur d’une affaire qui à elle seule reflète, toutes les discriminations institutionnelles dont sont victimes certains européens. Les Roms ou bien les beurs, les premiers sont européens depuis des siècles et les seconds descendants d’émigrants originaires d’origine africaine et maghrébine, sont totalement exclus des activités sociétales et moins couverts dans leurs droits...
En effet Ali Arrass est à l’image, de la situation (...) -
La vague migratoire devient un prétexte pour la désuète haine qui vise l’Algérie
25 décembre 2018, par Djamel Damien BoucherefD’abord il y a la médiocrité locale qui fait qu’on lui réagisse avec dégoût. Une fastidieuse prétention qui s’attaque aux compatriotes vivants à l’étranger et n’hésite pas de castrer la moindre intelligence qu’elle ressent dénonciatrice de son état imperfectible ! Endommageant la vertu, l’humilité et même l’honnêteté, cette mesquinerie interne se complaît avec les adversités qui font du mensonge la possibilité d’une droiture. Voilà d’où démarre la conception d’une contrefaite et ridicule (...)
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Au fil de l’actualité tunisienne
6 janvier 2015Toute peine mérite d’être récompensée matériellement. Mais en politique, il n’y a pas proprement dit de peine, il y a seulement des mots, des idées, jetés pêle-mêle en vrac, pour la consommation des oisifs et des gens qui se complaisent dans le farniente. En Tunisie, depuis la soi-disant révolution, la notion de travail, ce catalyseur de richesse, semble avoir pris un autre tournant, pour s’orienter vers l’inertie et l’inanité verbale. Or, de Ghannouchi jusqu’à la fameuse Instance Vérité (...)
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ALGERIE : QUI SE SOUVIENT DES « MARSIENS » de 1962 ?
16 mars 2012, par N.E. TatemPour cette période, de 1954 à 62 et seulement du côté algérien, certains actes restent à élucider. Les 7 années présidées d’une mobilisation populaire, que de hauts faits d’armes jalonnent, ont sûrement aussi quelques péripéties confuses, inexplorées et stériles. Les déchirements irréversibles que toutes les guerres renferment, ont été honteusement commis et sont souvent cachés. La plus manifeste des grossièretés, pour l’Algérie, est le déferlement, COMME DES ENVAHISSEURS, des « marsiens (...)
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Assassinats de démocrates à l’Est du Maghreb
28 juillet 2013, par Gros EmileVertigineuse transition en Tunisie avec les prémices d’une « criminalité politique ». Non-loin, à l’ouest, aussi la composition des discours indissociables de ceux des « salafistes » capture les mosquées et les écoles. Alors les succursales des tueurs à gages gagnent des marchés. Et les transitions s’assombrissent.
Les islamistes sont en perte de crédibilité dans nombreuses contrées du Monde. En désespoir de cause, ils frappent. Boycottés par les populations, quand ils (...) -
L’AQMI revendique l’attentat du 19.04 à Iboudrarene (Kabylie)
2 mai 2014, par Djamel Damien BoucherefL’AQMI Al- Qaïda au Maghreb islamique a revendiqué, jeudi 1er mai, l’attentat fomenté en une embuscade contre une section de militaires stationnés dans un casernement de la région de Kabylie. L’acte, commis le lendemain de l’annonce de l’élection de Bouteflika en avril, a causé la mort de 11 soldats .
C’est l’une des attaques dont le chiffre officiel des victimes reste à déterminer, et ce malgré plusieurs jours de son déroulement. Le président handicapé, élu pour un un 4ème mandat à l’ (...) -
Algérie : le repenti primé à Cannes
28 mai 2012, par N.E. TatemC’est avec ces propos que le précurseur du cinéma social algérien, Merzak Allouach, a répondu au journaliste de RFI, après que son film « Le Repenti » a été disntingué au festival de Cannes 2012 : « Aujourd’hui, les cinéastes arabes ont un devoir d’engagement dans leurs films. Un cinéaste arabe ne peut pas raconter une histoire d’amour comme ils faisaient les Egyptiens dans les années 1930, en occultant la société €¦ »
Quand « Omar Gatlatou Erradjla » révéla le talent de Merzak (...)