L’illusion de pouvoir terminer avec le terrorisme en Algérie ressemble au songe de pour limiter la "harga" des jeunes qui quittent le pays au risque de leurs vies. La malédiction qui fait usage de la religion, un programme politique, d’ailleurs adopté par les faux nationalistes, de la prédation de rente accaparée de ses titulaires que sont les citoyens, est plus ancrée en 2024 que lors de la "décennie noire". Le déclic pour le glissement à une violence à grande échelle, est souvent dans les discours des bureaucrates qui créent la menace obscurantiste.
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Terrorisme , islamisme , Al-Qaeda , politique ,
Articles
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2 terroristes bien armés, éliminés en avril 2024, au centre d’Algérie.
29 avril, par Djamel Damien Boucheref -
Palestine & Israël, même dessein de solution finale : extermination.
11 avril, par Azouz BenhocineLe logiciel sioniste n’a pas tenu le 7 octobre 2023. La démonstration des islamistes palestiniens, de résistance à la colonisation, a montré la méthode pour démolir la suprématie militaire de l’État hébreu qui a pour finalité la spoliation. L’attaque-surprise, composée de plusieurs engins, n’a été qu’une démonstration pour que les prochaines frappes se déroulent entièrement et en profondeur d’Israël, mais ce qui justifie de nouvelles atrocités et génocides plus féroces.
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2è partie : essentiel de l’interview de Tebboune, point par point.
2 avril, par Djamel Damien BoucherefL’emprise de la bureaucratie des énarques en Algérie s’est érigée en héritage du pouvoir absolu des nationalistes de l’indépendance. Aussi bien les premiers mis au service des seconds n’ont pas, les deux générations, mis en érection la "nation en formation". Le pays plongé dans une malédiction maladive, que de prétentieux présidents se placent en conscience des humains, donnant aux citoyens des retards économiques, des fanatismes religieux, des psychologies collectives ringardes et criminelles... La fabrique qui a engendré Tebboune persiste dans une culture ténébreuse.
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Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien BoucherefQuelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.
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Afghanistan-OTAN : les Talibans à l’affût !
22 décembre 2013, par Rebel KazimirDans la logique des conventions actuelles entre l’Afghanistan et l’OTAN, les 80 000 hommes, dont 60 000 GI’S américains, quitteront le pays en 2014. Un pacte séparé avec les Etats-Unis est en projet obligataire, dont la négociation reste des plus secrètes et ne sera certainement pas révélée avant 2015.
TRES IMPORTANT, notre prochain sujet : Le réseau Haqqani, la succursale des Talibans qui angoisse la CIA
Le pays s’apprête ainsi de tomber, selon la facilité déconcertante qu’on (...) -
Syrie : l’émissaire d’al-Qaïda tué par ISIS
24 février 2014, par Azouz BenhocineConnu sous le nom d’Abu Khalid al-Suri, ce vétéran du Djihad en Afghanistan, comme son pseudonyme l’indique, est d’origine syrienne. Il a été envoyé au bercail qui l’a vu naître, pour arbitrer les clivages et confrontations mortelles entre Djabaht En-Nusra et ISIS, les deux groupuscules se revendiquant d’Al-Qaïda, qui combattent la dictature en Syrie et se déchirent entre eux.
Comme un éminent chef d’Al-Qaïda, Abu Khalid al-Suri est soupçonné d’avoir été très proche d’Oussama Ben (...) -
Trump & sunnites au Moyen-Orient, jusqu’où va la protection biaisée d’Israël ?
12 mars 2017, par Azouz BenhocineLe 1er ministre de l’Etat hébreu, Netanyahou a rencontré, le 9 mars 2017, le leader russe Poutine. Le lendemain, le 10 du même mois, Donald Trump invite Mahmoud Abbas à une visite. Première du genre, émise à un chef d’Etat étranger, par celui qui souffre du préjugé d’être infréquentable. A première vue, on croirait à une coordination entre Moscou et Washington, si en politique toute coïncidence ne saurait être fortuite.
L’actuel président américain qui se dit plus préoccupé des affaires (...) -
Victimes du terrorisme en Algérie, journée contre l’oubli
19 mars 2015, par N.E. TatemEn Algérie la menace terroriste, conséquemment de la légalisation de l’islam politique à la barbe de la constitution qui l’interdit, reste omniprésente. Malgré une mobilisation de la société civile républicaine et de l’institution militaire, l’affaire des crimes politiques afférents à la doctrine « djihadiste » n’est pas terminée, après un quart de siècle de résistance. Mais une période reste marquante, la tuerie sélective qui s’est attaquée à l’élite algérienne pendant les années 90, (...)
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National-Géographic censuré en Arabie-Saoudite pour une image du pape à sa "une".
14 septembre 2015, par Azouz Benhocine« Chers lecteurs en Arabie saoudite, nous vous présentons nos excuses. La distribution du magazine a été interdite pour des raisons culturelles ». C’est avec cette annonce que la responsable, Alsaad Omar al-Menhaly, du magazine mensuel américain qui paraît depuis 1888 "National Geographic" s’est adressée aux lecteurs. Ce prestigieux titre scientifique a depuis plus d’une décennie des versions dans plus de 30 langues, en français depuis 1999. C’est en Arabie-Saoudite où ce nom reconnu (...)
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Clash entre l’Egypte et la Turquie
24 novembre 2013, par Djamel Damien BoucherefLa crise diplomatique entre l’Egypte et la Turquie qui vient d’éclater au grand jour, était déjà en sourdine depuis la chute de Morsi. Peu anodine pour les chancelleries diplomatiques internationales, les deux géants de la région sont conjointement en mauvais termes avec les Etats-Unis, puisque depuis la Maison Blanche une partie non-négligeable des relations internationales se dessinent. Cette rupture définira l’avenir de l’ère nouvelle que le Printemps Arabe a mis sur orbite.
Le rôle (...)