Ecouter l’article. Le 1er amendement oblige, un musée interactif américain, consacré à l’information et au journalisme, appelé le « Newseum » a plus de 11 ans d’existence. Financé par une fondation publique consacrée à la « liberté de la presse, d’expression et de pensée », finalement, il fermera ses portes ce 31 décembre 2019. Comme si les "Fake News" ont gagné. Situé sur Pennsylvania Avenue au centre de Washington, D.C., son ambition « aider le public et les médias à se comprendre (...)
Accueil > Mots-clés > Monde, international, relations entre pays > Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Articles
-
Médias publics et alliés du régime, en Algérie, font la division du peuple.
27 décembre 2019, par Djamel Damien Boucheref -
1200 médecins quittent l’Algérie qui les a formés.
6 février 2022, par Djamel Damien BoucherefUne image reste gravée dans la mémoire de la population et du corps médical en Algérie. Au début de la pandémie du COVID-19, la machiavélique et indigne idéologie bureaucratique a offert des exemplaires de coran aux praticiens. Au lieu d’améliorer les conditions d’accueil dans les hôpitaux, ils se sont foutus de l’intelligence...
-
Algérie : Hamrouche puis Bouteflika saluent la vigilance de l’armée
18 février 2014, par Azouz BenhocineAu crépuscule du règne Bouteflika à qui l’élection présidentielle du 17 avril mettra fin, la crainte d’une succession malavisée, grandit chaque jour puisque l’Algérie ne tempère guère ses gàchis. L’atmosphère de la carence d’un remplaçant dont la visibilité peut être rassurante, 50 ans d’indépendance n’ont pas relancé, stabilisé et clarifié les programmes de gouvernance, y compris ceux qui prendront dans 2 mois la relève.
Ce climat a grandi avec l’attaque en règle du secrétaire du (...) -
L’enjeu de l’écho médiatique du Hirak en Algérie.
9 décembre 2019, par N.E. TatemEcouter l’article. Le problème de médias voyous, comme ceux qui grouillent sur le Web, est un phénomène malfaisant. Il est combattu, au même titre que les dominations qui sèment à la fois les mensonges mais aussi l’abominable cruauté. Dans cet article, j’associe le passage du Hirak (révolution citoyenne) en Algérie, par la case de la désinformation qui a pris de la hauteur. Dès lors que le rejet du vote s’est décliné sur les réseaux, les gangs au pouvoir politique ont abusé des supports (...)
-
Ali Ghediri, acerbe sur la crise politique, ne cède pas aux fossés du populisme
28 janvier 2019, par Djamel Damien BoucherefRévélé enfin aux Algériens, le général à la retraite Ali Ghediri a brisé la glace qui le faisait peu connaitre ou déformait ses traits de militaire resté inconnu parmi le personnel du sérail. Par le passé, il était sommé du silence par l’obligation de réserve, alors qu’il suivait les convulsions de son pays. Ce nouveau visage est vite devenu le candidat le plus en vue.
Une pesante médiocrité a déclassifié les partis, et les personnalités, de l’opposition devenue une myriade de (...) -
La crise s’aggrave en Algérie avec des interdictions d’activités associatives et partisanes...
28 août 2019, par Djamel Damien BoucherefL’argument des militaires algériens de se conformer à une constitution qui a été moult fois malmenée, à la guise des règnes despotiques, ne vaut rien pour l’opinion générale locale. La 1ère loi est frappée de caducité, car on ne s’y est jamais conformé à une législation héritée d’un pouvoir tombé en déchéance. Avec ses contradictions et ses normes où sont exclus, parmi les libertés de conscience, même les ressortissants vivants à l’étranger, des postes politiques, le "destour" a plusieurs (...)
-
Journaliste algérien entre fausse impartialité et approximative objectivité.
8 août 2020, par N.E. TatemAu passage à des médias exclusivement sur Internet, le journaliste algérien subit les hostilités du régime ébranlé par ses propres contradictions auxquels une partie de la corporation des médias apporte sa docilité !
-
60 ans d’indépendance en Algérie : prison pour opinion sur Internet.
3 mars 2022, par N.E. TatemLes Algériens sont traqués pour leurs expressions sur Internet, parce qu’ils contestent les dirigeants désignés par la voie des urnes, avec moins de 20% du corps électoral. Ce forcing pour le maintien des nationalistes réactionnaires au cœur de l’Etat est soutenu par le contrôle tous azimuts et sécuritaire auquel l’armée, sa gendarmerie et la police ont placé une colonne de censeurs sur les activités digitales. Répression qui ne peut s’arrêter tant que le faux Hirak continuera d’illusionner les opinions de l’espace de la liberté perdue et du droit à la parole dans le virtuel...
-
2 candidats pour la présidentielle du 4 juillet rejetée par les manifestants en Algérie
26 mai 2019, par Djamel Damien BoucherefLe 9 avril dernier, le décret convoquant le corps électoral a été promulgué, après sa signature par le chef de l’Etat, l’intérimaire Abdelkader Bensalah. Le "texte-appel" a paru le lendemain au journal officiel. Au plus tard, 45 jours après cette publication, selon l’article 140 de la loi organique qui réglemente le processus électoral, les déclarations de candidatures ont été remises au conseil constitutionnel. Deux noms ressortent au dernier pas du parcours.
La plage temps, entre (...) -
7è CONTRIBUTION : Derrière le HIRAK, la classe moyenne algérienne à l’œuvre.
21 août 2019, par N.E. TatemLe défi d’une société qui a additionné ses forces, pour lancer le soulèvement collectif, est de persuader toutes ses classes sociales pour la réalisation du consensus contre les autocrates. Elle a redécouvert la liberté d’expression, dont elle rêvait depuis longtemps. Alors les pouvoirs institutionnels comme l’armée, la justice et même les médias font des présomptions ainsi que des calculs pour s’indexer avec le mouvement social torrentiel, qu’aucune digue ne peut freiner.
Qui sont les (...)