Extrait d’un rapport des services des droits de l’homme de l’ONU : « ... Gouvernement de votre Excellence sur des informations que nous avons reçues concernant les allégations de détention arbitraire, de torture et de mauvais traitements à l’égard de M. Saeed Bakhouche, dont la libération a été autorisée et qui a été transféré du centre de détention de la station navale américaine de Guantánamo Bay vers l’Algérie, le 20 avril 2023, et le risque qu’il puisse être victime de violations de droits humains, y compris d’une disparition forcée. »
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Terrorisme , islamisme , Al-Qaeda , politique ,
Articles
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Le procès d’un revenant de Guantanmo en Algérie et l’article 87-bis.
13 mai, par Rebel Kazimir -
2 terroristes bien armés, éliminés en avril 2024, au centre d’Algérie.
29 avril, par Djamel Damien BoucherefL’illusion de pouvoir terminer avec le terrorisme en Algérie ressemble au songe de pour limiter la "harga" des jeunes qui quittent le pays au risque de leurs vies. La malédiction qui fait usage de la religion, un programme politique, d’ailleurs adopté par les faux nationalistes, de la prédation de rente accaparée de ses titulaires que sont les citoyens, est plus ancrée en 2024 que lors de la "décennie noire". Le déclic pour le glissement à une violence à grande échelle, est souvent dans les discours des bureaucrates qui créent la menace obscurantiste.
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Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien BoucherefQuelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.
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Un général en Libye face aux milices du terrorisme tribale et international.
21 avril 2019, par Azouz BenhocineC’est parce que les grands centres de la criminalité islamo-terroriste, comme l’Irak et La Syrie, ferment que la Libye risque de devenir le bastion d’où partent les frappes en Afrique et sur le Monde Arabe. L’offensive que mène l’armée conduite par le professionnel Khalifa Haftar, dans son pays, est une opportunité pour endiguer l’expansion de cette terreur invasive !
De grotesques ballets diplomatiques qui semblent s’amuser avec le thé tre libyen. Ils le forcent à jouer la scène du (...) -
"Absher", l’appli du gouvernement saoudien pour surveiller les femmes !
26 avril 2019, par Hugo MastréoQuitter son pays, pour échapper à la mort ou pour ne pas subir des persécutions, est la seule voie qui est prise par certaines personnes victimes d’atrocités. Les femmes saoudiennes s’adonnent, comme tous ceux et celles qui traversent des mers et les frontières, à quitter leur pays où l’animosité est une ligne de conduite de la monarchie qui a le pouvoir...
A Tbilissi, capitale de la Géorgie, le 25 avril dernier, deux sœurs saoudiennes, en fuite de leur pays, ont exhorté Apple et Google (...) -
2è partie : essentiel de l’interview de Tebboune, point par point.
2 avril, par Djamel Damien BoucherefL’emprise de la bureaucratie des énarques en Algérie s’est érigée en héritage du pouvoir absolu des nationalistes de l’indépendance. Aussi bien les premiers mis au service des seconds n’ont pas, les deux générations, mis en érection la "nation en formation". Le pays plongé dans une malédiction maladive, que de prétentieux présidents se placent en conscience des humains, donnant aux citoyens des retards économiques, des fanatismes religieux, des psychologies collectives ringardes et criminelles... La fabrique qui a engendré Tebboune persiste dans une culture ténébreuse.
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Pour acter son soutien au 5ème mandat en Algérie, la vindicte d’Ennahar via Alg24
9 octobre 2018, par Djamel Damien BoucherefL’Algérie livrée à une mascarade de destruction des institutions, même les plus solides, se dégradent de jour en jour. Comme ce cas qui traduit la grande descente aux enfers des appareils les plus solvables. L’ex-DRS devenue "Direction des Affaires de Sécurité" et rattachée directement à la présidence qui détient aussi le ministère de la défense, est fonctionnel dans un pays en panne, sclérosé par une cynique maladie devenue collective et incurable...
Par le passé les journalistes (...) -
Les drones , une nécessité sécuritaire urgente, pour l’immensité de l’Algérie
9 janvier 2019, par Azouz BenhocineLes experts croient que l’Algérie a considérablement élargi sa flotte d’engins aériens sans pilote (UAV = unmanned aerial vehicle signifiant : véhicule aérien sans humain) et tente de l’adapter ou la faire correspondre à sa propre sécurité. Elle exploite à présent plusieurs aéronefs acquis de divers horizons. Puisque la technologie est éparpillée selon des petites « Start-Ups » qui peuvent se trouver n’importe où, les fournisseurs sont petits et de partout. Des équipements viennent des (...)
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Palestine & Israël, même dessein de solution finale : extermination.
11 avril, par Azouz BenhocineLe logiciel sioniste n’a pas tenu le 7 octobre 2023. La démonstration des islamistes palestiniens, de résistance à la colonisation, a montré la méthode pour démolir la suprématie militaire de l’État hébreu qui a pour finalité la spoliation. L’attaque-surprise, composée de plusieurs engins, n’a été qu’une démonstration pour que les prochaines frappes se déroulent entièrement et en profondeur d’Israël, mais ce qui justifie de nouvelles atrocités et génocides plus féroces.
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La fin de l’ère Bouteflika par empêchement selon l’article constitutionnel n ° 102
26 mars 2019, par Djamel Damien BoucherefPour nous, à Populi-Scoop, qui avons mis en ligne un sondage dès l’année 2014, soit un mois après que Bouteflika a entamé son illégal 4è mandat, avec une unique question : QUI APRES BOUTEFLIKA ?. Car nous étions sûrs de la fin de cet inassouvi raïs qui s’adonne à la monopolisation du pouvoir. C’était l’échéance qu’il fallait, alors nous y sommes. Maintenant, il est destitué vulgairement, même si c’est constitutionnellement qu’il est écarté !
Bouteflika destitué par l’armée. Une surprise (...)