Elle est géniale et précieuse l’aide apportée au conseil constitutionnel algérien par la citoyenne, qui a intenté une demande de "mise sous curatelle" du malade Bouteflika. Le raïs ambitionne, qui dit-il déjà qu’il est gagnant d’avance et partira au bout d’une année, une 5ème mandature. Mais l’institution, servie par cet inattendu acte de justice, peut ne pas prendre compte, car son autonomie est de loin facultative. Ce qui se fera don au détriment de la grande mobilisation qui secoue le (...)
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La "mise sous curatelle" sert au conseil constitutionnel algérien acculé par la colère
9 mars 2019, par N.E. Tatem -
Pour la légalité et la colère en Algérie, le conseil constitutionnel et l’armée attendus !
9 mars 2019, par Djamel Damien BoucherefJamais la solvabilité, des institutions algériennes, n’a été autant été questionnée que lors de la subversion collective contre l’éventualité d’un 5ème mandat pour Bouteflika. Plusieurs fois, sinon lors de toutes les expériences de transmission de l’autorité présidentielle, dans cette jeune république, le vacillement questionne la consolidation de la nation. Les crises mettent à l’épreuve de frêles et magnanimes appareils.
Toutes les velléités qui menacent l’Algérie sont l’œuvre de ses (...) -
Pour addiction au trône, Bouteflika est devant un inexpugnable printemps algérien
27 février 2019, par Djamel Damien BoucherefEn sédition, une bonne majorité d’Algériens pensent à la situation sécuritaire. Un préalable, au temps où avec le peuple a l’envie folle de faire face aux autocrates. Ce qui nécessite la force. La paix est certainement menacée par l’escient embusqué sous le minaret où convergent les truands convertis. Les croyants utilisés au banc d’essai pour l’escalade obscurantiste, n’ont pas besoin de plus ou mieux d’organisation.
Mais si, le printemps algérien a son besoin vital d’être bien agencé. (...) -
La "Smala" de Bouteflika ébranlée par la contestation populaire du 22 février
23 février 2019, par Djamel Damien BoucherefLe conseil constitutionnel risque de rejeter la candidature de Bouteflika. En vertu de plusieurs données notamment de santé, du nombre vacations déjà effectuées à la tête du pays et des conséquences du nouveau sursaut contestataire, l’institution chargée de suivre l’opération de l’élection présidentielle peut, en invalidant le candidat sortant, adopter une "bonne conduite". Mais l’autocrate et sa "smala" se cramponnent et dédaignent la signification de ce vendredi...
Ce n’est encore pas (...) -
BEZZAF ! C’EST TROP ! Le cri des travailleurs algériens qui appellent à l’union des bases
4 janvier 2019, par Djamel Damien BoucherefIl est plus que jamais vrai, les travailleurs algériens avec lesquels il faut compter les chômeurs et les retraités, voire aussi les fellahs (travailleurs de la terre ou agriculteurs), sont sous-représentés dans le champ politique et social. Une campagne pour 2019 demande l’augmentation des salaires, la suppression des taxes et impôts sur ce seul revenu des travailleurs ainsi que pour les retraites. Elle est explicite. Le Syndicat national autonome du personnel de l’administration publique (...)
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Embarrassante révélation de Wikileaks sur la hausse de la fiscalité diesel en France
26 décembre 2018, par JacoLa baisse des cotisations patronales, comme l’ISF (impôt Sur la Fortune), ne bénéficient pas à l’emploi, c’est-à-dire qu’elle ne multiplie pas les postes de travail. Et encore moins aux salaires par l’augmentation. Ce qui échappe aux dirigeants français est de ne pouvoir pas quantifier les effets des mesures complaisantes envers les riches, aussi bien les rentiers que les entrepreneurs. Cette "impossibilité de savoir" lessive l’ambition de susciter l’investissement en donnant plus aux (...)
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Grève massive des fonctionnaires en Tunisie, les salaires puis le régime politique
22 novembre 2018, par Azouz BenhocineLes travailleurs tunisiens du secteur ont public déclenché, le 22 novembre, la plus grande grève depuis 2011. Car le taux de participation est assez élevé, suite à l’échec des négociations avec le gouvernement. Le même jour, le rassemblement prévu à 11 heures de la matinée, devant le siège de l’ARP (Assemblée des Représentants du Peuple), a commencé avec quelques 3000 personnes. En même temps, un impressionnant déploiement sécuritaire était présent sur la place du Bardo...
C’est le (...) -
Depuis 2012 le SNMG en Algérie : syndicats autonomes désarmés et UGTA au pas
19 octobre 2018, par Djamel Damien BoucherefDepuis des années que les salaires sont gelés en Algérie. Le pays continue, à coup de décrets, faisant aligner la plus basse rémunération du secteur privé à celle étatique, communément le SNMG. Même si la dernière législation du "code du travail" date de 2015, devait changer la valeur du travail, c’est depuis 2012 que les salariés n’ont pas vu de revalorisation de leurs revenus. Fixé à 18 000 DA par mois, y compris certains employés du secteur public, des corps communs, ne l’ont pas (...)
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Lourdes peines d’emprisonnement pour les contestataires d’Al-Hoceima au Maroc
29 juin 2018, par Hugo MastréoL’Association marocaine des droits de l’homme (AMDH) a qualifié le jugement de "moquerie de la justice", à propos du verdict de la cour de cassation Casablanca qui a prononcé de lourdes peines à l’égard des jeunes manifestants du Rif. La première responsable du parti socialiste unifié, de l’opposition a qualifié ce jugement de "...menace à la stabilité et la cohésion du pays". Les violations des droits, sous le règne du roi Hassan II qui a régné entre les années 1960 et les années 1990, (...)
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Les médecins résidents d’Algérie signent la plus longue grève de l’Histoire !
20 juin 2018, par Djamel Damien BoucherefSans dialogue sérieux qui implique des solutions aux crises qui opposent salariés et employeurs, le service public en Algérie est loin d’être parfait, donc peu protégé des arrêts de travail qui n’assurent pas les droits des citoyens. Le cas des médecins résidents est éloquent, sur la gestion des droits de grève et des rapports qu’ont les décideurs à l’égard des travailleurs. La santé se trouve ainsi affectée par deux épiphénomènes, la mauvaise prestation au public et la fuite des (...)