C’est avec ces propos que le précurseur du cinéma social algérien, Merzak Allouach, a répondu au journaliste de RFI, après que son film « Le Repenti » a été disntingué au festival de Cannes 2012 : « Aujourd’hui, les cinéastes arabes ont un devoir d’engagement dans leurs films. Un cinéaste arabe ne peut pas raconter une histoire d’amour comme ils faisaient les Egyptiens dans les années 1930, en occultant la société €¦ »
Quand « Omar Gatlatou Erradjla » révéla le talent de Merzak (...)
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Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Articles
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Algérie : le repenti primé à Cannes
28 mai 2012, par N.E. Tatem -
Inès Ibbou, une tenniswoman accède aux compétitions mondiales
11 avril 2015, par Djamel Damien BoucherefDepuis des années le tennis algérien n’a pas vu une telle étoile. Ce qui est marquant aussi par la surprenante montée en puissance de cette sportive, est qu’Inès Ibbou soit la plus jeune de toutes les participantes, de sa catégorie (16-18 ans), qui la dépassaient d’au moins une année d’àge.
Inès Ibbou était accompagnée par trois autres athlètes formant l’équipe nationale, Sihem Sahli, Sa dia Belhadj et Fazil Habbouche (garçons). Ils ont été tous éliminés dès le premier tour. Certains (...) -
Non-jeûneurs en Algérie : précurseurs de la liberté de croyance.
4 août 2013, par Djamel Damien BoucherefAprès le Maroc en 2011 et la Tunisie, dès les premiers jours du Ramadan, de 2013, c’est à l’Algérie qu’est arrivé le tour de faire la découverte de ses citoyens non-jeûneurs, pendant le mois dit "sacré" ! Encore une fois, l’honneur revient à la prestigieuse et pittoresque Kabylie de montrer la grande tolérance de ses fiers et dignes habitants.
En plein Ramadan en 2011 au Maroc : LE MALI, Mouvement Alternatif des Libertés Individuelles
Le message est on ne peut émettre de plus clair (...) -
L’Artiste adore la caricature dans le pays qui tord les cous pour fermer l’expression
9 novembre 2018, par Djamel Damien BoucherefLes combats contre le vide culturel en Algérie sont multiples. Dans certaines villes ou villages le contentement avec le folklore peut convenir. Mais dans des mégalopoles comme Oran, les initiatives autonomes, ou même dépendantes des collectivités locales, peuvent déranger les rouages. Quand ces derniers campent sur leurs lauriers, d’avoir osé des manifestations comme un festival consacré au malheureux cinéma arabe qui peine à produire des spectacles dignes d’être vus, il n’est guère (...)
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Algérie : mes études en aéronautique n’existent pas en langue du "Dhad"
25 février 2016, par Djamel Damien BoucherefLa prépondérance de la langue nationale officielle, l’arabe, dans le système éducatif algérien, mérite-t-elle une évaluation dénuée et libre du cadrage linguistique et religieux ? Citer la Tunisie ou bien le le Maroc, sur le point de faire le virage vers l’utilisation du "français" comme outil d’apprentissage pour les programmes qui suivent les innovations, est un arbitraire erroné dans les milieux arabophones algériens. L’ancien débat de la dualité "arabophones" et "francophones", à qui (...)
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À Aghrib des salafistes dans une mosquée en construction...
25 janvier 2017, par N.E. TatemDans une Algérie livrée à ce que les autorités désignent par la "radicalisation", dénoncer la présence des "fous d’Allah" dans un chantier d’une mosquée, vaut un interrogatoire par "Dark" (gendarmerie) et une convocation d’un juge. Citoyen épris d’être aux premières lignes des batailles collectives vécues ses dernières années en Algérie, Idir Tazrout s’est exprimé sur la présence d’intrus qu’il a vu dans un édifice inachevé de son village, Aghrib. L’emplacement n’étant pas sécurisé et le (...)
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L’Algérie face à la criminalité de l’islamisme armé.
17 novembre 2014, par N.E. Tatem1ère partie : Franchissement de l’Algérie de la décennie noire, face à la menace aux frontières,
Un budget militaire conséquent pour limiter les dérives de la famille qui recule.
2ème partie : Le rééquilibrage endogène en Algérie, s’envisage avec la menace exogène.
L’islamisme modéré géniteur des hordes barbares repousse l’échéance finale.
"Le vrai du faux", en matière de sécurité en Algérie, est collé à la propagande qui croit tout savoir sur le DRS et l’ANP (Armée Nationale (...) -
L’aphasie de Bouteflika ne gêne pas son 5ème mandat, mais la constitution est tue !
30 octobre 2018, par Djamel Damien BoucherefDes journalistes jetés en prison en Algérie, au moment même où un blocage touche l’APN (Assemblée Populaire Nationale ou parlement). Et impossible d’établir un lien quelconque entre bien d’autres faits, que seule la circonstance temporelle regroupe. Mais la conjoncture générale est celle des préparatifs pour que Bouteflika brigue un 5ème mandat. Les opposants regardent passer le train. Ils ont exclu des émigrés et éloigné bien de farouches militants... Ce qui arrange Gaïd Salah et Saïd (...)
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Une conférence sur le financement du terrorisme, quand le Daesh vend du pétrole et du blé
10 février 2015, par Djamel Damien BoucherefD’emblée il faut avouer une certaine expertise des décideurs algériens en matière d’insécurité liée au terrorisme. Au bout d’un quart de siècle de travail acharné aidé par les ressources du pays, l’Algérie continue de déraciner une violence, politiquement virulente qui a pris les armes pour imposer son projet sociétal islamiste. L’explosion du phénomène terroriste, depuis le printemps arabe conjugué à la déstabilisation de l’Irak, suite à l’invasion des USA, a pour première cause et raison (...)
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Le général Toufik, Mohamed Médiene, bat le record mondial de longévité au poste de chef de services secrets.
13 décembre 2010, par Azouz BenhocineIl bat les records de Félix Dzerjinski, le fondateur de la Tchéka et précurseur du KGB, de l’Union soviétique, qu’il a dirigé pendant neuf ans (1917-1926). Et son adjoint Lavrenti Beria, chef du NKVD (Commissariat du peuple aux Affaires intérieures), qui est resté pendant 15 années (1938-1953). Avec Hitler, le chef de la police Heinrick Himmler qui s’est suicidé après 11 ans (1934-1945). Et enfin le général Hendrik van den Bergh à la tête du Bureau de la sûreté de l’Etat (BOSS) du régime (...)