Un post du Internet qui est scruté par un lourd appareil de vérification, de surveillance et de répression sous le commandement des militaires, peut coûter des mois de prison qui seront clôturé l’innocence du citoyen justiciable. Telle est la "nouvelle Algérie" que galvaudent les médias publics qui sont fuis par un respectable audimat. Mais entretiennent et supportent le discours de l’élimination des organes et supports libres, ce qui leur sert de propice nettoyage des concurrents gênants.
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Brutalité de la "Nouvelle Algérie" & du despotisme d’Al-Mouradiya.
28 décembre 2022, par Djamel Damien Boucheref -
Pour corruption de SONATRACH, en Algérie, des amendes aux USA.
22 décembre 2022, par Djamel Damien BoucherefAprès Bouteflika, les clans qui s’accaparent le pouvoir en Algérie ont repris de plus belle les déchirements en règlement de comptes. Les uns traduisent les autres en justice, sur fond de corruption endémique où le contrôle populaire est absent et l’incompétence endigue la transparence institutionnelle.
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Quel coefficient de l’Algérie dans l’équation des BRICS ?
11 décembre 2022, par Djamel Damien BoucherefDébut novembre, l’Algérie a officiellement candidaté pour rejoindre les BRICS, par la voix même du président. La chargée, au ministère des Affaires étrangères, du partenariat international, Leila Zerouki en a fait un projet majeur, l’attribuant au chef de l’Etat. Mais dans la volatilité des compétences, le wali (préfet) d’Alger, manipulant actuellement le léger dossier de la formalité du jumelage de la capitale avec Moscou, s’en empare de donner le ton sur les éventuelles exigences juridiques que le pays doit instaurer, pour faire partie du consortium des nations ayant leurs initiales au fronton et en acronyme du groupe.
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En Algérie, la doctrine de défense double son budget pour 2023.
29 novembre 2022, par Djamel Damien BoucherefDéployer la répression avec la « justice du téléphone » contre les opposants et les voix qui contribuent à la correction des erreurs, est un grave divorce dans ce qui est le "pacte social" qui aidait la discipline utile à la bonne gouvernance en Algérie. Le projet d’édifier un Etat-nation moderne, prospère et égalitaire qui a été amorcé après l’indépendance en 1962, n’est plus visible aux jeunes. Et au commun des administrés, le budget de gestion des revenus de la rente pétrolière est incontrôlable quand la corruption des élites est omniprésente avec les nombreuses incarcérations.
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Paradoxe en Algérie qui interdit l’importation des véhicules diesel.
24 novembre 2022, par Djamel Damien BoucherefDernièrement l’Algérie s’est retrouvée en pénurie de véhicules de tous genres, mais ce sont les voitures dites touristiques qui ont été ressenties plus manquantes sur le marché. Cette carence de rareté a fait grimper les prix. Mais la corruption est passé par là. Un certain nombre d’éminents propriétaires d’entreprises de montage mécanique, tous accusés de fraude et de blanchiment d’argent ainsi que d’activité dans de criardes complaisances.
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Saddek Hadjeres : l’engagement pour une Algérie moderne et juste.
16 novembre 2022, par N.E. TatemLa formulation dite la "nature du pouvoir" qu’émettaient les communistes algériens depuis des lustres, proclamait une analyse éclairante et rarement démentie, à chaque fois que leur pays, dans les fracas et les soubresauts, changeait de chef d’Etat. Un scénario qui n’arrive pas encore à la « happy end », dont aspirent les citoyens pour la sécularisation. Ce qui persiste dans la houle de sa jeune Histoire de nation en constitution, l’Algérie est encore dans le tumulte révolutionnaire quêtant modernité et ancrage dans l’universalité.
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Piteuse contrevérité sur les exactions d’opposants & journalistes en Algérie.
11 novembre 2022, par Djamel Damien BoucherefLe ministre de la Justice a déclaré que « ... l’objectif de l’acte terroriste est peint en 3 résolutions du Conseil de sécurité, numérotées 1566, 1717 et 2366. Ces normes ont considéré l’acte de terrorisme ne peut être justifié que par des considérations politiques, raciales, ethniques, religieuses ou de toute autre nature. Ce qui revient à laisser la liberté de jugement aux États en ce qui relève du concept de terrorisme... » D’où l’aveu d’affabulation d’un régime aux abois pour son illégitimité militarisée !
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Fin de Caritas-Algérie : la haine fait erreur avec l’ONG au même acronyme.
2 octobre 2022, par Djamel Damien BoucherefRares sont les éléments de la prétendue société civile tenteront de lever la voix en cette douloureuse circonstance. Du fait du recul de la démocratie en général et spécifiquement de la liberté de l’expression, la décision de mettre fin aux activités d’une ONG qui a vu l’Algérie obtenir sa souveraineté et a aidé aux heures de grandes difficultés, à l’orée de l’accès à l’autonomie du colonialisme, est un acte d’une autocratie qui se renferme davantage sur ses macabres desseins de raffermir le front intérieur !
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En Algérie, les étudiants privés de lancer startups et de brevets d’invention.
28 septembre 2022, par Djamel Damien BoucherefLe diplôme "startup" est préconisé dans la prochaine panoplie des certificats des études supérieures en Algérie. Mais empêcher la création d’entreprise basée sur les nouvelles technologies est plus que douteux, sous le pouvoir bricoleur et de mauvais aloi. Une telle décision laisse sur leur faim les ambitions juvéniles et les programmeurs avides de se lancer...
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Désolation culturelle du management calamiteux des arts en Algérie.
18 septembre 2022, par Djamel Damien BoucherefVainement, à Alger "l’économie culturelle" est galvaudée pour encourager l’entreprise, mais la chasse mortelle des artistes ne s’estompe pas. Telle une résistance à la morosité ambiante, les artistes berbères associent qualité et persévérance dans leur travail. Ils ne sont pas les seuls à, finalement, s’exiler pour échapper à la morosité de la gestion motivée de surveillance des sujets abordés, de mise au point de contraintes aux groupes et de d’établissement de mesures de censures...