Pour contrecarrer les américains, l’aile nationaliste, soit tout le parti baath en Irak, a rallié l’ÉI (Etat Islamique) plus connu avec l’acronyme Daesh. Ce n’est pas le cas du chiite Bashar, même si le baath de Damas pouvait suivre l’argument qui fonctionne en Syrie. Alors que l’organisation d’Al-Baghdadi frappait sans distinction cette communauté.
Pour le régime syrien, l cher les islamistes détruirait inéluctablement la revendication démocratique, même si la conséquence est le (...)
Accueil > Mots-clés > Monde, international, relations entre pays > Syrie, opposition, Turquie, Qatar, armée, Alep, Damas, Bashar Al-Assad, Liban
Syrie, opposition, Turquie, Qatar, armée, Alep, Damas, Bashar Al-Assad, Liban
Articles
-
Syrie, une guerre civile où les protagonistes sont à l’image du despote ou du terrorisme
21 septembre 2017, par Azouz Benhocine -
Riposte des Etats-Unis pour attaques de leurs bases, l’Iran accusé.
6 février, par Hugo MastréoPour les États-Unis, une présence au Moyen-Orient sert à la protection hégémonique et armée des alliés, dont principalement Israël, y compris quand ils sont fautifs, violents et spoliateurs. Ils font du déséquilibre pour pays amis et contre ennemis. La réponse ferme à l’Iran, tout en maintenant les canaux ouverts pour d’éventuels engagements diplomatiques, est inutile. Le contexte des tensions géopolitiques régionales pèse depuis décennies sur le bien-vivre des populations.
-
En Syrie les djihadistes étrangers : 5000 en 2014 sont plus de 20 000 en 2015
29 avril 2015, par Hugo MastréoLe pouvoir de Bashar El-Assad pourtant donné renforcé, suite au revirement de certains politiciens occidentaux il y a quelques semaines, semble être maintenant menacé comme jamais il ne l’a été depuis 2011. Il est actuellement exposé à un rapprochement des terroristes de la capitale, après plusieurs victoires sur le terrain. Malgré que ces dernières ne sonnent pas encore le glas du régime, l’inquiétude grandit concernant l’incertitude qui viendrait après sa chute qui est historiquement (...)
-
La "division 30" formée par les Etats-Unis en Syrie kidnappée par Enusra
1er août 2015, par Azouz BenhocineLe programme de la formation militaire, des rebelles syriens, qui devait commençait en fin 2011 en Jordanie et en Turquie, s’était fixé 5000 hommes uniquement pour la 1ère année de révolte, avec possibilité de le continuer au-delà. Finalement après 4 années, ils ne sont que quelques dizaines, puisqu’il était impossible aux Etats-Unis, aux pays occidentaux et arabes qui l’ont créé, de savoir si les personnes recrutées allient le terrorisme, voire même à l’époque Al-Qaïda. Puis le Daesh est (...)
-
Le recul d’#ISIS ne décourage pas les recrues : le flux "jihadiste" continue
11 janvier 2016, par Rebel KazimirLes nouveaux chiffres tombés dès la première semaine de 2015, résultats de suivis permanents de plusieurs experts pointilleux, attestent que les effectifs des hordes criminelles du Daesh en Syrie et en en Irak ne tarissent pas. Malgré les frappes et les bilans ponctuels que présentent souvent le Pentagone et l’armée irakienne, en énumérant nominativement les éliminations des chefs, les enrôlements restent dans leur rythme croissant avec une intensification en direction des filles qui (...)
-
Les sectarismes au fort des révoltes perverties
20 juin 2013, par Rebel KazimirLes projets sociétaux du monde musulman sont multiples, mais du fait de la prépondérance de la religion dans la vie des personnes, la politisation de l’islam se généralise. Les forces rigoristes quant à l’application de tous les préceptes, dont le modèle économique, social, politique et culturel de la charia, détiennent seules l’opinion dite « islamisme ». Un sectarisme en clash avec les autres religions et intérieurement habité d’un ordre sectaire fractionné en plusieurs segments, où (...)