Une faramineuse mosquée pour on sait quel prestige, car celui de l’Algérie est usurpé et celui de l’islam est désintégré. Puis 4 mandats que la soif du pouvoir justifie à celui qui a finalement brisé la démocratie et ouvert la porte aux associés des « kleptocrates ».
Le président Bouteflika a fait l’exception, de 4 mandats, alors qu’il avait hérité d’une constitution autorisant 2. L’armée ne peut rien contre le rusé et redoutable diplomate qui a lui-même promulgué le bi-présidentiable, (...)
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Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Articles
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Le divorce de la société civile et des institutions, en Algérie, arrange les aventuriers...
17 septembre 2017, par Djamel Damien Boucheref -
Bouteflika attendu pour les maladies du régime
15 mai 2013, par Azouz BenhocineQuand se réveilla, en 2011, un vent de révolte dans le monde arabe pour chasser les despotes des républiques, Bouteflika est sorti de la profonde léthargie où il s’est muré après avoir usurpé une 3ème mandature de la constitution qui ne l’autorisait qu’à deux cycles.
Notre article d’analyse de la sortie de Bouteflika après le déclenchement du Printemps Arabe
Il avait alors promis de profondes réformes, dont la priorité, annoncée pour 2012, l’adoption de la nouvelle Constitution qui (...) -
Ghardaïa, quand la territorialité est méprisée par les présidentiables !
22 janvier 2014, par Djamel Damien BoucherefUn acharnement sectaire fomente les troubles à Ghardaïa. Ce qui n’a pas d’égal, à l’heure où le contexte régional arabo-musulman, l’Algérie vit ses pires instants de violence. Même localisés, ces affrontements entre habitants d’une même ville, sont l’image de l’effondrement de l’autorité de l’Etat algérien. Que le manquement des responsables du pays (sinon à quelle autorité s’adresser ?) inexplicable, laisse dire à des citoyens qu’ils sont persécutés par les tenants de l’arabité ou bien (...)
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Algérie : une dame de fer à l’épreuve de la désolation scolaire
26 août 2015, par Djamel Damien BoucherefLe clivage entre arabophones et francophones en Algérie est vécu comme une honte qui peut intenter à l’unité nationale. Mais deux Mondes techniquement et usuellement distingués se définissent, ils existent et se chamaillent. Le retour du débat de l’importance de la langue populaire, la « Derja », dans les mÅ“urs officielles, rappelle la question de tamazyght (la langue berbère) et toute équivalence n’est pas fortuite, la question nationale est appréhendée sur son exclusivité arabe ? (...)
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L’Artiste adore la caricature dans le pays qui tord les cous pour fermer l’expression
9 novembre 2018, par Djamel Damien BoucherefLes combats contre le vide culturel en Algérie sont multiples. Dans certaines villes ou villages le contentement avec le folklore peut convenir. Mais dans des mégalopoles comme Oran, les initiatives autonomes, ou même dépendantes des collectivités locales, peuvent déranger les rouages. Quand ces derniers campent sur leurs lauriers, d’avoir osé des manifestations comme un festival consacré au malheureux cinéma arabe qui peine à produire des spectacles dignes d’être vus, il n’est guère (...)
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L’analyse positive du terrorisme en Algérie est abordée.
11 juillet 2016, par Djamel Damien BoucherefLes efforts de lutte contre le terrorisme en Algérie se concentrent à la surveillance des frontières, notamment au sud du pays. Deux opérations marquantes au nord, pendant le mois de juin 2016, ont permis l’élimination d’importants groupes à Médéa et Sétif. Composés principalement d’anciens éléments qui activaient bien avant l’an 2000, ces deux hordes semblent être parmi les dernières factions terroristes opérationnelles au nord. Parmi les hommes de celle du centre figuraient les (...)
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La gauche en France frappe de rejet une motion annulant un accord avec l’Algérie.
9 décembre 2023, par JacoRésolument anti-immigration, les Républicains qui héritent d’une droite moins encline au nationalisme xénophobe, accusent le président Emmanuel Macron d’être trop laxiste en matière d’accueil de l’immigration. Or les besoins de main d’œuvre de nombreux secteurs endiguent certains équilibres. L’actuel président de France bute au cas spécifique du pouvoir à Alger. Les autocrates qu’il a qualifiés de "rentiers mémoriels", se sont mis à dos bien des nations ainsi qu’une majorité de leur population consciente de la prédation de la manne pétrolière. Des castes de bureaucrates, militaires et militaires qui se livrent à une vendetta avec une "justice du téléphone".
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Présidentielle 2019 en Algérie, enquête d’opinion sur un casse-tête Algérien !
9 juin 2018, par Djamel Damien BoucherefAlors qu’il avait hérité d’une constitution autorisant 2 mandats, le président Bouteflika a fait 4 mandats. Ses soutiens lui souhaitent un 5ème, alors que cela fait 7 années qu’il n’a pas parlé directement au peuple qu’il gouverne d’une manière psychédélique. Il a lui-même promulgué lors des derniers amendements de la première loi, le retour à l’ancienne formule qu’il a hérité de Liamine Zeroual à 2 vacations pour le raïs. Ce n’est pas la première fois que l’Algérie est face à l’imprévu et (...)
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Bouteflika finira-t-il comme Bourguiba ?
10 avril 2014Bouteflika laisse croire qu’il n’est pas gravement malade, mais l’homme a trop duré à la tête de l’Algérie. Il a bien mordu à la pomme sacrée et jusqu’à satiété. Donc il est temps pour lui de débarquer paisiblement de la scène politique pour se calfeutrer chez lui, dans une paisible retraite ! D’autres algériens peuvent prendre la relève en toute aisance et douceur !
Tous nos articles concernant le président Algérien Abdelaziz Bouteflika
Finira-t-il comme Bourguiba ? Avec une éviction (...) -
Nouvelle mosquée à Alger, un chaos déclaré à un milliard d’ ‚¬ mais bien plus onéreux.
16 mars 2010, par Azouz BenhocineS’il y a une affaire en Algérie qui crée une atmosphère aussi bien morne qu’incompréhensible, et met en embarras la population voyant obstruction de son meilleur avenir, c’est bien celle de la prestigieuse mosquée que projette, l’homme reliquat du FLN dirigiste, le président Bouteflika.
Le climat de défiance, à l’égard de cette dilapidation outrancière du denier public, est cloîtré et sans paroles. Il est dû au peu de ripostes, contrairement à l’idée que des opposants, à la mosquée du (...)