Extrait d’un rapport des services des droits de l’homme de l’ONU : « ... Gouvernement de votre Excellence sur des informations que nous avons reçues concernant les allégations de détention arbitraire, de torture et de mauvais traitements à l’égard de M. Saeed Bakhouche, dont la libération a été autorisée et qui a été transféré du centre de détention de la station navale américaine de Guantánamo Bay vers l’Algérie, le 20 avril 2023, et le risque qu’il puisse être victime de violations de droits humains, y compris d’une disparition forcée. »
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Terrorisme , islamisme , Al-Qaeda , politique ,
Articles
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Le procès d’un revenant de Guantanmo en Algérie et l’article 87-bis.
13 mai, par Rebel Kazimir -
2 terroristes bien armés, éliminés en avril 2024, au centre d’Algérie.
29 avril, par Djamel Damien BoucherefL’illusion de pouvoir terminer avec le terrorisme en Algérie ressemble au songe de pour limiter la "harga" des jeunes qui quittent le pays au risque de leurs vies. La malédiction qui fait usage de la religion, un programme politique, d’ailleurs adopté par les faux nationalistes, de la prédation de rente accaparée de ses titulaires que sont les citoyens, est plus ancrée en 2024 que lors de la "décennie noire". Le déclic pour le glissement à une violence à grande échelle, est souvent dans les discours des bureaucrates qui créent la menace obscurantiste.
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Un rapport de plusieurs ONG adressé à l’ONU sur la liberté d’expression en Turquie
5 août 2019, par Azouz BenhocineLes islamistes, comme tous autres embarrassés de vérités, ont une maladive allergie aux journalistes qui s’emballent à rapporter les affres que de tels gouvernants infligent à leurs administrés. Le cas de la Turquie dépasse tout entendement. Avec environ 200 000 personnes privées de leur gagne-pain, après le coup d’état raté de 2016, les journalistes en pàtissent davantage de la nébuleuse autocratie.
Comment donc nourrir une famille dans un régime qui réprime cyniquement ses opposants, (...) -
Lettre d’Hervé Gourdel aux algériens
26 septembre 2014, par Moussi NassimNotre dernier sujet sur l’Assassinat d’Hervé Gourdel
Nos derniers sujets : LE SPECTRE REVENANT DU TERRORISME EN ALGERIE Un gros poisson du terrorisme algérien arrêté au Mali - 14 septembre 2014 AQMI d’Algérie et AQPA du Yémen rejoignent le DAESH. - 16 septembre 2014 Nouvelle organisation terroriste, au centre d’Algérie, affiliée au Daesh - 18 septembre 2014 Impressionnantes munitions sur 2 terroristes abattus à Jijel, 22 septembre 2014
Qui dira un jour, d’aventure,
Les noirs (...) -
2è partie : essentiel de l’interview de Tebboune, point par point.
2 avril, par Djamel Damien BoucherefL’emprise de la bureaucratie des énarques en Algérie s’est érigée en héritage du pouvoir absolu des nationalistes de l’indépendance. Aussi bien les premiers mis au service des seconds n’ont pas, les deux générations, mis en érection la "nation en formation". Le pays plongé dans une malédiction maladive, que de prétentieux présidents se placent en conscience des humains, donnant aux citoyens des retards économiques, des fanatismes religieux, des psychologies collectives ringardes et criminelles... La fabrique qui a engendré Tebboune persiste dans une culture ténébreuse.
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Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien BoucherefQuelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.
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La fin de l’ère Bouteflika par empêchement selon l’article constitutionnel n ° 102
26 mars 2019, par Djamel Damien BoucherefPour nous, à Populi-Scoop, qui avons mis en ligne un sondage dès l’année 2014, soit un mois après que Bouteflika a entamé son illégal 4è mandat, avec une unique question : QUI APRES BOUTEFLIKA ?. Car nous étions sûrs de la fin de cet inassouvi raïs qui s’adonne à la monopolisation du pouvoir. C’était l’échéance qu’il fallait, alors nous y sommes. Maintenant, il est destitué vulgairement, même si c’est constitutionnellement qu’il est écarté !
Bouteflika destitué par l’armée. Une surprise (...) -
Un général en Libye face aux milices du terrorisme tribale et international.
21 avril 2019, par Azouz BenhocineC’est parce que les grands centres de la criminalité islamo-terroriste, comme l’Irak et La Syrie, ferment que la Libye risque de devenir le bastion d’où partent les frappes en Afrique et sur le Monde Arabe. L’offensive que mène l’armée conduite par le professionnel Khalifa Haftar, dans son pays, est une opportunité pour endiguer l’expansion de cette terreur invasive !
De grotesques ballets diplomatiques qui semblent s’amuser avec le thé tre libyen. Ils le forcent à jouer la scène du (...) -
Pour les terroristes les élites, comme Mina Mangal journaliste Afghane, sont à éliminer
14 mai 2019, par Azouz BenhocineElle est la dernière des 18 journalistes tués en Afghanistan au cours des 16 derniers mois. C’est principalement en étant femme que Mina Mangal a été assassinée. Elle militait pour la gente féminine qui est visée dans son ensemble, par l’interprétation des dogmes d’une religion qui porte de telles mesures et qui font que les exactions deviennent facilitées.
Les islamo-terroristes ont rarement des femmes à les commander. Quelques jours avant cet horrible acte, cinq personnes ont été (...) -
Algérie : Azeffoun à la pointe de la résistance au terrorisme
12 août 2013, par Djamel Damien BoucherefLa concentration de l’islamo-terrorisme en Algérie a deux points, ou bien deux zones, de persistance : le sud et le centre au nord du pays. La riposte collective, comme de gigantesques manifestations mobilisant un maximum de citoyens, tarde à mobiliser les foules. Actuellement, même si par le passé le rejet de cette violence s’est déjà exprimée, des algériens s’organisent malgré les complicités avec cette crminalité et la passivité des institutions dont l’agence de presse étatique l’APS. (...)