Amar Saàdani, profil conventionnel du gotha des détrousseurs et médiocres qui font des biens publics et de l’économie algérienne un butin qui leur est promis, est passé par la présidence de l’assemblée nationale, avant de prendre en main le destin du parti FLN. Parvenu des bas grades aux hautes hiérarchies, il rebondit dans la diplomatie avec sa loyauté à Bouteflika. De la direction d’un appareil à gagner les élections, auquel le clan présidentiel enjoint un contrôle absolu, il continua (...)
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Articles
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Le Cartel du FLN dirigiste met au placard Saàdani...
30 octobre 2016, par Djamel Damien Boucheref -
Rebrab de Cevital en Algérie, traqué à mort par les prédateurs de l’économie
29 septembre 2015, par Djamel Damien BoucherefLe ministre algérien de l’Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb s’en prend au premier entrepreneur du pays, voilà une image terne d’un décideur au zèle débordant. Avec un pouvoir à la légitimité mise au doute, cette pollution de la gouvernance qui tient ce pays avide de croissance ou d’émergence économique dément le slogan "l’industrialisation de l’Algérie". La démagogie, maintes fois ressassée, est spécialement commise par toujours les prédateurs de l’économie d’une nation qui (...)
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L’info au temps du COVID-19 : du local au réseau social.
27 mai 2020, par Gros EmileEcouter l’article. Au début il y avait le graffiti. Une expression murale et urbaine qui est acceptée en art pictural. Telles les vestiges rupestres de l’homme des époques des cavernes. Le mur de facebook, avec plus de 2 milliards d’utilisateurs, est le défouloir de la culture populaire post-moderne. L’année 2020, on recherche le 1er patient qui a subi le COVID-19 et qui s’est peut-être filmé pour annoncer une nouvelle ère.
Il est indéniable qu’existent moult stratégies pour endiguer (...) -
Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien BoucherefQuelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.
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L’AKP peine à former un gouvernement, la Turquie à la croisée des chemins
16 juillet 2015, par Rebel KazimirL’AKP qui gouverne la Turquie ne trouve pas d’alliés pour former son gouvernement. À l’issue des élections du 7 juin, le parti islamiste n’est plus majoritaire à 50%+1 au parlement. Malgré qu’il demeure encore la 1ère organisation politique à engranger le plus de voix et de sièges, le nombre de parlementaires actuels ne l’autorise pas de disposer d’un gouvernement qui ne soit pas bloqué par l’Assemblée.
Notre dernier article, 9 juin 2015 :
– La défaite de l’AKP en Turquie : une (...) -
Algérie : présidentielles 2014 en trompe-l’Å“il
12 novembre 2013, par Azouz BenhocineVolé au peuple algérien, le sigle « FLN » fut l’appareil de surveillance idéologique mise en branle contre le peuple après l’indépendance. Les « kasmates » aiguillonnaient les services de sécurité. Mais c’est encore une grosse machine à gagner les élections. Elle aurait des bataillons de militants, motivés d’opportunisme en s’alignant derrière les filières abreuvées de la rente nationale.
Selon une dépêche de l’APS du 9 novembre 2013, le parti FLN, rajoutant une usurpation, a demandé (...) -
L’Algérie se prépare-t-elle au chaos ?
11 mars 2014, par Djamel Damien BoucherefDevenant pays précurseur de démocratie, dès octobre 1988, dans les républiques arabes qui n’atteignent ce stade qu’en 2011. L’Algérie a découvert le paradigme des libertés et de l’égalité, il y un quart de siècle déjà. Mais elle est confrontée, en 2014 encore et toujours, au paternalisme que prolonge un vestige de la diplomatie. Le monument qu’est Bouteflika, a une image de proue au sein de la majorité du peuple. Mais il est visiblement mal-portant !
Nos derniers articles sur la (...) -
Perspective infranchissable pour les libertés en Syrie.
24 mai 2014Qui eût pu prédire- il y a quelques années à peine €“que la Syrie,d’un pays en voie de développement,un peuple vivant en paix,heureux de son sort,serait devenue aujourd’hui un amas de ruines et de décombres et son peuple -en partie massacré-livré à l’errance et à la mendicité €¦ pendant que les artisans de cette calamité se déchainaient impitoyablement les uns contre les autres sans aucune trêve à l’horizon €¦
Tous nos articles sur la crise et la guerre civile en Syrie. (...) -
Cocasse crise à l’assemblée algérienne, les rentiers et la cotation au 5ème règne...
8 octobre 2018, par Djamel Damien BoucherefAucune communication crédible pour la crise parlementaire, qui a commencé dès septembre et termine la 1ère semaine d’octobre 2018, en Algérie. Le président de l’assemblée contesté, sans que vraiment s’explique le bras de fer. Renverser les tables, les chefs de groupes reprochent au président de l’ANP d’avoir congédié le comptable ordonnateur de frais sur le budget de l’appareil... Personne n’a les noms des députés qui se révoltent contre le président, l’affaire est tellement louche que (...)
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Algérie, « Barakat » au vice détraquant la démocratie
7 mars 2014, par Djamel Damien BoucherefAu pourrissement généré par l’ambition démesurée de Boutaflika malade et d’un àge avancé, se rajoute une classe politique ruinée et inaudible. L’Algérie reproduit ses crises qui surviennent aux moments des transitions au sommet de l’Etat. Alors l’expression populaire circule, angoissée des déchirements, et démuselée. Elle crie : BARAKAT !
La pétition anti-4ème Mandat à BOUTEFLIKA
Si le boycott est aussi une formalité navrante dans detelles circonstances, « Barakat » cherche à sortir (...)