L’illusion de pouvoir terminer avec le terrorisme en Algérie ressemble au songe de pour limiter la "harga" des jeunes qui quittent le pays au risque de leurs vies. La malédiction qui fait usage de la religion, un programme politique, d’ailleurs adopté par les faux nationalistes, de la prédation de rente accaparée de ses titulaires que sont les citoyens, est plus ancrée en 2024 que lors de la "décennie noire". Le déclic pour le glissement à une violence à grande échelle, est souvent dans les discours des bureaucrates qui créent la menace obscurantiste.
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Terrorisme , islamisme , Al-Qaeda , politique ,
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2 terroristes bien armés, éliminés en avril 2024, au centre d’Algérie.
29 avril, par Djamel Damien Boucheref -
Profusion de carnages et de terreur en Syrie
9 mai 2014, par Azouz BenhocineLa victoire de Bashar Al-Assad n’est pas encore acquise, mais elle se dessine dans un bain de sang. Le despote espère désormais préserver l’héritage dynastique du pouvoir qu’il a acquis lors de l’année 2000 et reconduit en 2007. Après 43 ans de règne, il lui est contesté par des opposants farouches. Et au prix d’une affreuse barbarie régime et opposants utilisent les pires méthodes dans leur confrontation.
Le dictateur compte se reconduire à la tête de son pays avec une prochaine (...) -
Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien BoucherefQuelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.
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Des clochards, des opportunistes et un général de l’armée aspirent à présider l’Algérie
24 janvier 2019, par Djamel Damien BoucherefNous étions quelques 100 000 Algériens à avoir demandé à l’armée de faire cesser la mascarade électorale de 1990/91. Pratiquement les mêmes, nous avons sollicité les mêmes guerriers à retirer à Ali Kafi la présidence pour remettre en route les voies démocratiques des votes. Sans être supplié, surgit de la platitude un officier des casernements comme ne les aiment, surtout, pas les islamistes. Accueilli promptement par un plébiscite populaire, Ali Ghediri régénère un scénario connu à l’orée (...)
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ALGERIE : QUI SE SOUVIENT DES « MARSIENS » de 1962 ?
16 mars 2012, par N.E. TatemPour cette période, de 1954 à 62 et seulement du côté algérien, certains actes restent à élucider. Les 7 années présidées d’une mobilisation populaire, que de hauts faits d’armes jalonnent, ont sûrement aussi quelques péripéties confuses, inexplorées et stériles. Les déchirements irréversibles que toutes les guerres renferment, ont été honteusement commis et sont souvent cachés. La plus manifeste des grossièretés, pour l’Algérie, est le déferlement, COMME DES ENVAHISSEURS, des « marsiens (...)
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Pour les terroristes les élites, comme Mina Mangal journaliste Afghane, sont à éliminer
14 mai 2019, par Azouz BenhocineElle est la dernière des 18 journalistes tués en Afghanistan au cours des 16 derniers mois. C’est principalement en étant femme que Mina Mangal a été assassinée. Elle militait pour la gente féminine qui est visée dans son ensemble, par l’interprétation des dogmes d’une religion qui porte de telles mesures et qui font que les exactions deviennent facilitées.
Les islamo-terroristes ont rarement des femmes à les commander. Quelques jours avant cet horrible acte, cinq personnes ont été (...) -
Le plus grand tapis persan au Monde pour la mosquée d’Alger
15 septembre 2015, par Djamel Damien BoucherefLe plus grand tapis couvrant le sol d’une mosquée dans le monde a également été fait en Iran. Actuellement celui qui couvre une esplanade de 5700 mètres carrés dans la mosquée à Abu Dhabi, est le seul à détenir de telles dimensions inégalées. Selon l’agence iranienne d’informations "IRNA", celui qui aura plus de 10.000 mètres carrés, sera confectionné pour la Grande Mosquée en construction à Alger. Et il bàtera donc le record retenu par le "Guiness" de 2012.
Le chaos déclaré au coût (...) -
Egypte : Jusqu’au jour où Morsi et Moubarek sont jugés !
26 août 2013, par Djamel Damien BoucherefLes Egyptiens rompent avec les islamistes avec une défiance qui déchire un pacte que la piété n’a pas immunisé contre l’aliénation. Une démarcation que la rébellion des jeunes, bien anonymes par rapport à Omar Chérif ou Boutros Ghali, ont provoqué par un patronyme « #Tamarod » qui évoque une dispersion (y’a rien à voir, circuler) sans retour. Pour toute la vie et jusqu’à la mort, en Egypte la peur, de la doctrine « je gouverne ou je terrorise », a été apprivoisée.
Elle a convoqué le « (...) -
Rater le changement, éviter le vote et sans projet sociétal, l’héritage d’inertie en Algérie
2 mai 2019, par Djamel Damien BoucherefQuand en 2011, le printemps arabe devait déloger les despotes qui gouvernent d’une manière dynastique des républiques, un vent de panique a soufflé chez le clan des Bouteflika. Mais même plus tard, en 2014, le raïs malgré une maladie, du méchant AVC, qui l’a cloué à un fauteuil roulant, il s’est permis un 4ème mandat. Narguant de frappes émises par ses larbins, corrompus accroupis à ses pieds, les élites qui honteusement ont coupé avec le peuple. Quand ce dernier devint chair à canon au (...)
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Le prince récuse ses cavaliers : en Algérie le DRS cède à la réforme.
7 septembre 2015, par Djamel Damien BoucherefLes services secrets algériens sont dans la tourmente. Un ancien responsable de la lutte antiterroriste au grade, qui fait la pléiade des dirigeants de l’ombre, de général est sous les verrous. Puis la garde de Bouteflika, irrévérencieuse envers son service selon une première histoire de pétarades à Zéralda, est décapitée de ses chefs. A ces faits internes, se rajoute le Maroc qui, selon le quotidien français « Libération », accuse l’Algérie d’être derrière le coup des deux journalistes (...)