Une image reste gravée dans la mémoire de la population et du corps médical en Algérie. Au début de la pandémie du COVID-19, la machiavélique et indigne idéologie bureaucratique a offert des exemplaires de coran aux praticiens. Au lieu d’améliorer les conditions d’accueil dans les hôpitaux, ils se sont foutus de l’intelligence...
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Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Articles
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1200 médecins quittent l’Algérie qui les a formés.
6 février 2022, par Djamel Damien Boucheref -
L’enjeu de l’écho médiatique du Hirak en Algérie.
9 décembre 2019, par N.E. TatemEcouter l’article. Le problème de médias voyous, comme ceux qui grouillent sur le Web, est un phénomène malfaisant. Il est combattu, au même titre que les dominations qui sèment à la fois les mensonges mais aussi l’abominable cruauté. Dans cet article, j’associe le passage du Hirak (révolution citoyenne) en Algérie, par la case de la désinformation qui a pris de la hauteur. Dès lors que le rejet du vote s’est décliné sur les réseaux, les gangs au pouvoir politique ont abusé des supports (...)
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Présumé de l’entourage de Benladen, Sami Aïdoudi libéré après son retour en Tunisie
28 juillet 2018, par Azouz BenhocineSans preuves, comme il n’a jamais été haut placé, Sami Aïdoudi, àgé de 42 ans, a été libéré, vendredi 27 juillet, par la justice de son pays, la Tunisie où il a été envoyé par les autorités allemandes qui, sur demande de l’Office fédéral des migrations, ont préféré se débarrasser d’un misérable fanatique. Il a comparu devant un magistrat, sans accusation précise et étayée de faits.
Après 15 jours de son arrivée, la durée légale de garde à vue, il a été relaxé. Même si l’enquête n’est (...) -
Le plus grand terroriste algérien court toujours et, grâce à l’impunité, publie ses aveux
10 février 2019, par Djamel Damien BoucherefLe livre de l’année 2019 en Algérie n’est pas de Sensal, Daoud, Ammari, Benfodhil ou Boudjeddra. C’est même le plus grand guerrier des "Arabe-afghans" qui le signe, au détriment de la justice de son pays surtout. Son auteur a côtoyé des icônes d’Al-Qaïda. Il a le toupet de retracer, car acteur ayant directement eu la main à la pàte, de ce qui est la "décennie noire" et les arcanes terroristes. Les voyous qui assument leurs prières ne s’offusquent pas que l’islamisme est téléguidé par la (...)
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La crise s’aggrave en Algérie avec des interdictions d’activités associatives et partisanes...
28 août 2019, par Djamel Damien BoucherefL’argument des militaires algériens de se conformer à une constitution qui a été moult fois malmenée, à la guise des règnes despotiques, ne vaut rien pour l’opinion générale locale. La 1ère loi est frappée de caducité, car on ne s’y est jamais conformé à une législation héritée d’un pouvoir tombé en déchéance. Avec ses contradictions et ses normes où sont exclus, parmi les libertés de conscience, même les ressortissants vivants à l’étranger, des postes politiques, le "destour" a plusieurs (...)
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Journaliste algérien entre fausse impartialité et approximative objectivité.
8 août 2020, par N.E. TatemAu passage à des médias exclusivement sur Internet, le journaliste algérien subit les hostilités du régime ébranlé par ses propres contradictions auxquels une partie de la corporation des médias apporte sa docilité !
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La Tunisie : de l’Etat d’urgence à la construction d’un mur côté Libye.
9 juillet 2015, par Rebel KazimirPremière expérience démocratique dans le monde arabe, la mutation politique et institutionnelle de la république tunisienne a montré une constance dans sa transition combien dynamique et vertigineuse. Il n’est pas simple aux populations sorties de la nuit coloniale, peinant à sortir du sous développement et imprégnées d’un islam qui a divorcé depuis des siècles avec la modération, de moderniser la gouvernance étatique et équilibrer, selon la nouvelle époque de l’humanité, les équilibres (...)
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60 ans d’indépendance en Algérie : prison pour opinion sur Internet.
3 mars 2022, par N.E. TatemLes Algériens sont traqués pour leurs expressions sur Internet, parce qu’ils contestent les dirigeants désignés par la voie des urnes, avec moins de 20% du corps électoral. Ce forcing pour le maintien des nationalistes réactionnaires au cœur de l’Etat est soutenu par le contrôle tous azimuts et sécuritaire auquel l’armée, sa gendarmerie et la police ont placé une colonne de censeurs sur les activités digitales. Répression qui ne peut s’arrêter tant que le faux Hirak continuera d’illusionner les opinions de l’espace de la liberté perdue et du droit à la parole dans le virtuel...
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2 candidats pour la présidentielle du 4 juillet rejetée par les manifestants en Algérie
26 mai 2019, par Djamel Damien BoucherefLe 9 avril dernier, le décret convoquant le corps électoral a été promulgué, après sa signature par le chef de l’Etat, l’intérimaire Abdelkader Bensalah. Le "texte-appel" a paru le lendemain au journal officiel. Au plus tard, 45 jours après cette publication, selon l’article 140 de la loi organique qui réglemente le processus électoral, les déclarations de candidatures ont été remises au conseil constitutionnel. Deux noms ressortent au dernier pas du parcours.
La plage temps, entre (...) -
7è CONTRIBUTION : Derrière le HIRAK, la classe moyenne algérienne à l’œuvre.
21 août 2019, par N.E. TatemLe défi d’une société qui a additionné ses forces, pour lancer le soulèvement collectif, est de persuader toutes ses classes sociales pour la réalisation du consensus contre les autocrates. Elle a redécouvert la liberté d’expression, dont elle rêvait depuis longtemps. Alors les pouvoirs institutionnels comme l’armée, la justice et même les médias font des présomptions ainsi que des calculs pour s’indexer avec le mouvement social torrentiel, qu’aucune digue ne peut freiner.
Qui sont les (...)