Il ne se passe pas une journée, voire une heure, sans qu’en Algérie des affaires de corruption ne viennent alimenter les annales de ce qui est le monde des affaires. Tellement les hauts responsables s’adonnent à la prédation, en excluant aussi les plus honnêtes, les subalternes des échelles intermédiaires des rouages ne ratent point cette aubaine délétère...
Nous avons choisi de vous rapporter deux méfaits, parmi d’innombrables que vivent les localités algériennes, afin d’illustrer le (...)
Accueil > Mots-clés > Monde, international, relations entre pays > Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Articles
-
L’Algérie et les pires délinquances : terrorisme et corruption
3 avril 2013, par Azouz Benhocine -
L’école algérienne à l’orée d’une rentrée annoncée par des concertations
20 août 2014, par Djamel Damien BoucherefSe préservant de rater la prochaine rentrée scolaire, la ministre algérienne de l’éducation a reçu successivement, ces dernières semaines, le Snapest, la Cnapest et le Satef. C’est-à-dire les syndicats ayant, dans les mouvements sociaux de ces dernières années, des revendications qui paralysent, l’activité principale à toute jeunesse construisant son avenir, la fréquentation de l’école. Une manière de nouer contact, pour une nouvelle dans l’exécutif gouvernemental, et de démontrer une (...)
-
10 jours de lutte antiterroriste à Tipaza en Algérie...
1er août 2017, par Djamel Damien BoucherefC’est parce qu’il y a illusion d’amadouer l’anticonstitutionnel islamisme, puisqu’il s’agit de partis religieux que l’article 41 de la première loi bannît, que l’insécurité demeure en Algérie. La théologie politisée est le vecteur à la fois du terrorisme et du maintien du modèle de pouvoir qui n’a cessé de ruiner l’Algérie. Elle se place dans le poste d’une opposition religieuse, d’ailleurs alliée dans le black-out politique, bien devant les démocrates que l’ancien régime redoute. Car le (...)
-
La ruineuse opposition, en Algérie, travaille pour les islamistes et la mafia qui dirige
21 février 2019, par Djamel Damien BoucherefHalluciant ! Les participants ont quitté la réunion sans accord. Ils affirment qu’ils avaient besoin de plus de temps pour discuter au sein des hiérarchies de leurs partis. Y compris les anciens 1er-ministres, Ali Benflis et Ahmed Benbitour, ainsi que le chef du parti islamiste modéré Abderrazak Makri, étaient présents aux côtés de représentants de partis politiques dits petits. En vain, la tentative est une reproduction d’un cinéma vieillot et en noir et blanc !
L’opposition algérienne (...) -
Victimes algériennes des essais nucléaires français au Sahara, 1ère réunion en 2015
9 décembre 2014, par N.E. TatemPour la 1ère fois dans les agitées relations franco-algériennes, les victimes des essais nucléaires dans le Sahara, pendant l’occupation, fera l’objet de discussions. Les deux pays ont convenu de tenir une réunion au début de l’année 2015 sur d’éventuelles indemnisations.
Un communiqué conjoint publié à la fin de la fin du 2ème Comité de haut niveau intergouvernemental (CIHN) tenue jeudi, en France, le précise « Les deux parties ont convenu que le Groupe de travail mixte pour discuter (...) -
Les hackers "Team System DZ" frappent des sites gouvernementaux des USA
4 juillet 2017, par Djamel Damien BoucherefLes hackers, souvent dits algériens parce que leur dénomination comporte le code DZ et agissent certainement depuis la zone géographique d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, viennent encore de faire parler d’eux. Même si leur identité réelle n’est pas établie, cependant la forme de label « Team Système DZ » qui s’est fait connaitre depuis 2011, avec quelques frappes d’envergure sur des systèmes mondiaux, sont considérés d’Algérie.
La dernière opération qui date entre le 24 et 25 de (...) -
Amnistie fiscale en Algérie, l’économie informelle invitée à légaliser son argent
14 août 2015, par Djamel Damien BoucherefValable depuis le 2 Août 2015, en vertu de la loi finance complémentaire 2015, votée fin juillet, l’amnistie fiscale en Algérie, tente de rattraper la réduction des recettes, du moins en partie, due à la chute du prix du pétrole. Ce pardon est accordé, en effaçant la non-imposition antérieure, à l’économie non déclaré, mais exige des détenteurs de ses activités informelles de se mettre en conformité avant le 31 décembre 2016.
Posted by Populi-Scoop : L’info citoyenne et l’actu (...) -
Au Yémen, l’Algérie satisfait le loup et ne fait pas pleurer le berger
31 mars 2015, par Djamel Damien BoucherefL’occasion donnée à la diplomatie algérienne de préciser la doctrine de sa défense, de son armée et de son appareil sécuritaire, ne cesse de revenir, pour répéter une position dans les conflits régionaux et internationaux. C’est à Sharm El Sheikh en Egypte, le jeudi 27 mars, alors que l’Arabie Saoudite conduit des frappes contre les milices chiites au Yémen, qu’encore une fois, l’Algérie s’est refusée de participer à cette ingérence dans les affaires d’un pays que nous avons qualifié sur (...)
-
Noirs et berbères, 50 000 habitants de Tawargha en Libye, privés depuis 2011 du retour...
20 août 2018, par Gros EmileDes témoignages récents ont rapporté que le retour des habitants de la ville de "Tawargha" à leurs domiciles n’est toujours pas possible. Au nombre avoisinant les 40 000 àmes (ou plus), cette population, exclusivement noire, a fui ses maisons pendant la guerre civile libyenne. Une expulsion collective due au soutien et à l’enrôlement dans les forces pro-Kadhafi, lors de la bataille de Misrata dont la population a suivi les rebelles. Tawargha est située à quelques kilomètres de la 3ème (...)
-
Le tournis du jeu démocratique en Algérie, les imprévisibles élections de 2017 ?
5 décembre 2016, par Djamel Damien BoucherefLa virulence des islamistes est imprévisible, alors que la fin de règne de Bouteflika est plus que probable. De triste mémoire, les années de la grande barbarie qui traumatise la population du plus vaste pays d’Afrique, reste l’indélébile peur des islamistes. La partition de l’Algérie comme réponse locale, peut-être une conséquence de la disparition de Bouteflika ? Le maximum du 4ème mandat a contenté seulement une partie des administrés, après l’actuel président c’est une incertitude (...)