Jamais l’information sur le terrorisme n’a été autant dispatchée. Depuis que les pays occidentaux, qui avaient manipulé les islamistes pour chasser les communistes d’Afghanistan avec l’aide de l’Arabie Saoudite, jamais les détails n’ont autant été consultés par les auditoires des médias. Par le passé, alors que l’Algérie a vécu sa "décennie noire" dans la solitude et l’adversité, la technologie de communication était moins avancée et Internet inexistant !
L’article de Sky News.
Et (...)
Accueil > Mots-clés > Monde, international, relations entre pays > Turquie, journaliste, lettre, prison, démocratie, islamistes, islamisme
Turquie, journaliste, lettre, prison, démocratie, islamistes, islamisme
Articles
-
Les redoutables technologies d’armement entre les mains d’#ISIS
8 janvier 2016, par Azouz Benhocine -
Ce que Poutine a précisé sur l’intervention en Syrie
17 mars 2016, par Gros EmileCinquième année des troubles en Syrie, un anniversaire où il est question de citer sans hésiter les intervenants. La Turquie est derrière le Daesh, avec la porosité de ses frontières utiles aux transferts des armements et des djihadistes. A ses côtés, l’Arabie Saoudite a préférence pour Djabhat Enosra. Et en face la Russie soutient le régime en place, décideur officiel qui est son partenaire de vieille date, principal ciblé par ces ingérences.
Nous vous conseillons cette vidéo, filmée (...) -
Un vendredi 13 noir : le Daesh frappe Paris !
16 novembre 2015, par JacoLes kurdes en Irak et l’armée syrienne, au service de Bashar, gagnent du terrain face à l’Etat Islamique. Alors qu’en France, vendredi 13 novembre 2015, une série d’attentas coordonnés dans la capitale démontrent l’émergence d’un nouveau champ de bataille. La dévastation des criminels tuant leurs victimes allongées par terre au Bataclan, la làcheté de s’exploser parmi les innocents au stade de France et mitrailler des terrasses de convivialité, est un déchaînement inédit.
[AppelàTémoin] (...) -
En Iran, la justice approuve les attentats du vendredi 13 novembre à Paris
19 novembre 2015, par Rebel KazimirLes facteurs à l’origine du terrorisme sont diplomatiques, la cause est aussi dans la politique étrangère. La France, sous Chirac, refuse l’envahissement de l’Irak sur la base de mensonges de G. W. Bush. Le même pays rêvait d’intervenir en Syrie, comme en Libye où les affres vécus par la population sont fruits d’ingérences. Les terroristes que soutiennent l’Arabie-Saoudite et la Turquie, mais aussi l’Iran qui salue à travers ses affaires internes, les attentats du vendredi 13 novembre 2015 (...)
-
Les islamistes d’Ankara s’attaquent à la meilleure résistance, du PKK, contre ISIL
5 août 2015, par Rebel KazimirAprès l’attentat-suicide dans la ville frontalière de Suruç, il y a quelques semaines (20 juillet), qui a fait plus d’une trentaine de morts, la Turquie a officiellement rejoint la guerre contre l’ISIS. Chose obligée pour les islamistes qui dirigent à Ankara et contraire à ce qu’ils ont fait depuis 2011. Quand la révolte citoyenne en Syrie est devenue une guerre civile, avec les millions d’exilés que l’humanité n’a pas vu ces dernières années et des centaines de milliers victimes civiles, (...)
-
L’opposition syrienne laïque trahie par l’opinion fataliste arabe
30 septembre 2015, par Azouz BenhocineEnfin une solution à la crise syrienne a été imposée à l’ONU par la stratégie russe. Le printemps arabe n’a jamais été une courte saison pour le passage de la dictature à la démocratie, mais une nouvelle ère où la dignité des peuples est à jamais devenue un projet historique. La Syrie est restée dans le chapitre des violences ne pouvant avancer au delà de la tyrannie. Assad est celui qui maintenant a vidé son pays, causé sa destruction et obligé ses hostiles ennemis à l’attendre...
Les (...) -
Commanditées, par le gouvernement de Saraj, des ingérences étrangères en Libye
29 juin 2019, par Azouz BenhocineLa Libye intéresse la Turquie, l’Iran et les pays aux ambitions géostratégiques grandiloquentes. Plusieurs interférences s’effectuent sans moindre intérêt de paix nécessaire à une vie décente à la population de ce pays livré depuis 2011 aux aléas de la déstabilisation. Si de nombreux bateaux iraniens ont aperçus lors du mois de mai dernier au large de Misrata, l’intervention directe de la Turquie ou d’un autre pays s’effectue avec l’aval du gouvernement incapable de gérer les problèmes. (...)
-
La protection des Kurdes : les islamistes turcs aménageaient les frontières pour Daesh
8 janvier 2019, par Azouz BenhocineLe rejet par la Turquie du nouvel appel américain pour la protection des Kurdes en Syrie, est un signe de discorde dans la région. L’ordre rectifié déplaît aux dirigeants turcs. Comme si l’EI (Etats Islamique), Daesh ou #ISIS, est déjà vaincu, voici l’illusion. Alors que la moindre faiblesse militaire, dans ces déserts à cheval entre l’Irak et la Syrie, peut remettre en selle les hordes d’islamistes dont, à l’heure actuelle, leurs armes ne sont pas récupérées.
Ankara se précipite pour (...) -
La Turquie : bureau de transit aux islamo-terroristes ... - 2è Partie -
16 novembre 2013, par Azouz BenhocineL’opposition syrienne est devant un casse-tête qu’elle ne peut résoudre. Il se rajoute à son incapacité de déloger Bashar Al-Assad du pouvoir. La montée en puissance des « djihadistes étrangers » une ingérence revenant à la fois aux monarchies de la région du Proche-Orient et à l’islamisme sous toutes ses formes qui mobilise de plus en nombreux candidats à la criminalité terroriste.
1ère Partie :Les islamistes et les monarchies à l’assaut de la Syrie - 1ère partie
Une crise qui peut (...) -
Les détails sur la minutie de l’opération d’élimination d’Al-Baghdadi.
24 novembre 2019, par Azouz BenhocineEcouter l’article.
Malgré la haute technologie qui permet de suivre et repérer des postes ou des personnes sur la surface de la Terre, la présence au sol d’élément rapproché de l’objectif est nécessaire. Une taupe doit donner les indications fondamentales, de vraies preuves ont été fournies pour cette neutralisation. C’est le cas de l’opération qui a permis l’élimination d’Abou-Bakr El-Baghdadi, de son vrai nom Ibrahim Awwad Ibrahim Ali al-Badri al-Samarraï.
Le Washington-Post a même (...)