Quelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.
Accueil > Mots-clés > Critique & débat > économie
économie
Articles
-
Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien Boucheref -
L’AKP peine à former un gouvernement, la Turquie à la croisée des chemins
16 juillet 2015, par Rebel KazimirL’AKP qui gouverne la Turquie ne trouve pas d’alliés pour former son gouvernement. À l’issue des élections du 7 juin, le parti islamiste n’est plus majoritaire à 50%+1 au parlement. Malgré qu’il demeure encore la 1ère organisation politique à engranger le plus de voix et de sièges, le nombre de parlementaires actuels ne l’autorise pas de disposer d’un gouvernement qui ne soit pas bloqué par l’Assemblée.
Notre dernier article, 9 juin 2015 :
– La défaite de l’AKP en Turquie : une (...) -
Cocasse crise à l’assemblée algérienne, les rentiers et la cotation au 5ème règne...
8 octobre 2018, par Djamel Damien BoucherefAucune communication crédible pour la crise parlementaire, qui a commencé dès septembre et termine la 1ère semaine d’octobre 2018, en Algérie. Le président de l’assemblée contesté, sans que vraiment s’explique le bras de fer. Renverser les tables, les chefs de groupes reprochent au président de l’ANP d’avoir congédié le comptable ordonnateur de frais sur le budget de l’appareil... Personne n’a les noms des députés qui se révoltent contre le président, l’affaire est tellement louche que (...)
-
Algérie : la paranoïa s’en prend aux syndicalistes et chômeurs maghrébins
22 février 2013, par N.E. TatemLa descente de la « Bouteflicaille », avant que la rencontre ne s’ouvre, expose sous les regards des jeunes venus des pays du Maghreb, l’image d’un pouvoir emprisonné dans la paranoïa. En asphyxiant de telles débats où syndicalistes et chômeurs voulaient échanger leurs expériences, autant les contextes où ils vivent y sont aussi identiques, les responsables Algériens craignent que leur règne ne soit touché €¦
Dire éloquemment, les autorités algériennes se croient contestées du « (...) -
Algérie : En dehors de l’islam et la langue arabe €¦
3 juin 2012, par Azouz BenhocineUn grand débat s’est installé en Algérie, après que le représentant de la revendication de l’autonomie de la Kabylie, Ferhat Mehenni, et le romancier, Boualem Sensal, se sont successivement rendus en Israë l, pendant la fin du mois mai 2012. Alimenté davantage sur les médias, voire la presse écrite et celle du Web, les discussions reflètent la profonde frustration des minorités et les effets des exclusions. Le glacis politico-idéologique de tradition militaro-nationaliste s’offusque, mais (...)
-
Le classement des universités arabes : se situer dans le Monde actif
18 mai 2017, par Azouz BenhocineVoilà un des principaux indices parmi ceux qui permettent de dresser l’état de développement d’une nation. Car il a trait à la production intellectuelle de pointe, à savoir la formation scientifique et son apport dans l’industrie et le transfert du savoir. L’approche de standardisation est indépendante et tient des indicateurs d’engagement d’une institution universitaire à nourrir les prochaines générations d’étudiants de connaissances de haut niveau. Tel le troisième cycle dont les (...)
-
Un demi-million de victimes des guerres et conflits causés par les USA après 2001
25 novembre 2018, par Gros EmileDe rares hommes politiques américains ont manifesté de désigner la responsabilité de leur pays dans la guerre au Yémen, où l’Arabie saoudite fait le mal essentiel sur les civils, avec un soutien logistique et des armes des États-Unis. La même rengaine, de ces piètres démagogues des démocrates et d’infimes républicains, reste moins encline à reconnaître les nombreux conflits où les États-Unis sont directement responsables. La violence avec un nombre monumental de morts, des crises de (...)
-
Le 13 août du "CSP" de la Tunisie moderne, une célébration au temps des islamistes
5 août 2018, par Azouz BenhocinePour certains connaisseurs de l’histoire de la Tunisie, sans la présence de Béji Caïd Essebsi aux côtés de Bourguiba, l’illustre « code du statut personnel »(CSP) n’aurait pas vu le jour, un certain 13 août 1956. Le 1er était conseiller chargé des affaires sociales auprès du gouvernement et le second accéda à la tête du jeune Etat, dont l’indépendance date du 20 mars 1956 et proclamé la république le 25 juillet 1957. Mais la conjoncture actuelle a de nouveaux défis. Ils se présentent aux (...)
-
L’Algérie réduit ses dépenses et se tourne à la dette extérieure
16 juin 2017, par Djamel Damien BoucherefL’un des conseils du gouvernement algérien des plus attendus est celui qui vient de se tenir 14 juin 2017. Déjà le plaisir ou le malheur a tellement duré pour qu’arrive cette rencontre de l’exécutif avec le président. Puisqu’il n’était pas de coutume de laisser les nouveaux ministres se pavaner si longtemps, plus de 20 jours où entre-temps celui du tourisme a été changé, sans les réunir avec le chef de l’Etat. Tellement le temps a été perdu que certains observateurs n’ont pas cru que cette (...)
-
L’Algérie a mis 2.6 milliards pour les 51% de "Djezzy"
3 février 2015, par N.E. TatemLe « FNI » Fond National d’Investissement a pris 51% de la société de téléphonie « Djezzy » le leader local de la téléphonie mobile en Algérie, après des tractations et négociations entamées depuis 2010. Le compromis de vente, paraphé l’été dernier, a débouché, depuis le début du mois de février 2015, à la cession définitive.
Est-ce les lois du pays qui exigent que l’investisseur étranger doit être associé à 49% maximum avec un investisseur national, appelé communément « le droit (...)