L’économie algérienne est, en 2023, partagée entre ces 2 facettes inflationnistes. Premièrement, le pessimisme pour l’explosion de l’inflation du fait que la monnaie en circulation est incontrôlable. Et seconde vision, le contraire qui est temporairement un stimulant du fait des ressources qui ont des retombées directes sur les prix intérieurs et sur la dévalorisation du dinar. Ce qui résume la perspective économique est formulé dans le dernier rapport du FMI. Il a intitulé en « conclusions pour les consultations de 2022 au titre de l’article IV de son programme annuel avec l’Algérie ».
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Le FMI avise l’Algérie : l’inflation due à la rente dispatchée en monnaie incontrôlable.
3 février 2023, par Djamel Damien Boucheref -
Enquêteurs de la justice d’Italie sur les traces de Giorgia Meloni en Algérie.
28 janvier 2023, par Djamel Damien BoucherefLe gaz algérien attire les pays européens, quand ils abandonnent leur partenaire russe. Ce qui a provoqué un ballet diplomatique au sud qui vient d’être couronné du voyage de Giorgia Meloni à Alger. Elle a salué l’Algérie comme le partenaire "le plus stable, le plus stratégique et le plus ancien" lors de son déplacement, l’Italie. Mais "la Garde des finances" de son pays augmente sa vigilance, en vertu d’un lourd passé de corruption partagée !
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Les services secrets du Maroc mènent la corruption au parlement européen.
24 janvier 2023, par Hugo MastréoIl faut préciser que ce n’est pas de la diplomatie et encore moins l’abjecte lobbying qui soit derrière les soutiens du Maroc au parlement européen. Ces intimités se sont avérées corrompues et c’est le service des renseignements marocains (DGED) qui aurait été impliqués à un haut niveau dans l’influence des députés, selon Der Spiegel. Les contacts présumés dès 2019 existaient bien avant. Et des diplomates, qui gardent l’anonymat, citent même l’ONU où un ex-secrétaire général, Javier Prez de Cualar, a été soudoyé pour le conflit du Sahara occidental...
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Aux récalcitrants, la « nouvelle Algérie » compte sur l’armée et non la démocratie.
16 janvier 2023, par Djamel Damien BoucherefLa charge qu’a l’armée algérienne pour couvrir la sécurité du vaste territoire du pays, avec ses dizaines de milliers de kilomètres de frontières, est lourdement budgétivore. Outre la mobilisation humaine et les alambiquées tactiques face au terrorisme islamiste qui n’est pas totalement éradiqué, l’armée est obligée d’apporter son soutien aux bureaucrates qui s’adonnent aux bricolages et prônent un populisme inopérant. L’émergence économique amorcée dans les discours n’est pas vérifiable sur le terrain. Alors que le discours religieux s’arroge les consciences d’une jeunesse désespérée par l’amertume du rayonnement des sectes réactionnaires...
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Brutalité de la "Nouvelle Algérie" & du despotisme d’Al-Mouradiya.
28 décembre 2022, par Djamel Damien BoucherefUn post du Internet qui est scruté par un lourd appareil de vérification, de surveillance et de répression sous le commandement des militaires, peut coûter des mois de prison qui seront clôturé l’innocence du citoyen justiciable. Telle est la "nouvelle Algérie" que galvaudent les médias publics qui sont fuis par un respectable audimat. Mais entretiennent et supportent le discours de l’élimination des organes et supports libres, ce qui leur sert de propice nettoyage des concurrents gênants.
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Pour corruption de SONATRACH, en Algérie, des amendes aux USA.
22 décembre 2022, par Djamel Damien BoucherefAprès Bouteflika, les clans qui s’accaparent le pouvoir en Algérie ont repris de plus belle les déchirements en règlement de comptes. Les uns traduisent les autres en justice, sur fond de corruption endémique où le contrôle populaire est absent et l’incompétence endigue la transparence institutionnelle.
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Quel coefficient de l’Algérie dans l’équation des BRICS ?
11 décembre 2022, par Djamel Damien BoucherefDébut novembre, l’Algérie a officiellement candidaté pour rejoindre les BRICS, par la voix même du président. La chargée, au ministère des Affaires étrangères, du partenariat international, Leila Zerouki en a fait un projet majeur, l’attribuant au chef de l’Etat. Mais dans la volatilité des compétences, le wali (préfet) d’Alger, manipulant actuellement le léger dossier de la formalité du jumelage de la capitale avec Moscou, s’en empare de donner le ton sur les éventuelles exigences juridiques que le pays doit instaurer, pour faire partie du consortium des nations ayant leurs initiales au fronton et en acronyme du groupe.
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En Algérie, la doctrine de défense double son budget pour 2023.
29 novembre 2022, par Djamel Damien BoucherefDéployer la répression avec la « justice du téléphone » contre les opposants et les voix qui contribuent à la correction des erreurs, est un grave divorce dans ce qui est le "pacte social" qui aidait la discipline utile à la bonne gouvernance en Algérie. Le projet d’édifier un Etat-nation moderne, prospère et égalitaire qui a été amorcé après l’indépendance en 1962, n’est plus visible aux jeunes. Et au commun des administrés, le budget de gestion des revenus de la rente pétrolière est incontrôlable quand la corruption des élites est omniprésente avec les nombreuses incarcérations.
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Paradoxe en Algérie qui interdit l’importation des véhicules diesel.
24 novembre 2022, par Djamel Damien BoucherefDernièrement l’Algérie s’est retrouvée en pénurie de véhicules de tous genres, mais ce sont les voitures dites touristiques qui ont été ressenties plus manquantes sur le marché. Cette carence de rareté a fait grimper les prix. Mais la corruption est passé par là. Un certain nombre d’éminents propriétaires d’entreprises de montage mécanique, tous accusés de fraude et de blanchiment d’argent ainsi que d’activité dans de criardes complaisances.
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Saddek Hadjeres : l’engagement pour une Algérie moderne et juste.
16 novembre 2022, par N.E. TatemLa formulation dite la "nature du pouvoir" qu’émettaient les communistes algériens depuis des lustres, proclamait une analyse éclairante et rarement démentie, à chaque fois que leur pays, dans les fracas et les soubresauts, changeait de chef d’Etat. Un scénario qui n’arrive pas encore à la « happy end », dont aspirent les citoyens pour la sécularisation. Ce qui persiste dans la houle de sa jeune Histoire de nation en constitution, l’Algérie est encore dans le tumulte révolutionnaire quêtant modernité et ancrage dans l’universalité.