L’illusion de pouvoir terminer avec le terrorisme en Algérie ressemble au songe de pour limiter la "harga" des jeunes qui quittent le pays au risque de leurs vies. La malédiction qui fait usage de la religion, un programme politique, d’ailleurs adopté par les faux nationalistes, de la prédation de rente accaparée de ses titulaires que sont les citoyens, est plus ancrée en 2024 que lors de la "décennie noire". Le déclic pour le glissement à une violence à grande échelle, est souvent dans les discours des bureaucrates qui créent la menace obscurantiste.
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Terrorisme , islamisme , Al-Qaeda , politique ,
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2 terroristes bien armés, éliminés en avril 2024, au centre d’Algérie.
29 avril, par Djamel Damien Boucheref -
Donald Trump, l’Iran et Israël : les canons fumants avant les batailles
6 mai 2018, par Hugo MastréoEn réalité la décision est déjà prise, tout le reste c’est de la com. Donald Trump préfère prendre rendez-vous le 12 mai 2018, pour faire le coup d’éclat médiatique. Cette prochaine sortie du président américain sur l’accord nucléaire avec l’Iran, avait été précédée par la pathétique démonstration télévisée de Netanyahu. Un show repris par nombreux canaux du Monde. Les responsables iraniens ont rejeté ses déclarations, disant que cela est fait pour justifier la prochaine intervention de (...)
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Baisse du terrorisme, mais déplacement en Afrique et extrême-droite en occident
11 décembre 2018, par Rebel KazimirLe groupe de réflexion appelé « Institut d’économie et de paix » vient de publier, à la lumière du dernier bilan de l’action terroriste, son rapport 2018 (6ème édition) du classement des pays, au nombre de 163, du Monde. Le document dit que selon l’évolution des situations d’Irak et de Syrie, en 2017 le nombre total de décès a diminué de 27% par rapport à 2016. Respectivement, il arrondit à 5000 moins de victimes pour le 1er pays arabe du Moyen-Orient et à 1000 pour le second. C’est la (...)
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MAROC : Ali Arras à l’ombre de la citoyenneté déclassée €¦
28 avril 2011, par Gros EmileAli Arrass, jugé au Maroc depuis le 29 avril 2001, est au cÅ“ur d’une affaire qui à elle seule reflète, toutes les discriminations institutionnelles dont sont victimes certains européens. Les Roms ou bien les beurs, les premiers sont européens depuis des siècles et les seconds descendants d’émigrants originaires d’origine africaine et maghrébine, sont totalement exclus des activités sociétales et moins couverts dans leurs droits...
En effet Ali Arrass est à l’image, de la situation (...) -
Les fronts de guerre du Daesh tracés par les villes libérées en Irak et en Syrie.
10 décembre 2015, par Rebel KazimirQuel bilan peut-on dresser des positions sur le terrain, dans les deux guerres antiterroristes en Irak et en Syrie ? Les effectifs humains et les armements du Daesh, dans ce conflit-complot que mène l’organisation "ISIS" pour instituer la chimère d’un "califat" ou bien l’Etat-sanctuaire de l’islamo-terrorisme, sont aussi d’autres questionnements déterminants ? On peut dresser un semblant d’imagerie des espaces géostratégiques que le belligérant criminel occupe dans les deux pays. À partir (...)
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2è partie : essentiel de l’interview de Tebboune, point par point.
2 avril, par Djamel Damien BoucherefL’emprise de la bureaucratie des énarques en Algérie s’est érigée en héritage du pouvoir absolu des nationalistes de l’indépendance. Aussi bien les premiers mis au service des seconds n’ont pas, les deux générations, mis en érection la "nation en formation". Le pays plongé dans une malédiction maladive, que de prétentieux présidents se placent en conscience des humains, donnant aux citoyens des retards économiques, des fanatismes religieux, des psychologies collectives ringardes et criminelles... La fabrique qui a engendré Tebboune persiste dans une culture ténébreuse.
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Deux journalistes tunisiens entre les mains des milices libyennes
30 octobre 2014, par N.E. TatemDeux journalistes tunisiens sont actuellement détenus par les milices islamo-terroristes en Libye, depuis plus de 10 semaines. Dans une certaine indifférence de leurs collègues locaux et le manque d’échange d’informations au Maghreb à leur sujet, leur sort devient inquiétant. Et avec les collusion-connivences de certains cercles arabes et des complicités ouvertes de certains régimes, partis et Etats présidés par des islamistes, avec le terrorisme, l’exigence de leur libération n’est pas (...)
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Pour acter son soutien au 5ème mandat en Algérie, la vindicte d’Ennahar via Alg24
9 octobre 2018, par Djamel Damien BoucherefL’Algérie livrée à une mascarade de destruction des institutions, même les plus solides, se dégradent de jour en jour. Comme ce cas qui traduit la grande descente aux enfers des appareils les plus solvables. L’ex-DRS devenue "Direction des Affaires de Sécurité" et rattachée directement à la présidence qui détient aussi le ministère de la défense, est fonctionnel dans un pays en panne, sclérosé par une cynique maladie devenue collective et incurable...
Par le passé les journalistes (...) -
Le Cartel du FLN dirigiste met au placard Saàdani...
30 octobre 2016, par Djamel Damien BoucherefAmar Saàdani, profil conventionnel du gotha des détrousseurs et médiocres qui font des biens publics et de l’économie algérienne un butin qui leur est promis, est passé par la présidence de l’assemblée nationale, avant de prendre en main le destin du parti FLN. Parvenu des bas grades aux hautes hiérarchies, il rebondit dans la diplomatie avec sa loyauté à Bouteflika. De la direction d’un appareil à gagner les élections, auquel le clan présidentiel enjoint un contrôle absolu, il continua (...)
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Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien BoucherefQuelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.