Les données concernant la Libye sont opaques. Le pays est inaccessible aux journalistes. La communication des deux parties en conflit, le gouvernement exilé dans la ville de province de Tobrouk et la coalition regroupant des milices réfractaires à la légalité, composée de plusieurs appartenances islamo-terroristes dont le Daesh, est biaisée par un manque de transparence nuisant à toute crédibilité de l’information produite à ce sujet.
Seules les déclarations d’officiels d’internationaux (...)
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Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Articles
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1500 à 2000 milices armées et 6000 à 8000 terroristes maintiennent le chaos en Libye
26 septembre 2015, par Gros Emile -
Bouteflika, dans les hauteurs d’Alger, dit avoir servi son pays malgré le chaos.
27 juillet 2019, par Djamel Damien BoucherefDifficile d’avoir une autre vision. La description des jours de Bouteflika, par le journal « Asharq El-Awssat », après sa destitution n’apporte rien de spécial. Elle contient ce qui peut être imaginé pour le cas du malade qui ne soit pas parti en Europe pour continuer ses soins ou aux EAU (Émirats Arabes Unis) où il séjournait fréquemment, avant de revenir aux affaires en 1999. Comme la certitude qu’il n’est plus à la résidence de la présidence du "club des pins", mérite d’être vérifiée (...)
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24é vendredi de manifestation en Algérie, non-retour pour la rupture avec l’ancien système
2 août 2019, par Djamel Damien BoucherefL’épilogue de la première république, fondée en Algérie par la génération des guerriers de la libération, s’effectue avec une contestation en rupture avec l’islamisme, dont la cruauté a laissé un traumatisme collectif. Le sentiment religieux chute politiquement. Mais aussi à la prière du vendredi, quand manifeste le peuple, on croise dans les mosquées les vendeurs de pastèques, les truands repentis et les sectaires englués dans la médiocrité de l’école et des autres secteurs. Ni médecin, (...)
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Les péripéties d’un Algérien qui renonce publiquement à l’islam et s’adresse au Christ
10 janvier 2019, par Djamel Damien BoucherefVoilà l’une des épopées les plus cruelles qu’on peut vivre dans un pays musulman, où la population n’a pas de considération pour la liberté de croyance. Le sort d’un musulman qui se convertit au christianisme en Algérie, illustre comment l’existence d’une personne devient insupportable pour l’hostilité et la haine de l’environnement humain. Depuis l’année 2000, le retour de Bouteflika aux affaires, l’exil a pris toutes ses formes et voies possibles. C’était l’ancien parti unique de la (...)
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Les Africains passent par le Maroc vers l’Europe, on embarque aussi avec la caravane
7 novembre 2018, par Azouz BenhocineAvec des conditions sociales déplorables pour une majorité de Marocains qui héritent la misère de leurs parents, il y a une forte répression généralement prononcée par des tribunaux qui, sous prétexte de préserver la paix, s’aveuglent dans les injustices. Encore mineurs, ils quittent le pays du nord ouest africain. Ils deviennent plus nombreux quand l’Espagne, désormais gouvernée par la gauche, a montré de l’accueil humanitaire aux embarcations de fortune qui traversent, du sud vers le (...)
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Quel paradigme de légitimité pour Tebboune dans sa constitution ?
9 mai 2020, par Djamel Damien BoucherefEcouter l’article. A quoi sert une constitution en Algérie ? La question rappelle l’idée en épilogue d’un rapport du grand ami de ce pays d’Afrique du nord, le communiste français Maurice Thorez, résumé en "une nation en formation". 1963 (Ben Bella), 1976 (Boumediene), 1989 (Chadli), 1996 (Zeroual) et 3 de 2002, 2008 et 2016 (Bouteflika). Ces affluences de révisions sont des opérations qui quêtent la légitimité. Tebboune en rajoute sa couche dans la patine de sécularisation qui ne cesse (...)
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L’armée opère un désastreux recyclage des bureaucrates en Algérie.
20 août 2022, par Djamel Damien BoucherefLe recyclage des bureaucrates, plus souvent formés à l’ENA que sont les serviles larbins à la solde des nationalistes, s’est opéré après la chute de Bouteflika. Les gouvernances qui se sont succédées depuis l’indépendance de l’Algérie, en 1962, n’ont pas su faire de la jeunesse des propulseurs de l’émergence économique, ni de l’émancipation de leurs propres conditions d’existence. Elles sont comptabilisées sous la responsabilité de l’armée qui fait et défait des Présidents. Et dont les "khabirs" (experts) ne visualisent pas le destin d’une nation égarée dans les méandres de l’obscurantisme religieux et la prédation fomentée par l’incompétence.
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93 enfants du sahel africain découverts dans 2 réseaux de mendicité à Alger
19 novembre 2018, par Djamel Damien BoucherefDans une dépêche de l’APS datée du 18 novembre 2018, pas moins de 90 enfants, tous d’origine africaine, ont été découverts dans 2 réseaux de mendicité. L’article de l’agence algérienne a pour source un communiqué des services de la wilaya (département) de la capitale. Plus précisément, il s’agit de 93 cas de très jeunes individus qui ont été libérés d’une traite humaine grave que l’Algérie découvre.
Dans des médias africains, notamment marocains et sénégalais, il a été fait allégation, (...) -
L’Afrique ne résout pas ses conflits régionaux, où est l’UA ?
17 janvier 2021, par N.E. TatemUn rythme d’existence chaotique préside le destin de l’Afrique depuis les années 1960. Par intermittence des crises politiques et régionales...
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Inès Ibbou, une tenniswoman accède aux compétitions mondiales
11 avril 2015, par Djamel Damien BoucherefDepuis des années le tennis algérien n’a pas vu une telle étoile. Ce qui est marquant aussi par la surprenante montée en puissance de cette sportive, est qu’Inès Ibbou soit la plus jeune de toutes les participantes, de sa catégorie (16-18 ans), qui la dépassaient d’au moins une année d’àge.
Inès Ibbou était accompagnée par trois autres athlètes formant l’équipe nationale, Sihem Sahli, Sa dia Belhadj et Fazil Habbouche (garçons). Ils ont été tous éliminés dès le premier tour. Certains (...)