Aux dernières nouvelles, sur l’évolution du mouvement social, contestant le pouvoir de Bouteflika en Algérie, le faux « FLN » et le parti de la bureaucratie le « RND », rejoignent la population. Massivement, cette dernière ne veut plus de la présence de l’actuel régime et de ses acteurs dont Bouteflika, à la tête du pays. Mais les centres du pouvoir réel, comme l’armée capable de déloger le raïs et sa caste, tergiversent.
Le nombre de fois que les jeunes algériens sont arrivé à briser (...)
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Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Articles
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Islamistes, ex parti unique et bureaucratie du RND à l’affût pour se réhabiliter !
20 mars 2019, par Djamel Damien Boucheref -
L’égyptien Al-Ashmawy arrêté par l’ANL du maréchal Haftar en Libye
8 octobre 2018, par Gros EmileAvec une formation très poussée d’officier des forces spéciales égyptiennes, celles chargées des tàches les plus dangereuses, reçue auprès des principaux instituts américains, Al-Ashmawi (alias Omar El-Mohager) a été arrêté en Libye. L’information est tombée aujourd’hui. Devenu militant et responsable des opérations terroristes dites "qualitatives" des plus importantes menées dans le Sinaï, au Caire et dans l’oasis d’Al-Farafra, il mérite grandement le titre de personne recherchée la plus (...)
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Figuig où l’aberrant "Fake news" du Maroc pour les 41 réfugiés syriens
8 juin 2017, par Hugo MastréoComme si un territoire imaginaire et sans appartenance à une nation peut exister entre deux pays frontaliers ? A moins que la ligne de bornage soit indéfinie pour pouvoir abriter un camp de réfugiés ! Le blocage, du groupe de syriens, quelque part entre l’Algérie et le Maroc, mérite d’être expliqué. La grappe d’individus, fuyant leur pays livré à un conflit entre despote cramponné au pouvoir et terroristes avides de dévastations, avait pour intention d’atteindre l’Espagne, mais sa (...)
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Algérie, enseignements du 20 avril 2016
21 avril 2016, par Djamel Damien BoucherefLongtemps, la particularité berbère en Algérie a été présentée, par l’idéologie nationaliste et hégémonique qui gouverne, comme un danger à l’unité nationale. Puis les islamistes la redoutent, comme la dimension moins encline à admettre le projet de la charia. La concession de l’officialisation constitutionnelle de « Tamazyght » en 2016, annonce la reconnaissance de l’échec, après 40 ans, de la généralisation et la suprématie de la langue arabe. Mais hostilement les soldes de la rente, (...)
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La crise s’aggrave en Algérie avec des interdictions d’activités associatives et partisanes...
28 août 2019, par Djamel Damien BoucherefL’argument des militaires algériens de se conformer à une constitution qui a été moult fois malmenée, à la guise des règnes despotiques, ne vaut rien pour l’opinion générale locale. La 1ère loi est frappée de caducité, car on ne s’y est jamais conformé à une législation héritée d’un pouvoir tombé en déchéance. Avec ses contradictions et ses normes où sont exclus, parmi les libertés de conscience, même les ressortissants vivants à l’étranger, des postes politiques, le "destour" a plusieurs (...)
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Journaliste algérien entre fausse impartialité et approximative objectivité.
8 août 2020, par N.E. TatemAu passage à des médias exclusivement sur Internet, le journaliste algérien subit les hostilités du régime ébranlé par ses propres contradictions auxquels une partie de la corporation des médias apporte sa docilité !
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60 ans d’indépendance en Algérie : prison pour opinion sur Internet.
3 mars 2022, par N.E. TatemLes Algériens sont traqués pour leurs expressions sur Internet, parce qu’ils contestent les dirigeants désignés par la voie des urnes, avec moins de 20% du corps électoral. Ce forcing pour le maintien des nationalistes réactionnaires au cœur de l’Etat est soutenu par le contrôle tous azimuts et sécuritaire auquel l’armée, sa gendarmerie et la police ont placé une colonne de censeurs sur les activités digitales. Répression qui ne peut s’arrêter tant que le faux Hirak continuera d’illusionner les opinions de l’espace de la liberté perdue et du droit à la parole dans le virtuel...
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2 candidats pour la présidentielle du 4 juillet rejetée par les manifestants en Algérie
26 mai 2019, par Djamel Damien BoucherefLe 9 avril dernier, le décret convoquant le corps électoral a été promulgué, après sa signature par le chef de l’Etat, l’intérimaire Abdelkader Bensalah. Le "texte-appel" a paru le lendemain au journal officiel. Au plus tard, 45 jours après cette publication, selon l’article 140 de la loi organique qui réglemente le processus électoral, les déclarations de candidatures ont été remises au conseil constitutionnel. Deux noms ressortent au dernier pas du parcours.
La plage temps, entre (...) -
7è CONTRIBUTION : Derrière le HIRAK, la classe moyenne algérienne à l’œuvre.
21 août 2019, par N.E. TatemLe défi d’une société qui a additionné ses forces, pour lancer le soulèvement collectif, est de persuader toutes ses classes sociales pour la réalisation du consensus contre les autocrates. Elle a redécouvert la liberté d’expression, dont elle rêvait depuis longtemps. Alors les pouvoirs institutionnels comme l’armée, la justice et même les médias font des présomptions ainsi que des calculs pour s’indexer avec le mouvement social torrentiel, qu’aucune digue ne peut freiner.
Qui sont les (...) -
Après les maquisards en Algérie, l’armée encadre de véreux bureaucrates.
5 juillet 2023, par Djamel Damien BoucherefLes mesures répressives contre la société civile en Algérie, et les restrictions des déjà modiques espaces de liberté d’expression, sont l’œuvre des bureaucrates qui étaient au service des anciens moudjahidines de la libération. Ils sont actuellement sous le parrainage de l’armée qui a toujours intervenu, avec récurrence, pour redresser les dommages populistes des civils sur les institutions comme le recrutement des prêcheurs du terrorisme islamique.