En Algérie, on comprend plus souvent que l’idéologie est à gauche. Les chapelles de convictions droitières disent qu’elles sont lavées d’idéologie. Ce qui constitue, contre l’éthique sociale une attaque. Ceux qui accomplissent les labeurs effectués journellement dans le pays, cependant feront leur choix de conserver collectivement le pire.
La mystification qui bloque la population de réagir au despotisme du régime algérien, dit que seule la gauche est idéologique. Elle associe (...)
Accueil > Mots-clés > Critique & débat > Afrique, Monde Arabe, islam, Maghreb, Proche-Orient,
Afrique, Monde Arabe, islam, Maghreb, Proche-Orient,
Articles
-
Algérie : attentats idéologiques contre les vulnérables et les laborieux.
17 octobre 2013, par Azouz Benhocine -
30 ans qu’un 5 octobre brisa la pensée unique en Algérie, quel héritage ? 1ère Partie
23 septembre 2018, par Djamel Damien BoucherefLe 5 octobre 1988, quoique penseront les ignominieux de la mémoire du peuple qui a fait de cette date un symbole de la transformation en Algérie, est gravé comme le soulèvement des oubliés de l’indépendance. C’est pour cela que ceux qui vivaient dans les rouages, s’exprimaient librement et dominaient leurs prochains, sans se soucier des censurés, des exclus et les continuellement traqués par la terrible SM (ancêtre du DRS), ne croient pas au fait indéniablement historique...
Pour (...) -
Bouteflika doute de la sincérité d’Ennahdha de Tunisie
21 novembre 2013, par Azouz BenhocineLes autorités algériennes et à leur tête Bouteflika commencent à s’angoisser de la situation de leur voisin la Tunisie. Le processus de transition que Mancef Marzouki ne semble pas bien piloter et encore moins l’arbitrer, suscite et engendre de l’insécurité. Avec un effet inéluctable dans la région, que le principal voisin tente de mieux appréhender, l’Algérie est conséquente de son expérience.
A son retour en Algérie après sa maladie du 17 avril, Bouteflika a eu à recevoir, lors de ses (...) -
Pour addiction au trône, Bouteflika est devant un inexpugnable printemps algérien
27 février 2019, par Djamel Damien BoucherefEn sédition, une bonne majorité d’Algériens pensent à la situation sécuritaire. Un préalable, au temps où avec le peuple a l’envie folle de faire face aux autocrates. Ce qui nécessite la force. La paix est certainement menacée par l’escient embusqué sous le minaret où convergent les truands convertis. Les croyants utilisés au banc d’essai pour l’escalade obscurantiste, n’ont pas besoin de plus ou mieux d’organisation.
Mais si, le printemps algérien a son besoin vital d’être bien agencé. (...) -
Le rêve d’une bonne croissance échappe à l’Algérie contentée par la rente pétrolière
29 janvier 2019, par Djamel Damien BoucherefL’Algérie a ruiné son économie publique, la vague libérale qui parle toujours de réformes n’a plus honte de vouloir privatiser des transports utiles aux plus démunis de la population. Et même certains services de l’Etat, aujourd’hui pléthoriques, peuvent un jour làcher, pour être plus chers et payants. Pour le secteur privé, il faut avoir un parrain pour être protégé de la bureaucratie qui s’adonne au racket. Au regard des problèmes du leader africain, Cevital, dans son bercail, l’économie (...)
-
Le plus grand tapis persan au Monde pour la mosquée d’Alger
15 septembre 2015, par Djamel Damien BoucherefLe plus grand tapis couvrant le sol d’une mosquée dans le monde a également été fait en Iran. Actuellement celui qui couvre une esplanade de 5700 mètres carrés dans la mosquée à Abu Dhabi, est le seul à détenir de telles dimensions inégalées. Selon l’agence iranienne d’informations "IRNA", celui qui aura plus de 10.000 mètres carrés, sera confectionné pour la Grande Mosquée en construction à Alger. Et il bàtera donc le record retenu par le "Guiness" de 2012.
Le chaos déclaré au coût (...) -
Nouvelle agence du renseignement dirigée par le clan Bouteflika
27 janvier 2016, par Djamel Damien BoucherefSelon Reuters, Bouteflika a créé une nouvelle agence pour les puissants « services secrets » algériens. Elle est rattachée à la présidence. C’est un sujet qui peut relever de la spéculation, aucun détail comme la dénomination ou bien son organigramme n’a été donné. On ne parle pas de terrorisme et d’espionnage externe, les deux mains intérieure et extérieure, qui habituellement font le pain sur lequel planche la police militaire. On ne s’imagine pas un pays sans une telle institution, (...)
-
Des révisions constitutionnelles factices comme réponse aux jeunes épris de bien-être.
12 mars 2011, par N.E. TatemL’habitude de répondre aux évènements sociaux qui secouent les régimes de nombreux pays, sinon de la totalité, par la création de « commissions d’enquêtes » ne semble plus tenir face à la déferlante populaire du printemps arabe. Les constitutions des pays arabes sont finalement des illuminations décoratives, et non des législations régulant les codes qui leurs sont des dérivations et des extensions juridiques subalternes.
Si les manipulations de ces super-lois servent à dévier les (...) -
NOUVELLES PREUVES QUE LE QATAR EST DERRIERE LES ARMES CHIMIQUES EN SYRIE.
7 septembre 2013, par Gros EmileCertains journalistes et commentateurs se demandent où est passé le Qatar dans la controverse du projet d’agression de la Syrie par la France et les USA sous prétexte de sanctionner le régime de Bashar Al-Assad pour usage d’armes chimiques contre les rebelles ? En effet l’Arabie Saoudite s’affiche ouvertement parmi les pays arabes, mais pas le Qatar qui habituellement jouait dans la sphère des grands. Qu’en est-il de cette absence douteuse ? Le silence de cette monarchie à qui tout est (...)
-
Depuis 2012 le SNMG en Algérie : syndicats autonomes désarmés et UGTA au pas
19 octobre 2018, par Djamel Damien BoucherefDepuis des années que les salaires sont gelés en Algérie. Le pays continue, à coup de décrets, faisant aligner la plus basse rémunération du secteur privé à celle étatique, communément le SNMG. Même si la dernière législation du "code du travail" date de 2015, devait changer la valeur du travail, c’est depuis 2012 que les salariés n’ont pas vu de revalorisation de leurs revenus. Fixé à 18 000 DA par mois, y compris certains employés du secteur public, des corps communs, ne l’ont pas (...)