Ali Arrass, jugé au Maroc depuis le 29 avril 2001, est au cÅ“ur d’une affaire qui à elle seule reflète, toutes les discriminations institutionnelles dont sont victimes certains européens. Les Roms ou bien les beurs, les premiers sont européens depuis des siècles et les seconds descendants d’émigrants originaires d’origine africaine et maghrébine, sont totalement exclus des activités sociétales et moins couverts dans leurs droits...
En effet Ali Arrass est à l’image, de la situation (...)
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Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Articles
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MAROC : Ali Arras à l’ombre de la citoyenneté déclassée €¦
28 avril 2011, par Gros Emile -
2è CONTRIBUTION : La #RDN est une marche, sans répit ni conflit, du progrès
24 avril 2019, par N.E. TatemNous vous proposons à la fin de cet article, une bien importante analyse du "Hirak en Algérie". Elle ne s’alimente d’aucun complexe. Et mérite d’être consultée pour la valeur de son exposé, assez coordonné dans les éléments du contexte régional et mondial. Ni même celui de vouloir élargir, comme prendre les vessies pour des planètes géantes, le rayonnement de ce mouvement social sur les affaires du Monde, par le fait d’en parler, agrandit comme la loupe... Ce qui lui vaut "le pesant d’or" (...)
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Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien BoucherefQuelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.
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2è partie : essentiel de l’interview de Tebboune, point par point.
2 avril, par Djamel Damien BoucherefL’emprise de la bureaucratie des énarques en Algérie s’est érigée en héritage du pouvoir absolu des nationalistes de l’indépendance. Aussi bien les premiers mis au service des seconds n’ont pas, les deux générations, mis en érection la "nation en formation". Le pays plongé dans une malédiction maladive, que de prétentieux présidents se placent en conscience des humains, donnant aux citoyens des retards économiques, des fanatismes religieux, des psychologies collectives ringardes et criminelles... La fabrique qui a engendré Tebboune persiste dans une culture ténébreuse.
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Les drones , une nécessité sécuritaire urgente, pour l’immensité de l’Algérie
9 janvier 2019, par Azouz BenhocineLes experts croient que l’Algérie a considérablement élargi sa flotte d’engins aériens sans pilote (UAV = unmanned aerial vehicle signifiant : véhicule aérien sans humain) et tente de l’adapter ou la faire correspondre à sa propre sécurité. Elle exploite à présent plusieurs aéronefs acquis de divers horizons. Puisque la technologie est éparpillée selon des petites « Start-Ups » qui peuvent se trouver n’importe où, les fournisseurs sont petits et de partout. Des équipements viennent des (...)
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La candidature Haftar en Libye répond à l’exigence d’urgence sécuritaire.
3 mai 2019, par Azouz BenhocineC’est le moment le plus crucial, depuis la chute et le lynchage du despote Kadhafi. Le général Khalifa Haftar engage une bataille pour contrôler la capitale, restée entre les mains de milices depuis 2011. Même si un gouvernement, reconnu par ce qui est la communauté internationale, siège à Tripoli, des factions de civils armés tiennent la sécurité, gèrent les sources de richesses et se partagent les pouvoir des institutions. La marche forcée du militaire vient pour remplacer le processus (...)
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La duperie contradictoire, du système prédateur de la rente en Algérie, enfin H.S.
4 avril 2019, par Djamel Damien BoucherefPeut-on analyser la remise en cause du pouvoir de Bouteflika en Algérie, par la protestation populaire, comme les réformes des pays de l’Est européen ? Eh ben, c’est non. Le pays a déjà connu ce changement idéologique en 1988. Ne pas se présenter, à un 5ème mandat, est une phase de négociations qui se sont poursuivies par un report du vote puis de placer un nouveau exécutif...
Le plus lamentable de la sortie du pouvoir, pour un diplomate renommé mais supplétif d’un système autocratique (...) -
Algérie : présidentielles 2014 en trompe-l’Å“il
12 novembre 2013, par Azouz BenhocineVolé au peuple algérien, le sigle « FLN » fut l’appareil de surveillance idéologique mise en branle contre le peuple après l’indépendance. Les « kasmates » aiguillonnaient les services de sécurité. Mais c’est encore une grosse machine à gagner les élections. Elle aurait des bataillons de militants, motivés d’opportunisme en s’alignant derrière les filières abreuvées de la rente nationale.
Selon une dépêche de l’APS du 9 novembre 2013, le parti FLN, rajoutant une usurpation, a demandé (...) -
Son 5è mandat impopulaire, Bouteflika passe 8 jours de soins à Genève !
2 mars 2019, par Djamel Damien BoucherefAlors que le dernier séjour pour hospitalisation de Bouteflika, à Genève en Suisse, demeure dans le grand secret, les mauvaises sources d’informations à Alger s’adonnent à des spéculations infondées, voire farfelues. Notamment d’un changement inutile, voire inopportun même et dont l’urgence n’est guère avérée, de membres du gouvernement...
Au 2 mars 2019, cela fait 7 jours que le président algérien se fait soigner En Suisse. Et pour la première fois, depuis son arrivée en (...) -
Le verdict pour Merzoug Touati est annulé, mais il reste en prison et sera rejugé
25 janvier 2019, par Djamel Damien BoucherefSelon une dépêche de l’AFP du 24 janvier 2019, prenant source de l’avocat du blogueur Merzoug Touati, un tribunal a annulé, ce jour même, la peine de 7 années d’emprisonnement infligée à son client. Il est dans l’attente d’un nouveau procès, a déclaré Salah Dabouz son défenseur.
En avril 2018, le tribunal de Ghardaïa a condamné huit personnes, toutes d’origine africaine, à 10 ans de prison pour espionnage au profit d’Israël. Nous avons relaté l’information qui paraissait (...)