Il est étonnant qu’un 1er mai, apparaissent les black-blocs et que l’expert observateur assigné par la plus haute autorité, n’ait pas donné son rapport d’expertise à propos de ces casseurs habillés, cagoule comprise, en noir. Le bagarreur viendrait peut-être tenir-tête aux hyper-violents, parmi les manifestants. En journée consacrée à une commémoration réservée à la classe ouvrière, prennent rendez-vous pour le saccage de ce qui est désigné comme signes du capitalisme, des jeunes bien (...)
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En France, un professionnel pour tabasser ceux qui manifestent un 1er mai
2 août 2018, par Jaco -
3 mai en Algérie, 4è pouvoir réduit en vassaux larbins.
7 mai 2023, par Djamel Damien BoucherefEn Algérie le poids de ce qui est le conservatisme social et religieux qui était qualifié en "réactionnaire", est alourdissant de l’acte d’informer ou d’expliquer les faits. Les reporters du terrain, surtout les localiers du pays profond, n’ont pas l’entière liberté de cerner et traiter les thèmes ayant trait à la sexualité ou au dogme religieux. La censure est administrative et judiciaire. Puis les ignorants qui ont la parole dans méandres des institutions assument les missions des censeurs.
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L’an 2013 dans l’Å“uvre magique de Jack London
15 avril 2013, par N.E. TatemJack London s’est fait connaître par sa littérature haletante, où l’art de raconter des histoires a pour timbre le chaos. Un savoir-faire qui a fait admirer des intrigues aux rebondissements coordonnés, dont on ne prend guère congé, avant d’en arriver au bout du dénouement.
Parmi ses romans, il y a un qui, déjà par sa forme insolite, peut être apprécié comme une longue nouvelle. Et par son contenu qui a trait à l’actualité de 2013, il s’arroge malgré nous, la richesse évidente qui lui (...) -
L’Algérie manifeste 2 fois pour décanter les volontés de changement et d’Anti-5è mandat
25 février 2019, par Djamel Damien BoucherefAu lendemain des manifestations en Algérie, l’avidité, des moindres réactions, est grande. Les autorités, comme les militaires, redoutent l’enlisement. Mais l’emprise du clan de Bouteflika sur les affaires et les centres de décision, laisse de marbre les responsables de toutes les sphères. Les politiciens ; du régime avec ses pseudos opposants, complètement en faillite et embarrassés, n’osent même pas exprimer le bémol qui amoindrirait la colère collective.
A deux reprises, les (...)