Une faramineuse mosquée pour on sait quel prestige, car celui de l’Algérie est usurpé et celui de l’islam est désintégré. Puis 4 mandats que la soif du pouvoir justifie à celui qui a finalement brisé la démocratie et ouvert la porte aux associés des « kleptocrates ».
Le président Bouteflika a fait l’exception, de 4 mandats, alors qu’il avait hérité d’une constitution autorisant 2. L’armée ne peut rien contre le rusé et redoutable diplomate qui a lui-même promulgué le bi-présidentiable, (...)
Accueil > Mots-clés > Monde, international, relations entre pays > Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Articles
-
Le divorce de la société civile et des institutions, en Algérie, arrange les aventuriers...
17 septembre 2017, par Djamel Damien Boucheref -
La mobilité des groupes terroristes, où le syndrome irakien au Maghreb
22 juin 2014, par N.E. TatemL’Algérie est parmi les Etats qui actuellement ont élaboré et identifié, la tactique du combat antiguérilla. Celle qui réponde d’une manière appropriée au mode de frappe et de mobilité terroristes. Parachevée depuis l’intervention de Tiguentourine (In-Amenas), elle consiste à obstruer tous les échappatoires d’un positionnement de terroristes. La reddition ou bien le suicide !
Les frappes par voie aérienne se sont dans toutes les guerres considérées avantageuses, mais une fois suivies de (...) -
Noirs et berbères, 50 000 habitants de Tawargha en Libye, privés depuis 2011 du retour...
20 août 2018, par Gros EmileDes témoignages récents ont rapporté que le retour des habitants de la ville de "Tawargha" à leurs domiciles n’est toujours pas possible. Au nombre avoisinant les 40 000 àmes (ou plus), cette population, exclusivement noire, a fui ses maisons pendant la guerre civile libyenne. Une expulsion collective due au soutien et à l’enrôlement dans les forces pro-Kadhafi, lors de la bataille de Misrata dont la population a suivi les rebelles. Tawargha est située à quelques kilomètres de la 3ème (...)
-
Un code pour la marchandisation du travail en Algérie €¦
5 septembre 2014, par Azouz BenhocineLes droits sociaux des travailleurs sont détricotés par le projet de code du Travail en Algérie à l’étude actuellement. Une nouvelle législation sur les relations (employeurs-salariés) de travail est sqoumis à l’assemblée nationale, mais peu de réactions... L’Adhésion du pays à l’OMC s’effectue finalement dans la douleur, avec de lourdes régressions sociales. Il est indéniable qu’il y a un lien, entre le nouveau code présenté à la session ordinaire des députés, ouverte le 2 septembre, et (...)
-
De quelle sécurité l’Algérie a toujours de vrais tracas ?
22 septembre 2015, par Djamel Damien Boucheref4 personnages majeurs du terrorisme qui sévit encore en Algérie sont dans l’actualité du pays, mais les "Unes" des médias se consacrent au départ à la retraite, à 77 ans, du général Toufik lors d’une vraie opération de neutralisation de l’armée, par le président surmontant l’image d’un handicapé. Cette dernière a pour point d’accord, la réforme des services secrets et un mouvement aux postes de responsabilité des appareils de la défense. Le chamboulement des rouages de l’ANP (Armée (...)
-
Le Printemps Arabe, gravement atteint d’une ingérence qui ne dit pas son nom !
26 juin 2011, par Hugo MastréoPour le départ du despote Kadhafi, qui préparait ses deux fils à lui succéder, l’ingérence des pays occidentaux tourne à une déconfiture. Le démoniaque dictateur sait que les victimes collatérales, dans un conflit où les armes se substituent à la stabilité sous le joug d’une caricaturale « pseudo-Djamahirya », finiront par être son argument.
Les insurgés qui combattentKadhafi, ne savent plus où donner de la tête, après 6 mois de vains combats. Il se cramponne au pouvoir. Le congrès (...) -
Algérie : le repenti primé à Cannes
28 mai 2012, par N.E. TatemC’est avec ces propos que le précurseur du cinéma social algérien, Merzak Allouach, a répondu au journaliste de RFI, après que son film « Le Repenti » a été disntingué au festival de Cannes 2012 : « Aujourd’hui, les cinéastes arabes ont un devoir d’engagement dans leurs films. Un cinéaste arabe ne peut pas raconter une histoire d’amour comme ils faisaient les Egyptiens dans les années 1930, en occultant la société €¦ »
Quand « Omar Gatlatou Erradjla » révéla le talent de Merzak (...) -
A Batna, la colère citoyenne des Amazygh des Aurès
21 mars 2014, par N.E. TatemInutile aussi, de revenir AUX ARROGANTES insultes, pour les valeureux Berbères de l’Est algérien "LES CHAOUIS" de Sellal (ex-chef du gouvernement, passé directeur de campagne pour le convalescent) BOUTEF qui "AUTHENTIQUE", ce dernier, ne peut pas tenir debout.
Abdelmalek Sellal - عبد الـمالك سلال s’est justifié et dit user d’ironie et de satire. Mais ce sont bien les propos de la "MEDIOCRATIE" et de la "VOYOUCRATIE" qui gouvernent depuis l’indépendance !
L’expression (...) -
Yasmina Khadra, l’écrivain aux galons d’or.
22 janvier 2009, par N.E. Tatem... malgré cette donne, de domestication, d’être en poste au bercail de la francophonie par rapport à d’autres, comme une offre du système honni par ses semblables, il fait l’équilibriste entre agacement et servir le régime obscur.
« Si tu veux connaître la culture d’un peuple, consulte ses savants, ses hommes de culture et ses officiers militaires. »
Une plume comme un scalpel, légère, frêle, aiguisée et souvent acerbe, ce qui lui arroge une puissance de pénétration. Elle accouche (...) -
Si l’université est malhonnête, quelle crédibilité pour les diplômes d’Algérie ?
15 novembre 2016, par Djamel Damien BoucherefIl est connu que la corruption est avide de se remplir ses comptes bancaires, en rendant la vie difficile aux citoyens et en particuliers aux entrepreneurs. De son côté la médiocrité, gênée de l’intelligence et de la compétence, s’adonne à des agissements répressifs pour écarter ceux qui à la longue deviennent embarrassants. Ces deux abominables usages sont tellement fréquents en Algérie, au point de toucher les milieux universitaires où les diplômes font l’objet d’une razzia avec un (...)