L’Algérie a ruiné son économie publique, la vague libérale qui parle toujours de réformes n’a plus honte de vouloir privatiser des transports utiles aux plus démunis de la population. Et même certains services de l’Etat, aujourd’hui pléthoriques, peuvent un jour làcher, pour être plus chers et payants. Pour le secteur privé, il faut avoir un parrain pour être protégé de la bureaucratie qui s’adonne au racket. Au regard des problèmes du leader africain, Cevital, dans son bercail, l’économie (...)
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Articles
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Le rêve d’une bonne croissance échappe à l’Algérie contentée par la rente pétrolière
29 janvier 2019, par Djamel Damien Boucheref -
Disparition de la monnaie en Algérie : une gabegie économique ?
4 août 2020, par Djamel Damien BoucherefDiscrétement, l’Algérie autorise les premiers produits financiers islamiques des banques d’État. Parce qu’ils ne représentent pas les pans forts de l’économie. Mais s’occupent des secteurs informels qui restent incontrôlables par la fiscalité.
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2è CONTRIBUTION : La #RDN est une marche, sans répit ni conflit, du progrès
24 avril 2019, par N.E. TatemNous vous proposons à la fin de cet article, une bien importante analyse du "Hirak en Algérie". Elle ne s’alimente d’aucun complexe. Et mérite d’être consultée pour la valeur de son exposé, assez coordonné dans les éléments du contexte régional et mondial. Ni même celui de vouloir élargir, comme prendre les vessies pour des planètes géantes, le rayonnement de ce mouvement social sur les affaires du Monde, par le fait d’en parler, agrandit comme la loupe... Ce qui lui vaut "le pesant d’or" (...)
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Causes de la dérobade de l’Algérie à la CIJ avec l’Afrique du Sud.
22 février, par Djamel Damien BoucherefL’Afrique du Sud a défié les États-Unis ou les nombreux Occidentaux, en portant la question palestinienne devant la Cour internationale de Justice « CIJ ». Principalement parce que c’est un pays crédible et démocratique. Incontestablement, il est en conformité à son histoire et ses moult avancées dont les brillantes universités et sa médecine avancée, sans tenir compte de ses luttes humaines auxquelles est menée une loyauté.
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Son 5è mandat impopulaire, Bouteflika passe 8 jours de soins à Genève !
2 mars 2019, par Djamel Damien BoucherefAlors que le dernier séjour pour hospitalisation de Bouteflika, à Genève en Suisse, demeure dans le grand secret, les mauvaises sources d’informations à Alger s’adonnent à des spéculations infondées, voire farfelues. Notamment d’un changement inutile, voire inopportun même et dont l’urgence n’est guère avérée, de membres du gouvernement...
Au 2 mars 2019, cela fait 7 jours que le président algérien se fait soigner En Suisse. Et pour la première fois, depuis son arrivée en (...) -
Le brainstorming, des militaires décideurs, doute d’un 2e mandat à Tebboune.
14 mars, par Djamel Damien BoucherefQuelle signification aux votes en Algérie, où les bourrages des urnes, comme le 12/12/2019, empêchèrent le « fascislamiste » Bengrina qui a vraiment précédé quatre autres candidats, de présider au destin du pays. Pour éviter une autre reculade, que celle des cinq dernières années, une partie des chefs de l’armée ne désire pas prolonger le règne de Tebboune. Le président ne permet pas aux élites d’exister, car dépassant sa déroutante médiocratie, ce qui les exclut les meilleurs cadres de la nation. Le débat sur un second mandat au chef de l’État est bien omniprésent, parmi les opinions qui expliquent les enjeux sur l’avenir du pays.
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Tebboune interviewé sur bilan et convoitise du second mandat.
1er avril, par Djamel Damien BoucherefLa dernière interview, du président Tebboune, avec deux représentants de la presse algérienne, peut-être qualifiée, à la fois en bilan du premier mandat et de déclaration d’une éventuelle candidature aspirant à briguer une nouvelle volonté d’être au prochain scrutin. L’apparence d’un épilogue du parcours réalisé depuis 12/12/2019 s’émulsionne avec ambivalence avec un programme électoral, ce qui est le propre des indécis et des embarras que couvent les hautes sphères du pouvoir.
Seconde partie : Les sujets des clients systémiques et le mépris de la citoyenneté.
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La "nouvelle Algérie" mutile le contrat social de la lumière progressiste.
18 janvier, par Djamel Damien BoucherefL’armée est l’un des principaux acteurs du système politique algérien, mais une catégorie des activistes du Hirak a voulu renverser ce système. La corruption des officiers et le rôle de l’institution militaire dans la répression des libertés accentue le divorce des citoyens avec un appareil qui ne contrôle guère les sources des maux, comme les mosquées et les tribunaux. Les profiteurs de la "nouvelle Algérie" voient la "main étrangère" et se mobilisent contre les kabyles, les femmes, les journalistes, les francophones, les scientifiques, les démocrates, les laïcs et les artistes qui ne respectent pas les traditions obsolètes et réactionnaires !
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Les ambitions de l’UA via l’émergence d’entités régionales.
10 janvier, par Hugo MastréoL’ambitieux Agenda 2063 qui vise à faire de l’Afrique un espace prospère, intégré et uni, n’a pas connu beaucoup de travail théorique. Pourtant, les sujets ne manquent pas et l’ensemble du continent est confronté à de nombreux défis. Des problèmes liés à la pauvreté, aux inégalités, au changement climatique, aux conflits et à la corruption des bureaucrates ainsi que les élus par le peuple, semblent être insurmontables. En parler et revenir aux fondamentaux méritent des rappels des objectifs communs.
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Professeur en Algérie, Mira Moknache harcelée par la justice du téléphone.
16 février, par Djamel Damien BoucherefUne nouvelle insulte politisée est en vogue en Algérie. Elle est généralement proférée, par les partisans du régime "militaro-bureaucratique", exprimée à l’égard des opposants qui ne voient pas de perspectives à leur patrie. Espèces de "normalisateur", sous-entendu avec Israël. Ou bien "vendu de soutien à Amira Bouraoui". Elle résonne comme serviteur, anciennement harki, de la "main étrangère", exprimée en traîtrise. Mais elle sert seulement aux adeptes et clients du pouvoir de Tebboune, pour accabler les citoyens qui rejettent le monopole des successeurs des nationalistes. Que sont les issus de l’ENA, chevronnés en bureaucratie et ayant déjà été larbins des corrompus faux-moudjahidine de la libération.