Les mesures répressives contre la société civile en Algérie, et les restrictions des déjà modiques espaces de liberté d’expression, sont l’œuvre des bureaucrates qui étaient au service des anciens moudjahidines de la libération. Ils sont actuellement sous le parrainage de l’armée qui a toujours intervenu, avec récurrence, pour redresser les dommages populistes des civils sur les institutions comme le recrutement des prêcheurs du terrorisme islamique.
Accueil > Mots-clés > Monde, international, relations entre pays > Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Articles
-
Après les maquisards en Algérie, l’armée encadre de véreux bureaucrates.
5 juillet 2023, par Djamel Damien Boucheref -
Pour renégocier ses contrats le pétrole algérien doit réviser ses lois...
16 avril 2017, par Azouz BenhocineAu cours de la seconde semaine d’avril 2017, les autorités algériennes ont discuté avec leurs partenaires européens sur les questions énergétiques. A la veille de l’arrivée à échéance, en 2018 et 2019, des principaux accords d’échanges de gaz, le ministre de l’Énergie Nourredine Bouterfa était devant toute l’union européenne pour un nouvel marathon de négociations. Avec plusieurs pays européens, les clients potentiels ou de l’ensemble continental, la remise en cause de la position de (...)
-
Libye : pression, pour l’unité nationale, sur de belliqueux voisins
2 novembre 2015, par Azouz Benhocine3ème réunion du genre pour pister une solution à la crise libyenne. Les deux précédentes ont eu lieu au Caire le 7 Juin et une autre à Rome le Avril 8. Depuis la chute de Kadhafi en 2011, aucun projet de renaissance ne caractérise l’épisode du "Printemps Arabe" de ce pays d’Afrique du Nord. Trois des quatre pays subissant, par la mitoyenneté géographique et sans la Tunisie, désirent endiguer les effets de cette déstabilisation. Ils se sont déjà rencontré à deux reprises. L’Algérie, (...)
-
2 ans que le Hirak cherche à réformer les élites en Algérie.
18 février 2021, par Djamel Damien BoucherefLes manifestations du Hirak, en Algérie, se sont réduites depuis mars 2020, à cause de la pandémie du COVID-19. Une aubaine pour le pouvoir de maintenir ses acteurs et son système. Ce qui le pousse aussi à accentuer la répression. Mais sa survie est assurée par des bureaucrates corrompus ayant servis à exclure les jeunes bien formés et les universitaires qui protestent.
-
Les 100 jeunes algériens de Red-Oasis seront-ils des ambassadeurs ?
3 mai 2015, par Djamel Damien Boucheref100 jeunes algériens vivants à l’étranger ont bénéficié jusqu’au 3 mai 2015, d’un voyage de 8 jours à Timimoun. Dans un manque de transparence telles que le sont les pratiques du sérail, cette excursion de membres de la communauté exilée n’a pas suivi les pratiques du réseau associatif qui se faisait quelques fois sollicité...
Le népotisme des rouages algériens, voire de tout le régime politique né après l’indépendance et présentement celui de Bouteflika dont les suites sont une (...) -
Etats-Unis et France : plus de visiteurs du sondage sur présidentielle 2019 en Algérie
3 janvier 2019, par Djamel Damien BoucherefNous sommes en 2019, année d’une élection présidentielle en Algérie. Après 20 ans de règne dont l’illégalité n’est plus à démontrer, Bouteflika s’en passe de respecter l’élite nationale. La dignité, de nombreuses composantes de la classe politique et de la société civile est abaissée, par ce qui se passe dans ce pays. Les exclusions continuent. Et le clan familial tenant la présidence, comme une proie aux griffes de prédateurs, oublie ceux qui se jettent à la mer pour fuir leur patrie. (...)
-
L’Algérie prise par la sinistre médiocrité qui se radicalise sur tous les fronts.
8 octobre 2019, par Djamel Damien BoucherefEcouter l’article. Le huis-clos que les autorités, illégitimes en Algérie, imposent à leur peuple, s’aggrave avec le 33éme mardi des étudiants. A propos des campus, il y a une vérité qu’il ne faut pas occulter, les plus dynamiques sont emprisonnés. Ou bien, d’autres ont préféré rester en retrait, surtout de ne pas croiser les policiers ou de se montrer dans les images des médias en général.
Non ! Mr Boukadoum, une député française a le droit de manifester en Algérie, solidairement avec (...) -
Le délire de la "Ligne Rouge" pour que l’armée impose son président en Algérie !
18 août 2019, par Djamel Damien BoucherefUn slogan résonne à Alger, comme un refrain de liberté. Il dit sa vérité absolue et celle de la rupture avec les échecs du passé. « Un État civil et non militaire », que cela agace les forces de sécurité qui ont tenté maintes fois de disperser la foule de la Grande Poste et de la place Maurice Audin, la brutalité, qui a causé la mort de plus de 125 jeunes berbéristes sous Bouteflika, ne doit pas être institutionnelle. Qui parlerait donc au nom d’un peuple qui en veut aux auteurs des (...)
-
Burkini, fondation pour l’islam et cruauté terroriste, indissociables dans un débat incomplet.
18 août 2016, par N.E. TatemLes musulmans de France, devant l’énormité des dégàts prêchés par une théologie criminelle, cherchent à se démettre d’accablantes barbaries qui activent l’islamophopbie. Souvent évoqués comme des intrus parmi une société largement sécularisée par la laïcité et tous les leviers de modernité, ces croyants ne séduisent pas quand ils brisent leur silence. Mais aussi quand se taisent les paroles de ceux qui héritent, sans l’avoir choisie, une religion, au détriment même de leur athéisme avéré, (...)
-
Lourde peine au journaliste Drareni, après mouvement des magistrats.
10 août 2020, par Djamel Damien BoucherefC’est Khaled Drareni qui a été traité de "Khaberdji" par le president Abdelmadjid Tebboune. Le terme a été compris en insulte d’un raïs envers un jeune citoyen exerçant le métier des vérités et des interprétations de l’actualité.