Voici l’image réelle de ce qui passe avec la détérioration du prix du dinar en échange avec l’euro. Le taux de change officiel permettait de vendre un euro pour 145 dinars algériens, ce qui se passe chez les services bancaires. Alors que le même jour, les cambistes vendaient un euro pour près de 241 dinars sur le marché noir, soit 66 % de plus que le taux de change officiel. À ce sujet, nous vous proposons lecture de cette situation qui se répète bien souvent, avec des cycles improbables.
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Lors de fuite des capitaux, le prix du dinar algérien s’effondre.
17 février, par Azouz Benhocine -
Professeur en Algérie, Mira Moknache harcelée par la justice du téléphone.
16 février, par Djamel Damien BoucherefUne nouvelle insulte politisée est en vogue en Algérie. Elle est généralement proférée, par les partisans du régime "militaro-bureaucratique", exprimée à l’égard des opposants qui ne voient pas de perspectives à leur patrie. Espèces de "normalisateur", sous-entendu avec Israël. Ou bien "vendu de soutien à Amira Bouraoui". Elle résonne comme serviteur, anciennement harki, de la "main étrangère", exprimée en traîtrise. Mais elle sert seulement aux adeptes et clients du pouvoir de Tebboune, pour accabler les citoyens qui rejettent le monopole des successeurs des nationalistes. Que sont les issus de l’ENA, chevronnés en bureaucratie et ayant déjà été larbins des corrompus faux-moudjahidine de la libération.
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Mocro-mafia, terreur des truands du cannabis du Maroc en Europe.
14 février, par Rebel KazimirProfitant de la proximité avec l’Espagne dont la diplomatie du chantage aux migrants, les trafiquants marocains, de stupéfiants variés, disposent d’une solide infrastructure portuaire dans la monarchie dont ils sont des citoyens enrichis. Des moyens personnels, maritimes et commerciaux sont mis en action avec leur présence principalement à Malaga, Barcelone, Melilla ou Marbella ainsi qu’auprès de nombreux pays d’Europe.
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La "nouvelle Algérie" mutile le contrat social de la lumière progressiste.
18 janvier, par Djamel Damien BoucherefL’armée est l’un des principaux acteurs du système politique algérien, mais une catégorie des activistes du Hirak a voulu renverser ce système. La corruption des officiers et le rôle de l’institution militaire dans la répression des libertés accentue le divorce des citoyens avec un appareil qui ne contrôle guère les sources des maux, comme les mosquées et les tribunaux. Les profiteurs de la "nouvelle Algérie" voient la "main étrangère" et se mobilisent contre les kabyles, les femmes, les journalistes, les francophones, les scientifiques, les démocrates, les laïcs et les artistes qui ne respectent pas les traditions obsolètes et réactionnaires !
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Les ambitions de l’UA via l’émergence d’entités régionales.
10 janvier, par Hugo MastréoL’ambitieux Agenda 2063 qui vise à faire de l’Afrique un espace prospère, intégré et uni, n’a pas connu beaucoup de travail théorique. Pourtant, les sujets ne manquent pas et l’ensemble du continent est confronté à de nombreux défis. Des problèmes liés à la pauvreté, aux inégalités, au changement climatique, aux conflits et à la corruption des bureaucrates ainsi que les élus par le peuple, semblent être insurmontables. En parler et revenir aux fondamentaux méritent des rappels des objectifs communs.
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Théâtre... libertés et exil dans la nouvelle Algérie !
1er janvier, par Nacer Djabi, populiscoopNous publions pour nos lecteurs d’Algérie, cet article du professeur de sociologie Nacer Djabi, qui a démissionné en 2017 de l’Université d’Alger. II est chercheur au Centre de recherche en économie appliquée et développement (CREAD) et plusieurs publications sur les questions majeures à la société dont le syndicalisme, la mémoire, la culture « amazyghe » et bien d’autres sujets cruciaux pour l’opinion générale. De ses articles sur les médias, le dernier sur le théâtre dans un pays prétendument en transition vers l’émergence dans une suffocante atmosphère asphyxie des expressions et des libertés démocratiques.
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Budget 2024 en Algérie, année d’élection où l’aubaine aux parasitaires.
28 décembre 2023, par Djamel Damien BoucherefLe président A. Tebboune, accompagné de deux militaires pour "annoncer candidat" de l’armée n’a aucun opposant à lui mettre un éclairage sous la rampe des lumières qu’il monopolise dans les médias. Il convoite un second mandat dans un climat de terreur et d’agglutinement des franges rentières qui le soutiennent contre moult privilèges. Une croissance de 4.2% reproduit le précédent exercice mis, mais plus d’obstacles s’érigent avec la clarté qui s’assimile de cinq années de gouvernance à tâtons !
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Algérie : le FMI voit l’inflation ancrée et des réformes improvisées.
19 décembre 2023, par Azouz BenhocineL’économie algérienne est des plus vulnérables aux effets du changement climatique. Les récentes sécheresses l’ont amplement illustré avec les besoins en farine. A l’inverse, à moyen terme, les perspectives économiques se corrigeraient avec des réformes, allant à la diversification de l’économie, en vue de réduire la dépendance vis-à-vis du secteur des hydrocarbures. Pour créer une croissance forte et durable, qui pourrait être génitrice d’emplois, les secteurs spéculatifs doivent être remplacés par des opérateurs producteurs de richesses.
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Algérie, réforme des élites ratée avec le Hirak, la jeunesse va à la cocaïne.
18 décembre 2023, par Djamel Damien BoucherefD’après l’experte de l’ONU qui a diffusé un communiqué de presse, dont nous donnons copie, les restrictions persistantes imposées aux défenseurs des droits humains compromettent les réformes sociales. Ces dernières n’arrangent les rentiers du modèle qui s’est ancré avec les années de violence pratiquée par des nationalistes ayant, en 1988, mobilisé même le pire terrorisme, apparu contre le communisme en Afghanistan. Le volet économique sera traité dans notre prochain sujet...
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Le POLISARIO revendique les attaques sur Smara du 29 octobre 2023.
4 décembre 2023, par Rebel KazimirLe conseil de sécurité de l’ONU proroge le mandat de la MINURSO jusqu’au 31 octobre 2024. Alors que son débat de fin octobre 2023 a été d’une discussion rarement si profonde. En effet, au même moment de la tenue de cette réunion, le mouvement indépendantiste du POLISARIO a frappé de quatre explosions, en procédant à des lancements de projectiles, sur des zones de la ville de Smara, située au cœur du Sahara en guerre dans le nord-ouest africain.