Première Tatemerie/

DE VRAIS EMIGRANTS CHOISIS SONT ARRIVES

5 OURS SLOVENES SUSCITENT UNE TOLLEE 

Les QUATRE premiers, sur cinq bénéficiaires du statut d'émigrants choisis, sont déjà passés au travers des frontières. Que cela agace les détracteurs de la nouvelle législation française en la matière et déplaise aux partisans d'une autre façon d'hospitalité envers des étrangers en l'hexagone. Quatre nouveaux hôtes, après avoir été soumis à une rigoureuse sélection, ont déjà bien, et sans titre, débarqué en France.

Aucun être de cette vague n'a obtenu de visa. Ni celui octroyé par une ambassade ou un consulat français, et encore moins celui d'entrée dans l'espace Schengen, parce qu'ils ne sont pas concernés par ce dernier. Ils sont européens et viennent de Slovénie. Ils ne sont pas plombiers, ni gardiens d'immeubles ou ramasseurs d'ordures. Leur tâche unique, habiter et se multiplier après que leur existence a été éradiquée.

Les animadversions locales ne sont pas restées sans réactions devant cette intrusion. Avant que les nouveaux arrivants ne foulent le sol national, les cocardiers ont manifesté en souillant la façade de la mairie qui a autorisé cette venue. (36% de la population française, selon un rapport officiel, se déclarent ouvertement racistes, ils n'étaient que 25% aux dernières élections présidentielles)(1).

Puis le jour « J » de l'accueil et au moment de la descente du véhicule qui a ramené ces spécimens trop bruns, les opposants à cette immigration ont carrément organisés des guet-apens afin de les harceler. Ils comptent même les chasser, s'ils piétinent là où ils ne sont pas admis. Ennemis jurés de cette présence, les opposants se sont embusqués pour les effrayer et histoire de marquer les territoires.

Les récalcitrants à cet immigration choisie, d'un type d'ailleurs qui ne concerne pas les humains, qualifient ces nouveaux arrivants pourtant légaux, non pas en clandestins mais en prédateurs. Il ne s'agit, en fait, que des 5 ours qui peupleront un versant des monts pyrénéens

N.E. Tatem

(1) Rapport de la CNCDH (Commission Nationale Consultative des Droits de l'Homme), remis mardi 21 mars au premier ministre. Notons que ce rapport signale la diminution des actes racistes en 2005.

Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME, le 15.01.07 ==================>voir plus suite

http://www.argotheme.com

TECHNOLOGIQUEMENT ZEN !

A- Le statistique prélude d'une révolution.

Le cap emblématique des 100 millions de sites Web a été dépassé depuis fin novembre 2006. Symbolique est le chiffre parce qu'on considère l'explosion de la pratique d'Internet est âgée d'une décennie. Le statistique n'inclut pas, à bien le noter, les blogs considérés plus des pages personnelles de part leurs volumes modestes, interactivité réduite et fonctionnalités uniformes. Mais renferme certainement tous les suffixes (com, net, org, fr, eu, etc), rajoutés à la dénomination réelle d'un même site, et considérés une autre unité à part entière du web. Or tous les propriétaires détiennent tous les substantifs de domaines (com, org, net, fr etc.) permettant de les répertorier, afin de répondre à toutes recherches d'internautes, même faite avec un terme orthographiant approximativement leurs désignations.

Le décompte renferme surtout les sites dupliquant à l'identique, indétectables comme doublures, des originaux. Avec d'autres appellations et formules, ils sont détenus par un même acteur qui investit toutes les approches qui conduisent à le croiser au point de l'objectif qu'il cible. Également sont inventoriés les sites premiers à avoir vu le jour et qui, par le temps, sont devenus obsolètes de leur inertie. Ces derniers en panne ou abandonnés, et pour lesquels les hébergeurs ont été payés d'avance pour plusieurs années, sinon la même durée de vie que les sociétés qui les ont commandés ou créés, communément chez les notaires de 99 ans ou même pour l'éternité. Ils servent souvent à une reconduction via un lien vers le site homologué à toutes les servitudes. La page d'accueil, de ces vestiges qu'on oublient déjà, renferme un message unique.

Proportionnellement au nombre d'habitants du globe, 1 site pour 100 habitants n'effare pas. Les vocations n'y manquent pas. Certains strictement corporatistes, servant à des applications partagées entre membres de communautés sont impénétrables aux larges publics, on y accède avec un login (identifiant) et un passeword (mot de passe). D'autres promotionnels, mettant en exergue un sujet ou une personnalité ou bien un lieu, représentent une bonne proportion. Et les usages qu'on en fait des sites en forums, en plateformes d'exploitations variées (blogs, rencontres etc.) ou de recueil de données ainsi que la diversité des animations susceptibles d'être imaginées, conduisent à tant de dotations. Ce n'est qu'œuvres qui enrichissent le macrocosme du Web. Alors qu'une révolution prophétisée avec le Web.2.0. (1) donne, non pas du fil à retordre, une réjouissance à la pluralité des accès à l'information (navigation, pertinence et contenu) pour lequel les professionnels s'accordent à voir une grande simplicité donc un avenir radieux.

Tandis que le blogger-boom (2), des dernières années, a rendu popularisé un mode de présence sur le Web que seuls les personnalités aux œuvres assez importantes et rentables se permettaient, auparavant à travers de vrais sites. En France, toutes les 4 secondes un blog avec des multitudes de pages est ouvert et livré à la merci de la consultation des internautes avides de connaître les opinions et travaux d'autrui. Les estimations avancent, le record qu'un adolescent français sur 2, plus que dans d'autres pays, dispose de son blog et plus encore nombreux à tchater, discuter en ligne, avec un ou plusieurs personnes à la fois. Ce foisonnement est dû au fait que 53% des français disposent d'Internet dont 90% sont connectés par le haut débit. – Voir en encadré ou supplément sujet qui pour intitulé « LE BLOGGER-BOOM, attrait fourmillant » : Cliquez sur le lien, suivant : http:www.argotheme.com/liens.htm/

Des investissements sont nécessaires pour que les câblages classiques répondent à la densité croissante du trafic, en les multipliant. La fibre optique plus chère, déjà éprouvée comme conducteur de haute performance et malgré son prix, est annoncée comme nouvel équipement pour 2007 par certains fournisseurs hexagonaux. Ce qui logera la France parmi les leaders ou les premiers pays à s'équiper du double sorte afin d'augmenter le débit des signaux. Des contrats sont arrachés à travers plusieurs pays avec ce retour aux filins conducteurs. Au japon quelques 20000 clients sont déjà desservis en fin d'année 2006, à l'aide de ces infaillibles transmetteurs du signal, et raffolent déjà des 100 mégabits. Alors que la toute jeune Werleess (Wifi) atteint le 1/5 ème (20 mégabits), sans que tous les utilisateurs ne soient déjà tous équipés. L'opportunité est colossale aux opérateurs de proposer des packs « Triple Plays » réunissant téléphone, télévision numérique et Internet, offres alléchantes et surenchéries à la baisse. La Wifi n'étant pas encore généralisée qu'un nouveau mode du « service Internet » augure un chamboulement.

A la grande joie des usagers, câbles et fibres solutionnent les lenteurs de téléchargements des fichiers lourds et incompressibles dont les films. Avec l'ADSL qu'on voyait idéale prouesse, il fallait au minimum 15 minutes pour avoir une bande complète d'une œuvre cinématographique de type vidéo valant le temps d'une classique projection. Le peer to peer, fondé en principe originellement pour un trafic entre internautes et sur les bases légales et simples du courrier électronique, suscite des arsenaux législatifs afin de préserver les droits d'auteur devant le piratage. L'avenir de ce principal jalon des échanges entre les personnes, le téléchargement d'œuvres [(3) voir notre intervention de 2005 sur le débat en France], fortement étendu à bien des domaines, porte bien les prémices d'une consommation expansive de toutes les compositions artistiques.

L'amenuisement de la cassette vidéo, engendré par le DVD, s'effectue sur du velours, la bobine numérique rend l'âme. Malgré son adaptation à la mobilité, le support compact (C.D. et D.V.D.) fera des remous avec certaines difficiles conversions et faillites. la clé USB dont l'amovibilité ne laisse aucun doute lui pique la vedette. Les loueurs de films ou bien toute l'industrie du disque laser sont devant un processus qui leurs est inéluctablement fatal puisque les connexions s'étendent encore. La livraison à domicile des œuvres, sera avantageusement appréhendée pour tous, est sous-tendue par la vitesse adéquate des 100 mégabits. A Hollywood on attend pas, les sorties prévues en 2007 se feront désormais dans leur majorité en trois modes : salles de projection, DVD et sur Internet.

B- Le monde va vite, ne soyez pas en retard.

Entre ludique et bourrée de connaissances, l'inépuisable ressource du Web a le privilège de véhiculer l'innovation, la culture et l'information. Elle métamorphose la vie des humains, sinon annihile les anciens modes de la communication physiquement identiques à tous, en apportant la possibilité du choix. Le triptyque des médias : télé, radio et presse ressent déjà qu'est devenu incontournable cet outil, aussi virtuel qu'il puisse être et le rester, dans toutes les sphères et prosaïquement à leurs destins. Le partage anonyme qu'offre la toile, de richesses immatérielles dont l'information est le principal vecteur, est probant. Il est à l'origine d'applications patentes et de valeurs incalculables. Entre autres l'e.économie dont l'expansion ne cesse de se développer. Le but « e.commerce » représente déjà un pan du marché que rares sont les entreprises, quelque soi leur statut et leur chiffre d'affaire, qui ne tiennent pas compte de ce paramètre, sinon elles sont concurrencées. Certains secteurs comme l'hébergement dans le tourisme, tant que la France est la première destination mondiale, effectuent plus de 70% de leurs opérations avec Internet. Pour la première, la moyenne est remise en cause, 53% des français ont présumé faire des achats de fin d'année (Noël et passage à 2007) via le Net. On attend les résultats ? Celui qui a été rapidement rendu public concerne les reventes des cadeaux reçus en double, inutiles ou dont on veut débarrasser après les fêtes est de 10% de l'ensemble.

L'effet d'Internet sur l'humanité tourmente, d'une part, les sociologues en général et tourmentent ceux peu avisés qui ne se sont pas adaptés ou ont occulté. Ces derniers ont pour leur désenchantement, les doctrines sociologiques adeptes du tout technologique sont plu stimulantes pour la jeunesse (voir Blogger-Boom). Malgré leur érudition, d'autre part, les spécialistes du Web en avant-garde des scientifiques et observateurs des variations sociales, vivent stupéfaits la multiplication des lancements de nouveaux produits sans perdre l'atout d'être à l'heure. L'imprévisibilité des innovations vient des hautes protections qui entourent les élaborations. L'espionnage industriel qui date de bien des lustres, s'applique désormais à toute création porteuse d'avenir économique. L'avènement du neuf dans le domaine informatique n'est rendu public, d'ailleurs selon et avec des cérémoniales parades en direction des médias, qu'une fois la mise au point est complètement finalisée. Même si la médiatisation, d'une solution venant à naître, se fait avec tapage avant sa sortie.

La version publique de « Windows Vista » [(4) l'infime degrés de l'aléatoire dans la probabilité mathématique] est annoncée pour février 2007 en France, des failles ont été décelées pourtant ce n'est qu'aux derniers mois de 2006, que la confidence précautionneuse a permis d'en lire les analystes sans pouvoir toucher au produit. Les gains de l'entreprise de Bill Gates s'estiment à 10 milliards de dollars de bénéfices à échéance finale. Les experts qui les ont faites ne s'aventurent pas à fixer de l'année d'une comptabilité finale. Ils présument que les utilisateurs potentiels de son nouveau système d'exploitation n'auront pas confiance ou ne s'accoutumeront pas de suite. Ils présagent en 2008 la propagation et en 2009 le début de généralisation.

A l'époque de la percée du cinéma, il a été question de la fin de la littérature. Le film, disait-on, pouvant rapporter un contenu romanesque et du savoir, tous imagés, annoncerait donc la mort du livre. Il lui a été utile plus qu'il l'a desservi. Depuis l'existence de l'ordinateur, tellement individualisé, l'alarme a été donnée avec le même son de cloche concernant la limite du bouquin. Paradoxalement l'industrie du papier ne cesse de voir se multiplier et l'imprimerie s'est miniaturisée à proximité de l'ordi. Internet conjecturant de nouveaux jours, sème un énorme trouble et apporte des questionnements que la prospective la plus pointue n'arrive pas à élucider.

Au cœur de ce mystère impénétrable une innovation rapide et continue, surtout que les phénomènes des technologies divulguent chaque de nouveaux éléments informatiques aussi bien du côté équipement que celui programmes. Les microprocesseurs et les systèmes d'exploitation, en quête de plus de vélocité, avancent avec des modèles atteignant la mobilité de la lumière. Au dernier venu, le Pentium IV et ses similaires de Celeron, Mhz, Atlon, ADM etc., le double cœur (dual core) augmente, sinon double comme son nom l'indique, le traitement des données au niveau de l'appareil.

Les derniers échos rapportent que les créateurs de mode vestimentaires, pour les adolescents surtout formant la catégorie de population à forts potentiels de consommation, sont complètement déroutés et ne répondent plus aux goûts des plus dépensiers. Au niveau du globe la conséquence d'Internet est largement vue à la source du décalage entre besoins et offres. En France, à l'effet du Web est rajouté « le Mangat » une bande dessinée dans la pure tradition de la planche et de la bulle.

C- D'un côté, à l'affût des failles, l'arnaque !

De l'autre, en guerre contre les malignités, des logiciels ?

Il est illusoire de croire à ce que toute machinerie préconisée au service de l'homme, et de son chef, soit entièrement infaillible. Il s'agit d'une conception mathématique, conditionnée par des interférences internes qui font sa cohérence générale, c'est à dire soumises aux règles des probabilités. Donc elle est sujette à des complexités que les corrections raffinent. Indépendamment des malintentionnés qui ont depuis la nuit des temps été un pan malfaisant, et inextirpable des activités humaines, l'erreur comme la faiblesse ne sont pas à écarter avec l'extravagance, aux yeux des profanes, des mœurs récents. Une entière sécurité est impossible, et les technologues de l'électronique passent pour les rois du perfectionnisme. Ils s'attèlent à rendre moindres les problématiques malveillances que la vie trace dans le palpable et le virtuel. Avant d'aller au sujet des risques, faisons détour à une courte genèse qui a fait de l'admissibilité parmi les intimités de l'humain, son lieu de travail et son foyer, du plus vivant des meubles : le PC.

L'envahissement des domiciles par la télévision, quelques décennies déjà que ce mobilier sous forme de caisse magique s'est mis à livrer à domicile arts, informations et distractions, a créé l'atmosphère pour que l'ordi. soit accepté sans réticence et même recommandé en tête des pourvoyeurs d'idées lumineuses aux personnes avides de connaissances. Poussant vers la porte son ancêtre mémorable dont les mutations l'ont érigé en roi de l'équipement domestique, il fournit carrément toutes formes de médias. Lesquelles de plus en plus interactifs agissent en obéissant aux centres d'intérêt du récepteur. Malgré que d'autres éléments (play-station et lecteur de supports, cassette ensuite disque compact) apportèrent des prolongements, la télé est absorbée vers un mariage forcé avec le net. Avec AOL, Karl Zero a fait le pas en partant de canal-plus, faisant abdiquer la télé à la toile. La vidéo amateur grouille sur le net, mais qu'un professionnel tente de faire l'enjambée en page principale d'un géant, on s'attend que les demi-dieux, le mot monstre est soit adéquat, du petit écran qui ont pignon sur ondes s'y mettent. Les nouvelles têtes sont nombreuses et restent anonymes, aucune ne dépasse les autres.

Au point de croire à la disparition du facteur distributeur du courrier postal, acculé par l'adresse émail, la société ne subit point d'amalgame, elle arpente allégrement les conquêtes faisant partie de son épopée dans l'univers. Toutes les conditions sont favorables pour que l'adoption de l'ordi., devant la machine de dactylographie d'abord, et ensuite pour que l'échange médiatique à l'échelle universelle, non pas seulement marchand, deviennent la vertu primordiale. Parmi les rares accommodements, il convient de citer le programme peer to peer où quand votre machine, disposant de sa connexion Internet, est en veille, c'est à dire allumée sans être utilisée, peut participer à des calculs mathématiques en rapport avec la recherche médicale. => journal Emmaus

Les bienfaits, de l'ordinateur favorisé par le Web, sont inouïs et incalculables. Il n'est pas question de faire des louanges, alors que les risques alignent les doutes. Le malheur d'être victime de banditisme sur le Net est battu en brèche, quoi qu'en disent les dubitatifs. Le rejet du contrôle quasi aveugle, la censure, génère une impossibilité de certitude qui, à l'instar de toutes activités humaines, fonctionne tel un projet ouvert et exposé aux manœuvres et interventions exogènes. En 2006 les attaques de virus information ont diminué, le dernier signalé a été rencontré sur la plate-forme « Skype », une plateforme spécialisée dans la diffusion de bandes sonores et qu'on croyait invulnérable pour sa vocation. De cet angle utilisant moins les fichiers textuels où il est simple d'introduire un lien hypertexte et autres marqueurs dangereux ou bien une pièce jointe, « Skype » n'a pas échappé à une atteinte comme un véritable viole.

La cybercriminalité où certainement les redoutables mafias de nos aïeuls, nous sommes au 21 ème siècle, trouvent leurs aubaines inespérées auprès des nouveaux créneaux. Les plus avertis n'ont pas les bras croisés, recrutant de jeunes génies grouillant à travers le monde pour cette discipline technologique. On croit même que des nombreux sont les parrains à roder dans les campus, procédant de méthodes plus tentaculaires que par le passé.

A propos des camorras, les jeux en ligne (casinos, paris sportifs et poker) occupent le haut du pavé de l'intéressement des capos. On recense pas mois de 1200 sites Web français qui s'adonnent à mettre à disposition de leurs visiteurs le tapis vert sans des croupiers. Sans aucun doute le blanchiment des capitaux acquis des économies illégales (interdites) et informelles (ne payant pas d'impôts), trouve ici un débouché insoupçonné. Aux Etats-Unis un ordre ferme a été donné aux banques de ne pas gérer, même pas l'ouverture d'un compte, les fonds venant des jeux en ligne. La sincérité des parties même organisées par les boîtes qui ont pignon sur rue, tenant une tradition bien française pour l'Europe où le fisc engrange 56% de chaque mise d'un joueur, n'est plus vérifiable.

Les experts disent que les gains des malfaiteurs qui sévissent sur le Web sont plus importants de ceux concepteurs : programmeurs, webmestres et autres personnes travaillants dans le domaine. Selon ces mêmes experts le décryptage des éléments privés frappés du secret est l'enjeu essentiel. Les mots de passe, les codes et tous les identifiants qui permettent les détournements d'intérêts ou de capitaux sont menacés. Des logiciels sont conçus pour les happer et les déchiffrer. L'espoir est mis dans des développements plus avancés plus sécurisées et qui désobéissent aux censures.

TROISIEME Tatemerie /

FERME-LA BUSH !

Passage sur la pointe des pieds du plus puissant Despote.

La fois d'avant, pas celle du 21 juin 06, qu'il était passé du côté des eurocrates officiels, quelques 100 000 manifestants, lui ont fait entendre leur désapprobation de sa guerre. Oui, ils sont venus de toute la vieille Europe, telle qu'il désigne le bercail de la civilisation occidentale, pour l'accueillir avec le boucan de révoltés inondant les rues pour faire exprimer le non-recevoir, du gendarme formel et du criminel malveillant. Depuis 2004, il vient en indésirable, évitant les protocoles officiels et la communication dont s'est habituée son envergure, pour ne pas soulever les protestations. Surtout que ses alliés lui faussent compagnie et grondent, à qui ne veut les entendre aussi, les humbles de plusieurs régions de la Terre qui s'assument dénonciateurs de l'impérialisme primaire.

Surtout là où il a semé la guerre et ses trains de misères, il débarque sans s'annoncer. Oui ! Du côté des puits pétrolifères, prétendument pour raison de sécurité et se sachant la cible de l'ancienne chaire à canon « islamo-terroriste » de la CIA , il transite en voleur arborant le discours de policier. Aussi bien le terrorisme sévissant sur la face du globe que les plus abjectes BOMBES ATOMIQUES, telle est l'œuvre des Présidents du pays où la liberté et la paix sont à la fois piégées et brandies. Et le dernier en date, en dit long.

Avec des mécontentements de plus en plus acerbes, il risquait de se faire chasser, lui le puissant. Ah ! La rue ! L'irréparable humiliation pour l'intouchable qu'il est, allait se produire. Même plus barricadée que la fois précédente, la rue reste l'arène des victoires des petits peuples.

De nos jours rares les pays où on le recevrait à bras ouverts, sans que la rue ne marque les annales de l'histoire. Loin du bureau ovale et de la maison dont la blancheur ne fait que ternir, des populations ont décidé de mettre à nu le plus couvert des Présidents. L'Amérique Latine, toute et entière, se prépare à sortir du giron malfaisant, prédateur et aux menées vertigineuses pour l'humanité.

Devant le parlement européen, il justifiait l'invasion de Bagdad. Cette fois, le bagne de Guantanamo n'a rien d'humain et de conventionnel. Kidnappés les mercenaires, de la guerre froide dont l'enjeu est toujours l'expansion de l'empire du mal, y sont enfermés sans perspectives que la mort.

L'intrusion devant les élus européens de Bush 2, juin 06, a été gardée secrète jusqu'au moment où les télévisions l'ont furtivement montré. Sic ! Les observateurs, même les plus avisés, ont encaissé sans brancher et sont restés silencieux après coup.

Aussi bien pour l'invasion guerrière de Bagdad que pour les geôles tropicales ou aéroportées, de nouveaux acolytes et hommes de mains sont trouvés. Les avions prisons ont le droit de survoler le territoire français mais aucune trace n'a été trouvée, à ce jour, de leurs escales. Avec la nouvelle Europe, ils ne manquent pas, les complices que manipulés par ONG et Think Tank.

En 2004, la foule avait su, bien à l'avance qu'il allait venir, la guerre préventivement mensongère (alliance de la dictature de Saddam avec le terrorisme et l'arsenal nucléaire) battait son plein. Cette fois sans transparence, des quatre à cinq milles sbires que son puissant pays a longtemps utilisé contre des peuples vulnérables (non pas Cuba, la Chine et même la Russie de Poutine), 3 suicides sont déclarés en actes anti-américains. Mais les dictatures qu'il dit chasser, pour les remplacer de technocraties à la solde d'objectifs malsains, sont de réelles opérations de déstabilisation de peuples qui ont pour destin le malheur. Et qui deviennent aussi et surtout champ du terrorisme qui se dit, pour l'instant, résistant.

A vrai dire, en évitant la menace terroriste, les USA ne font que l'amplifier !

N.E. Tatem

Seconde Tatemerie/

Mon petit soldat de plomb

Un chef de gouvernement algérien

Un bataillon de figurines, faites de plomb, représentant les armées de Bonaparte, tel était le meilleur jouet que j'ai eu quand j'étais enfant. Il a marqué ma vie. Il m'a laissé beaucoups de souvenirs et son poids reste gravé dans ma mémoire. A chaque fois, depuis et jusqu'à ce jour, que je porte un truc pas léger, je me le rapelle.

Parmi les soldats et les officiers peinturulés de toutes les couleurs, il y a avait deux personnages en tabliers blancs. Je les, distinguais, et les ai pris pour deux infirmiers. Mon père m'expliqua, que seul celui qui a une croix rouge au dos s'occupe de la santé du régiment. Il est, visible avec ce signe, conventionnellement interdit que l'ennemi lui tire dessus. Le second est enseignant, me dit mon père.

Parmi le bataillon qui pesait bien plus de trois kilos, car fait du métal tendrement maniable mais pesant, il est le seul à porter, outre son tablier blanc, une barbe. Taillée de près, elle lui décorait impeccablement le visage, non pas comme Marx ou Che Guevara qui ne se donnaient point la peine de soigner leur tignasse faciale qui leur allait, en icône, comme une touffe d'arbrisseaux de maquis montagneux ou d'alfa de steppe. Celle de mon soldat miniature, ressemble davantage à celle d'un taliban maniaque d'hygiène pour berner le monde, qu'à celle d'un révolutionnaire du genre Amilcar Cabral dont le geste dépasse l'apparence.

Mon père me persuada que l'armée de l'empereur tenait beaucoup à l'éducation et luttait contre l'analphabétisme, c'est pour cela qu'elle avait toujours un enseignant dans ses rangs. Au bout de quelques jours de réjouissance récréative avec ce personnage lourd, je l'ai égaré. La figurine en barbe et tablier dépourvu de croix rouge, a disparu du lot, comme volatilisée. On dirait qu'elle avait fondu dans un feu ou partie avec l'eau de nos toilettes où je perdais souvent, par mégarde, quelques objets.

Je l'ai longtemps pleuré, chagriné de cette perte. Je risquai de déprimer. Le joujou disparu dont j'avais pourtant son semblable, laissa un vide dans mon esprit. Des semaines puis des mois, ma peine fut grande. Mon père, inquiet de mon état, n'a pas cessé de me consoler. En vain, j'étais touché au plus profond de moi, d'avoir perdu soldat que je considérai valeureux. Comme si j'ai perdu un tout un combat de vie ou de mort, et toutes les guerres que j'organisais avec toute la collection.

Finalement, mon géniteur a réussi à juguler mes pleurs. Me promettant qu'une fois grand, je retrouverai mon petit soldat de plomb.

Depuis que Belkhadem, sorti de dessous l'aile du burnous d'un certain feu Bitat (ancien président de l'assemblée nationale algérienne, premier à découvrir dans un enseignant sans grade la marionnette à la mesure de la maniabilité de tous les doigts), a été désigné à la tête du gouvernement algérien, j'ai aperçu le teint, les yeux, la tête, la posture et les traits de mon petit soldat de plomb.

Je suis, enfin comme me l'a promis mon père, sûr d'avoir retrouvé mon jouet. Mon petit soldat de plomb.

Il fera, dorénavant, l'objet de beaucoup de mes jeux de grand. Les risées de ceux qui je servirai à ceux qui veulent les lire.

N.E Tatem

AVANT-GOÛT, avant la rentrée 2006. LA SERIE "Tatemeries"

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Vista, une veste n'est pas une cape.

Alors que la plus grosse fortune du Globe se trouve des occupations de philanthropie, Bill Gates qui a délégué la direction de son groupe à son loyal second qui a partagé cette aventure intellectuelle couvée par la Silicone Vallley après des premiers pas dans une chambre d'étudiant, annonce lui-même malgré sa retraite son dernier bébé. Il n'est pas aussi parfait qu'un ange qui, lui doit prouver son existence. L'enfant, venant à naître, chez Microsoft a été conçu par 10 000 personnes qui ont travaillé pendant cinq ans et est parmi nous. Vendu depuis novembre aux USA et dès le second mois de 2007 pour les privés en France, il est bien réel contrairement aux diables aussi. Vista ce sont 68 millions de lignes, écrites par des personnes, qui constituent l'ensemble des codes en mesure de générer un programme d'exécution de toutes les fonctionnalités auxquelles un ordinateur est censé répondre. Une nouvelle communication habitera désormais la faramineuse bureautique des entreprises et sera au cœur des liaisons de l'individu avec un environnement à la fois personnel et largement délayé sur Internet.

La confiance est établie du fait du monopole de Microsoft, mais les entreprises de sécurité se sont mises à l'analyser. Une petite voisine de la cité américaine fief de l'informatique, répondant au nom de Determina, petite boîte mais spécialisée en sécurité informatique, a décelé cinq failles permettant de contrôler un ordinateur équipé de Vista, entendre via la connexion Internet. Selon ses responsables dont Nand Mulchandani, d'ici moins d'un an les premiers bogues causeront de ravages. La réplique de l'entreprise de Bill Gates ne s'est pas fait attendre, selon Bernard Ourghanlian responsable de technologie et de sécurité chez Microsoft France : «  la solution à la racine pour le remède ne soit pas pire que la maladie comme cela est déjà arrivé. »

Le super coup pour Vista est signé d'un informaticien de l'ombre d'origine russe. Les producteurs osent désigner en « hacker » (pirate), ces anonymes au génie prolifique. Sans méchanceté, il a découvert un point faible réel et l'a démontré à Microsoft qui a reconnu la faille et s'est attelé à rectifier. Un protocole collaboratif est mis en exergue à la moindre erreur que les systèmes vous invite à signaler directement, sous forme fréquemment affichée lors de l'utilisation de Windows qui vous invite à envoyer un rapport.

Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME

LE BLOGGER-BOOM EST BIEN JUVENILE.

Les blogs ont démuselé l'expression sous toutes ses formes. Les créateurs infographistes dont les travaux en imagerie devaient, par le passé, soit être pris en charge par des diffuseurs professionnels dans des bibliothèques, soit périr avec et dans les disques durs, comme mourraient jadis des œuvres souvent insolites dormant sous les poussières des tiroirs. Un bien idéal circuit leurs est offert finalement pour atteindre le large public. Mais le grand intérêt est pour les rédacteurs dont les mots sont devenus plus diffus avec une propagation qui arrange émetteurs et récepteurs.

Une pratique que seuls les personnalités aux œuvres assez importantes et rentables se permettaient, auparavant à travers de vrais sites. Avec l'arrivée des plateformes qui permettent de disposer de son espace privé d'expression, que les terminologies préfèrent les appeler « Page-Perso », le blog est parvenu à être parmi les meilleurs outils épaulant l'illustre démocratie. Autorisant une pleine liberté de dire, comme une réelle prise du pouvoir, ne dit-on pas que la 4ème roue qui fait que l'autorité existe et fonctionne est le média. L'espace de communication sociale s'est éclaté d'abord avec les forums et ensuite le déchaînement de la parole comme une tendance effrénée s'est imposée. Plus qu'au niveau des forums où les sujets sont dispensés sinon il faut créer un qui ne soit pas déjà proposé, une autonomie est donnée également à des démesures de liberté jadis inconnues. Mais ces excès largement répandus restent conviviaux, honorifiques pour leur intellection et tolérés avec succès.

Certains sceptiques ne voient qu'un autre défouloir offert aux réfractaires minoritaires des causes communes, une barricade pour ceux qui n'ont rien pour se faire entendre des dieux. Sinon ces peu informés du présent et moins de l'avenir n'y voient qu'un déchargement de bouteilles à la mer, ne laisse pas place à la crédibilité. En France, toutes les 4 secondes un blog avec des multitudes de pages est ouvert et livré, individuellement ou par un collectif, à la merci de la consultation des internautes avides de connaître les opinions et travaux d'autrui. Les estimations avancent aussi qu'un adolescent sur 2 dispose de son blog et sont plus nombreux à tchater, communiquer en direct avec un plusieurs personnes à la fois. Ce foisonnement est dû au fait que 53% des français soient connectés dont 90% le sont par haut débit.

Pourtant en matière de crédibilité le présent est formidable. L'avenir est à découvrir comme une curiosité fantastique dont ne se détournent que les ignorants pardonnés pour leur méconnaissance qui est, comme le rire, le propre de l'homme. Le blog est consulté au plus fort qu'il puisse l'être, que cela leur déplaise ! Selon une enquête de l'institut de mesure d'audience Médiamétrie du dernier trimestre de 2006, 8 717 000 personnes consultent au minimum un blog par mois. Ils n'étaient que 6 724 000 une année auparavant, soit 29,6% de croissance. 3 604 000 blogs ont été créés pendant cette période, l'augmentation est ici de 58,8%. 71% des nouveaux bloggers ont moins de 50 ans, la tranche plus vieille n'a lancé que 5,8% des blogs mais elle représente 11,5 des consultations. Le plus lourd numéro est celui des 159 millions, pour seulement novembre 2006, de visites aux plateformes proposant ces carnets de bord.

Les prévisions expertes augurent qu'au premier semestre de 2007 100 millions de blogueurs seront actifs. Alors que 200 autres millions sont déjà à l'état stationnaire ou ont complètement fermé boutique. La vie d'un blog est vraiment courte du fait, non pas uniquement de lassitude mais, surtout de l'épuisement des capacités créatives des individus qui est derrière. La première vient quand le second arrive à son terme.

D'après des observateurs qui suivent l'activité des blogs, la manipulation est devenue monnaie courante. Le marketing s'empare de la chose. En soudoyant les blogueurs, les industriels et commerçants offrent des spécimens de leurs produits afin que les blogueurs vantent ces marchandises. Les forums sont les plus visés. Microsoft n'a pas raté cette méthode, 100 ordinateurs ont été donnés aux plus influents des blogueurs.

Le Web.2.0, on le sollicite déjà !

Une nouvelle technologie mettant fin à la passivité de l'internaute en simple récepteur consommateur, est sur le point de restructurer entièrement Internet. C'est en fait, le passif l'anonyme et le simple surfeur sur la toile qui, s'est davantage impliqué, est à l'origine d'une révolution. Si en réalité elle s'impose d'elle-même pour la convergence et la simplicité, elle reste le fruit de créateurs humains. Arrivée à maturité après des années d'échanges sur la toile qui n'ont de virtuel que de garder les distances entre communicants, pourtant mitoyens par la brièveté accélérée avec l'ADSL, le Web 2.0. entame une métamorphose de ce qui a été son prédécesseur le Web.1.0. Ce dernier se présentait éditions sur papier que l'encyclopédie incarne le mieux, et obéissait, comme elles à travers les menus d'accueil, aux repérages des sommaires et des tables de matières. Seuls les liens hypertextes donnaient l'allure du dynamisme qu'au lieu de tourner les pages, on y va directement et rapidement par la magie l'électronique.

Désormais une interactivité à l'échelle planétaire attribue au Web.2.0 la forme, contrairement au bouquin ou la revue, d'un vaste réseau occasionnant ainsi des bases de données produites d'une manière dûment collective. L'internaute, qui dans la précédente mise au point prenait de l'information et accéder à des services, s'est converti de lecteur en publicateur de données et certains ont déjà tissés leurs propres réseaux. Aidé par les progrès technologiques de ces dernières années (microprocesseurs des machines et le haut débit du signal Internet), la communauté des internautes est plus impliquée que par le passé. Elle lance ainsi l'exigence, sans nécessairement la décréter, que de nouveaux principes régissent le Web. Bien sûr des plateformes collaboratives sont mises en services pour bousculer les modes usités qui ont certes donné leurs preuves, mais semblent déjà dépassées. Citons quelques principaux sites de partage de données : (actualités), Wikipedia (encyclopédie), Upcoming (agenda public) et del.icio.us (tags et favoris)

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