Nous sommes en 2019, année d’une élection présidentielle en Algérie. Après 20 ans de règne dont l’illégalité n’est plus à démontrer, Bouteflika s’en passe de respecter l’élite nationale. La dignité, de nombreuses composantes de la classe politique et de la société civile est abaissée, par ce qui se passe dans ce pays. Les exclusions continuent. Et le clan familial tenant la présidence, comme une proie aux griffes de prédateurs, oublie ceux qui se jettent à la mer pour fuir leur patrie. (...)
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Maghreb, Algérie, Tunisie, Maroc, Libye, Africa, population, société
Articles
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Etats-Unis et France : plus de visiteurs du sondage sur présidentielle 2019 en Algérie
3 janvier 2019, par Djamel Damien Boucheref -
MAROC : Ali Arras à l’ombre de la citoyenneté déclassée €¦
28 avril 2011, par Gros EmileAli Arrass, jugé au Maroc depuis le 29 avril 2001, est au cÅ“ur d’une affaire qui à elle seule reflète, toutes les discriminations institutionnelles dont sont victimes certains européens. Les Roms ou bien les beurs, les premiers sont européens depuis des siècles et les seconds descendants d’émigrants originaires d’origine africaine et maghrébine, sont totalement exclus des activités sociétales et moins couverts dans leurs droits...
En effet Ali Arrass est à l’image, de la situation (...) -
La candidature Haftar en Libye répond à l’exigence d’urgence sécuritaire.
3 mai 2019, par Azouz BenhocineC’est le moment le plus crucial, depuis la chute et le lynchage du despote Kadhafi. Le général Khalifa Haftar engage une bataille pour contrôler la capitale, restée entre les mains de milices depuis 2011. Même si un gouvernement, reconnu par ce qui est la communauté internationale, siège à Tripoli, des factions de civils armés tiennent la sécurité, gèrent les sources de richesses et se partagent les pouvoir des institutions. La marche forcée du militaire vient pour remplacer le processus (...)
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Bouteflika n’épingle pas les généraux gênants son clan !
11 février 2014, par Djamel Damien BoucherefEst-ce que le général Abdelkader Aït-Ouarabi dit « Hassen »(*) a été dit vraiment arrêté ? Que non ! En début de la seconde semaine de février 2014 en Algérie, la rumeur a couru, dès la fin du week-end du vendredi 7 février 14, les trottoirs, les échanges du Web et les salles de rédactions. Une vieille histoire de mise à la retraite de cadres de l’armée que les intéressés refusent, en la considérant un simple licenciement !
Des hauts officiers et justement des généraux désobéissent au (...) -
L’Algérie achète aux enchères des archives historiques
5 avril 2017, par Djamel Damien BoucherefL’Histoire algérienne suscite moult intéressements, notamment localement où les chercheurs se disent souvent désarmés de sources et d’archives. Les historiens et les autorités mettent les bouchées doubles pour trouver tout ce qui est susceptible de dresser une lecture fidèle à la narration de la geste mémorielle. Les faits, surtout de la guerre de libération surtout, font l’objet de déchirements idéologiques entre les acteurs politiques conscients de ce capital, relatif au passé, pour se (...)
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La concurrence priverait Air-Algérie des prix exorbitants. 2è partie
24 mars 2022, par Djamel Damien BoucherefAprès notre article sur la suspension des exportations de marchandises issues de matières premières importées, notamment les produits alimentaires comme les céréales, voici ce sujet le limogeage du ministre du transport. Congédié par la présidence pour faute grave dit-on. Mais Air-Algérie alimente des rentiers avec des prix exorbitants subis par les Algériens de l’étranger surtout.
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La conscience des juges et la légalité du Hirak en Algérie.
10 février 2020, par Djamel Damien BoucherefEcouter l’article. Les conduites des juridictions en Algérie n’échappent guère à l’odieuse décadence de la moralité des juges. La qualité d’une justice commence par son 1er magistrat. Mais l’autocratie qui a duré des décennies a alimenté, outre le mal au système éducatif et à d’autres appareils, la crédulité des valeurs. Alors que les prédations de l’économie et les usurpations de la riche mémoire historique se perpétuent, avec la bénédiction religieuse et l’approbation des lois.
Lors (...) -
L’Algérie manifeste 2 fois pour décanter les volontés de changement et d’Anti-5è mandat
25 février 2019, par Djamel Damien BoucherefAu lendemain des manifestations en Algérie, l’avidité, des moindres réactions, est grande. Les autorités, comme les militaires, redoutent l’enlisement. Mais l’emprise du clan de Bouteflika sur les affaires et les centres de décision, laisse de marbre les responsables de toutes les sphères. Les politiciens ; du régime avec ses pseudos opposants, complètement en faillite et embarrassés, n’osent même pas exprimer le bémol qui amoindrirait la colère collective.
A deux reprises, les (...) -
Clans en réseaux et médias des oligarques tentent des chefs au Hirak en Algérie
25 mars 2019, par Djamel Damien BoucherefLes opportunistes et les islamistes se bousculent pour se déclarer les chefs, et même les initiateurs, du mouvement social contestataire qui, en Algérie, transforme son opposition au projet, avorté, de 5ème mandat pour Bouteflika en #RDN (Révolution Démocratique Nationale). Mais ils ne savent pas ce que leur préparent un peuple qui se montre plus qualifié que jamais par le passé, de piloris pour les fixer et de dénonciations culpabilisantes de leurs ridicules prétentions.
Régenter, par (...) -
Lors de fuite des capitaux, le prix du dinar algérien s’effondre.
17 février, par Azouz BenhocineVoici l’image réelle de ce qui passe avec la détérioration du prix du dinar en échange avec l’euro. Le taux de change officiel permettait de vendre un euro pour 145 dinars algériens, ce qui se passe chez les services bancaires. Alors que le même jour, les cambistes vendaient un euro pour près de 241 dinars sur le marché noir, soit 66 % de plus que le taux de change officiel. À ce sujet, nous vous proposons lecture de cette situation qui se répète bien souvent, avec des cycles improbables.