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Les terroristes du FASCISLAMISME de l’AQMI préfèrent des otages occidentaux vivants, mais massacrent les musulmans.
mardi 11 janvier 2011, par
L’AQMI a ouvert l’année nouvelle, 2011, avec trois principales actions qui peuvent non seulement être ses échecs que ses prouesses médiatiques. La grande agitation des islamistes à travers le monde porte gravement atteinte à l’image des musulmans. Ces derniers se doivent de demander d’Allah de mettre fin, au sein de leurs populations, à la nébuleuse qui a pour emblème Al-Qaïda. L’égarement sur l’obscurantisme est vaste, quand le théàtre, la littérature, les sports, les arts... sont placés sous médiocrité qui contente les despotes.
On peut énumérer ces faits de l’AQMI par ordre d’importance médiatique ainsi : 1- la mort des deux jeunes citoyens français, abattus certainement en dernier recours de la poursuite livrée par des forces armées. 2- la tentative d’attentat contre l’ambassade française au Mali. Et 3- l’important réseau terroriste démantelé au Maroc pour lequel le ministre de l’Intérieur, Taib Cherkaoui, a fait une déclaration le 5 janvier puis le 10 du même mois, un véritable arsenal d’armes individuelles pouvant être le véritable attirail du « djihadiste » a été montré à la presse.
Mais toute l’internationale islamo-terrorisme qui a pour label « Al-Qaïda » a frappé partout. Et avec une violence plus destructrice en Egypte contre les chrétiens dès le jour de l’an. En Somalie où plus de 25 victimes ont été dénombrées lors du seul attentat du 9 janvier. En Irak contre des chrétiens à la veille de 2011, en Afghanistan, au Pakistan et bien nombreux autres faits déjoués comme en France contre les coptes, ou en Suède…
Le phénomène du terrorisme islamiste, dont les musulmans sont les plus touchés et davantage ses nombreux souffre-douleurs, a l’air de vouloir durer en trouvant épaisses sources qui l’alimentent. Il ne s’agit plus de jeunes désœuvrés n’ayant pas de perspectives professionnelles dans leur pays. Mais de la poursuite naturelle, c’est aussi la conséquence dialectique, de la stratégie de vouloir combattre les régimes communisants que la CIA a élaboré, en premier lieu, contre les russes en Afghanistan. Cette dernière politique mondiale des Etats-Unis prend un véritable passage d’envergure gr ce à la méthode « Bushienne » de répondre par un tracé plus antimusulman qu’anti-terroriste.
Pourquoi faut-il distinguer le musulman de l’islamiste ?
L’invasion de l’Irak par le mensonge, contre la légalité internationale et l’agressivité aveugle, d’une soldatesque criminelle de ses pratiques plus connues chez Tsahal, l’armée israélienne spoliant par la force et l’exil un peuple plus nombreux que les israéliens de sa patrie, a été un tournant qui a provoqué la collision anti-impérialiste avec l’obscurantisme islamiste. Ces actions de l’histoire subies aussi, non par les islamistes seuls mais plus largement par tous, globalement aussi contre les musulmans. Elles s’inscrivent principalement à la suite des attentats du 11 septembre, qui ont accouché de cette appellation barbaresque « Al-Qaïda » survenant dans le champ médiatique.
<img250|left>L’ACTUEL EMIR DE L’AQMI.
Loin s’en faut ce ne sont pas les islamistes et encore moins ceux d’Al-Qaïda qui défendent les peuples qui sont livrés à des seigneurs de guerre à l’origine anticommunistes et formés par les politiques financièrement et foncièrement entretenues à partir du bureau ovale.
Les hommes de l’AQMI sont issus principalement des islamistes algériens, et en sont actuellement ses chefs. Tous aussi étaient proches d’un certain parti algérien, le FIS dissout par la justice algérienne, qui allait s’installer au pouvoir en 1990 tout en jurant de mettre à feu et à sang tout le bassin méditerranéen. François Mitterrand, dont l’antipathie envers les algériens est connue à travers, et sans la moindre gr ce y compris pour des militants du FLN libérateur d’origine française (à ne pas confondre avec –le parti FLN- celui des « Kleptocrates » du parti unique), protesta quand les islamistes ont essuyé la démission du président algérien, incapable de leurs remettre la souveraineté du pays fraîchement indépendant.
Le plus vaste désert du monde sera le tombeau de l’AQMI.
Après des carnages en Algérie qui ont duré au-delà de la décennie 90, c’est-à-dire jusqu’à 2004, les sbires idéologisés par les frères musulmans se sont déployés au niveau du plus grand désert du monde « le Sahara ». En 2004 la détection, par l’armée algérienne, d’un regroupement de quelques 200 hommes descendus du nord du pays jusqu’au cœur du Sahara, coïncida avec le passage du Rallye Paris-Dakar.
Depuis ces éléments se sont trouvés avec moins de harcèlements que leur livrait mortellement la glorieuse armée algérienne qui les a combattus, dans une solitude héroïque. Dans le vide géographique truffé de reliefs inhabités, l’AQMI a été déclarée : une succursale affidée à un nom créé paradoxalement sur une déclaration sorti de l’Amérique de W. Bush.
La compétition/aventure sportive, du Paris-Dakar, avait dans ses annales l’égarement de la piste du circuit par le fils de Margaret Thatcher. Il n’a été retrouvé qu’au bout de 24 heures avec des moyens de l’armée algérienne toujours jalouse des territoires qu’elle a la charge de sécurisé. D’ailleurs la poursuite du traitement impitoyable et conséquent des terroristes par l’armée algérienne, au-delà de la conspiration de la concorde de Bouteflika qui vit un écartement international et une déconfiture entière de sa falsification de la constitution avec les dernières émeutes, se vérifie chaque jour. Les derniers fiefs de l’AQMI du nord qui ont élu la région de la région de la Kabylie, viennent d’essuyer d’énormes pertes pendant le mois de décembre 2010.
La course mécanique été dans un premier temps éloignée de l’Algérie plongée dans une insécurité, à la limite de l’incurie laxiste, indescriptible. Car bénéficiant des complicités des anciennes nomenklaturas de la légitimité historique qui dirigeait le pays, quasi quotidienne et lourdement inhumaine. Même après le choix du passage par le Maroc, du Paris-Dakar aujourd’hui couru en Argentine, fut aussi abandonné.
L’AQMI devint une empreinte de la grande manipulation politicienne des gouvernances locales, comme en Algérie, et des stratégies internationales qui se distinguent, par on ne sait quel argument, d’obéir aux intérêts des américains.
Suite :
Le Maroc très rigoureux contre le terrorisme, la Tunisie a carrément gagné la bataille morale d’un islam tolérant.
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