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COVID-19 : que disent les données accumulées de la crise sanitaire ?

Le "complotisme" démentit par la science aux preuves irréfutables.

vendredi 29 novembre 2024, par Gros Emile

La pandémie de COVID-19, qui s’est propagée à une vitesse inouïe, a eu un impact profond sur le monde. Causant des dizaines de millions de morts, submergeant les systèmes de santé et perturbant les sociétés et les économies, mérite qu’on y revienne parce que c’est une expérience qui réveillé le système de précaution utile à l’humanité. La détermination pour l’endiguer fut constitutive de la science face aux gageures.

Parmi les données de ce phénomène sanitaire, qui sont maintenant au point et rassemblées pour être source de savoir, la manifestation de la théorie du complot qui est encore un défi conflictuel peu commun, n’a pas lésiné par ses prétentions fumeuses.

Que révèlent les autopsies post-mortem sur la COVID-19 ?

Pour ralentir la propagation de la maladie du COVID19, les pays ont mis en œuvre une série de politiques. C’était comme limiter les libertés. La série de restrictions sur les voyages internationaux et les rassemblements de masse, fermetures d’écoles et de lieux de travail, ordres de rester à la maison, recherche des contacts et tests, et exigences en matière de couvre-visage et de vaccination.

Surmortalité cumulée estimée pour 100 000 personnes pendant la COVID-19, 17 juin 2024

Pour les pays qui n’ont pas communiqué de données sur la mortalité toutes causes confondues pour une semaine donnée, une estimation est présentée, avec intervalle d’incertitude. Si les données déclarées sont disponibles, seule cette valeur est affichée. Sur la carte, seule l’estimation centrale est affichée.

Les incohérences dans un discours révèlent deux facettes insoutenables : le « complotisme » ou bien l’incompétence et des fois les deux concubinaires. Si la mort de J.F. Kennedy a été un fleuve des éminentes farfelues idées de la théorie de la conspiration, la COVID-19 en a emballé une bourrasque à la teneur cabalistique jamais égalée.

Puis viennent les datas accumulées, traitées et exploitées, rétablissent les vérités dans l’absolu puisé des preuves. Les données montrent que les risques de mortalité liés à la COVID-19 augmentent de façon exponentielle avec l’âge. Les risques sont également influencés par d’autres facteurs tels que les problèmes de santé préexistants, les facteurs de faiblesse du système immunitaire, l’accès à l’oxygène supplémentaire, le traitement, les soins de santé et la souche particulière du coronavirus.

L’analyse des modes de résolution offerte par l’information évolue de son côté, depuis la pandémie qui a fait des millions de morts dans le monde. Et à la lumière de cette crise sanitaire, la mémoire humaine vit les répercussions socioculturelles significatives des épidémies. Cette « mémorialisation » est commémoration à travers des objets, des dispositifs, des discours et des rituels qui avec la pratique prédominent l’approche de ce type de maladie.

Un algorithme d’IA détecte la COVID-19 à partir de la toux.

Selon les plus rigoureuses estimations, la pandémie de COVID-19, qui a commencé à se propager dans le monde en 2020, avait causé environ 27 millions de décès en août 2024. Dans l’ensemble, les données compilées dans de nombreux pays montrent qu’en 2020, en moyenne, approximativement une personne infectée sur 140 est morte. Cela représente 0,7 % de la population infectée.

Bien que le nombre de travaux scientifiques consacrés au « complotisme » et aux théories du complot ait augmenté de manière notable depuis le début des années 2000, ils ne permettent pas d’en dégager une définition stabilisée. Le fléau se répandait à tous les domaines, créant la difficulté qui s’explique d’abord par le grand nombre de disciplines touchées et affaiblies.

La COVID-19 peut entraîner la mort par des complications telles que des maladies respiratoires graves, des maladies cardiaques et une défaillance « multiviscérale ». Beaucoup d’autres ont subi de graves conséquences à court ou à long terme de la maladie, ou ont été admis à l’hôpital ou dans des unités de soins intensifs.

Même si les agences nationales, de plusieurs nations, n’ont souvent pas publié leurs données de manière optimale, ce qui a rendu encore plus difficile la réponse à la pandémie. Et peuvent aussi fausser l’image sanitaire des pays. Savoir ce qui s’est exactement passé et e qui n’a pas bien fonctionné est crucial pour l’avenir. Ce sujet apporte quelques idées sommaires sur la COVID-19 et nous n’avons pas toutes les leçons dans ce seul article, celle du complot nous édifie des réalités.

Politiques de dépistage de la COVID-19, 1er mars 2020

– Pas de politique de test.– Seuls ceux qui à la fois (a) présentent des symptômes et (b) répondent à des critères spécifiques (e.g. key travailleurs, admis à l’hôpital, sont venusen contact avec un cas connu, ramené de l’étranger).– Test de toute personne présentant des symptômes de la COVID-19.– Tests publics ouverts (par exemple, tests « drive through » disponibles pour les personnes asymptomatiques).

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Voir en ligne : COVID-19

   
   

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